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Les Voix de la Photo

Le podcast des professionnels de la photographie


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  • 113. [BEST OF] #113 Patrick Delat (Centre d'art contemporain photographique - Villa Pérochon)

    05:47||Saison 1, Ep. 113
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Patrick Delat a été le directeur du Centre d’art contemporain photographique – Villa Pérochon depuis sa création jusqu’à 2024 et dans cet épisode on est revenu sur les projets photographiques qu’il a menés à Niort depuis les années 80. Il nous a expliqué l’histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menée par une équipe de bénévoles et de passionnés depuis trente ans. On a parlé des enjeux et de l’importance de fédérer le collectif autour d’un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultés qu’il a pu rencontrer en tant qu’association à financement public. Merci à lui, longue vie au CACP-Villa Pérochon et bonne écoute !Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto

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  • 113. #113 Patrick Delat (Centre d'art contemporain photographique - Villa Pérochon)

    51:43||Saison 1, Ep. 113
    Patrick Delat a été le directeur du Centre d’art contemporain photographique – Villa Pérochon depuis sa création jusqu’à 2024 et dans cet épisode on est revenu sur les projets photographiques qu’il a menés à Niort depuis les années 80. Il nous a expliqué l’histoire des Rencontres de la jeune photographie internationale menée par une équipe de bénévoles et de passionnés depuis trente ans. On a parlé des enjeux et de l’importance de fédérer le collectif autour d’un projet qui doit faire sens et garder le cap sur son projet pour durer dans le temps, mais aussi des difficultés qu’il a pu rencontrer en tant qu’association à financement public. Merci à lui, longue vie aux Rencontres de la jeune photographie internationale et bonne écoute !2’35 - Son parcours en tant qu’animateur puis directeur de centre socioculturel et sa rencontre avec la photographie.7’50 – Animateur d’un atelier photo et sa participation avec la création d’un collectif à L’Europe D’art d’Art en 1989 pendant quelques années.12’ – Envie de continuer son projet autour d’un collectif avec le soutien de la ville et la création d’une association en 1994, Pour l’Instant.13’ – La résidence comme période protégée pour s’interroger sur sa pratique avec 8 résidents autour d’une personnalité de la photographie.14’- Un format qui évolue sur la période et la durée et la création de la Villa Perochon, un centre d’art dédié à la photo en 2013 puis premier centre photo d’intérêt national en 2018.17’30 – Un financement public de la ville, de la Drac et de la région 20’ – Importance de la médiation avec le premier emploi de l’association dédié à un médiateur culturel. 23’50 – Durant les 15 ans premières années uniquement des bénévoles dont lui et il est salarié à mi-temps en 2012. Avant l’ouverture de la Villa Perrochon, il avait deux vies : directeur de centre socioculturel et bénévole de l’association Pour l’Instant. 27- Les étapes de création d’une association comme la sienne : _ proposer une idée et aller vers les gens qui sont intéressés de tous niveaux sociaux et professionnels pour créer un collectif et fédérer les énergies. _ l’animer en gardant des contacts fréquents et construire le projet ensemble. _ structurer petit à petit et se donner des objectifs sans contrainte de temps. 32’ – L’ancrage territorial l’a protégé des changements de municipalités. 34’20 – Les résidences des Rencontres de la jeune photographie internationale. 41’20 – Son conseil pour les photographes qui postulent aux résidences : être sincère dans ce que l’on propose et ne pas suivre les tendances. Oser présenter ce que l’on est, ce qu’on veut être et ce qu’on veut dire.44’30 – Il a des projets après la Villa Perochon, mais c’est trop tôt pour en parler.46’ – Ses conseils pour des personnes qui souhaitent créer une association comme la sienne : l’attention doit être portée au projet, car le projet fait le lien entre tout ce qu’on peut mettre en place. Il est important de mesurer le projet et les moyens que l’on dispose au quotidien. Aujourd’hui plein de dispositifs financiers peuvent détourner le projet. Il est important de se tenir à son projet politique et sincère, mais ce n’est pas la chose la plus simple à faire. 48’30 - Il a été tenté de faire une carrière de photo, mais il a fait le choix de travailler sur un projet photo collectif. On doit faire des choix douloureux en se demandant où on veut aller et pourquoi.Villa Perochon : https://www.cacp-villaperochon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 112. [BEST OF] #112 David Campany (Writer, curator and teacher) ENGLISH EPISODE

    06:29||Saison 1, Ep. 112
    -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive. Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterStay updated with the podcast: https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteYou can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 112. #112 David Campany (Writer, curator and teacher) ENGLISH EPISODE

    55:33||Saison 1, Ep. 112
    In this episode, we are at Somerset House during Photo London with David Campany. He is a curator, writer, publisher, and educator, teaching at the University of Westminster, London, and serving as Curator at Large for the International Center of Photography, New York. We talked about his love and addiction for writing, the projects he undertakes as an independent, as a teacher, and at ICP. Through his experiences, he gave us advice on how to protect our passion and keep our curiosity alive. 1'40 - Born in the late '60s, he was influenced by TV culture and movies by Fellini, Godard, etc.  6' - He quickly realized that he wanted to be involved with images because he found pleasure in looking at them and thinking about how they fit into the world.  9' - After his graduation, he was invited to curate shows and write texts. He became known for making unexpected connections between things. For example: an exhibition at Le Bal about Anonymous Americans in film.  19' - Why it is important to write to a writer if you think their work is good.  20'30 - Writing as an addiction.  23'10 - Juggling multiple projects: working on 3 shows and 8 books at the same time. He does not support repetition.  27'30 - The first text he wrote as a professional and his book for Phaidon, "Photography and Art."  32'10 - The magazines he created with the auction house Christie's and the collector Christina Belker.  37' - His experience in NY at the ICP, managing the program for 5-6 years.  45' - Now, exhibitions are collaborations between photographers and curators because, most of the time, the photographer has an idea of what the show will look like. Making exhibitions is part of their work.  47'40 - Advice for curators: you need to go beyond your ego in helping the artist create the work they can't do on their own. It’s tempting to say, "I will do it like this." But it is important to move past that phase.  51'30 - Advice for writers: just write, whether it will be published or not, and your writing will improve. Don’t be afraid to approach people you admire. Stay interested and aware of the possibilities. There is no formal career path.  53'15 - Now, he says yes to only 10% of the proposals he receives. If his heart is not in it, he cannot say yes. He cannot do something he is not interested in because it would kill the thing he loves. One important thing is to keep your curiosity alive.Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterStay updated with the podcast: https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteYou can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 111. [BEST OF] #111 Giovanna Calvenzi (Éditrice photo)

    05:13||Saison 1, Ep. 111
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Giovanna Calvenzi est une éditrice photo italienne qui a travaillé pour de nombreux médias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlé du déclin de la presse et de la disparition du métier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menés. Elle a été directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitée à Photo España en 2002, déléguée artistique au Mois de la Photo à Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari défunt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne écoute !Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/itPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 111. #111 Giovanna Calvenzi (Éditrice photo)

    56:20||Saison 1, Ep. 111
    Giovanna Calvenzi est une éditrice photo italienne qui a travaillé pour de nombreux médias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlé du déclin de la presse et de la disparition du métier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menés. Elle a été directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitée à Photo España en 2002, déléguée artistique au Mois de la Photo à Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari défunt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne écoute !2’ – Intéressée par la littérature italienne, assistante du photojournaliste Federico Patellani, professeur dans une école de photo et sa première collaboration dans la presse hebdomadaire en tant qu’éditrice photo.9’12 – Son expérience au Corriere della Sera, puis chez Condé Nast.11’10 – Son expérience en tant que directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998 suite à l’invitation de Bernard Millet et sa famille française, qui a commencé avec la rencontre de Christian Caujolle.17’30 – Commissaire invitée à Photo España en 2002 et déléguée artistique au Mois de la Photo à Paris en 2014.22’20 – Son métier d’éditrice photo chez Glamour pendant deux ans, puis à la Gazzetta dello Sport pendant douze ans, l’arrivée des banques d’images et sa dernière expérience dans la presse chez Famiglia Cristiana pendant quatre ans.37’ – La crise de la presse italienne avec la baisse des budgets et l’arrivée des agences en ligne. Il n’y a plus d’éditeurs photo, ce sont maintenant des iconographes.42’ – L’arrivée de l’IA l’enthousiasme, mais il faut protéger les auteurs en trouvant des règles.47’40 – Elle travaille pour les archives de son mari défunt Gabriele Basilico depuis 2013 avec l’assistant du photographe et son équipe. Elle fait des expositions, des livres et a créé un site avec un ancien collègue.50’ – Son conseil pour de futurs éditeurs photo : fréquenter le milieu de la photo en se déplaçant physiquement et en allant à Arles, Perpignan... et lire.53’ – Elle lit Libération, L’œil de la photographie, le Guardian et parfois la presse italienne.53’30 – Son conseil pour de futurs photographes : il est important de réfléchir à ce qu’on aime vraiment. On peut être un excellent photographe tout en ayant un autre emploi comme banquier ou médecin.Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/itPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 107. [BEST OF] #110 Chris Boot (Photography curator and book publisher) ENGLISH EPISODE

    08:41||Saison 1, Ep. 107
    -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.Subscribe to the podcast newsletter: https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterStay updated with the podcast: https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteYou can also find the podcast on Instagram, Facebook, and LinkedIn @lesvoixdelaphoto