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Belle Trace

Marc Maury : "Le saut de Fosbury a révolutionné ma vie"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Marc Maury, ancien décathlonien, consultant athlétisme et présentateur d'événements sportifs.


Marc Maury raconte comment il est devenu décathlonien (03:50). Après le football, il remporte des cross country en Algérie. "Je devais faire de l'activité, j'étais un peu hyperactif, sinon à la maison c'était l'enfer." Après être devenu champion d'Algérie cadet puis junior, Marc Maury explique comment sa curiosité sur une piste d'athlétisme l'a emmené au décathlon.


Après cette première aventure dans l'athlétisme (15:30), Marc est affecté à Paris comme professeur. Après trois ans d'enseignement, l'envie de découvrir autre chose est plus forte. Il commence sa carrière d'animateur puis de mannequin. "J'ai gagné en une journée comme mannequin, un an de salaire de professeur", déclare-t-il.


Recruté par Charles Biétry à Canal plus, Marc se souvient de l'évolution de la télévision dans le sport (28:40). Le speaker des grandes compétitions explique comment il prépare les interviews d'après match. Il partage une anecdote où, avant la course, il savait que Asafa Powell avait perdu juste en voyant son expression.


Pour finir, Marc Maury partage ses souvenirs (45:20) avec les différents grands champions comme Bolt, Federer, Nadal et bien d'autres.


Bonne écoute !


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Animation : Flo Masnada


Production : Eurosport

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  • Enak Gavaggio : "Pour être champion en ski, soit tu es extrêmement intelligent, soit tu es un peu naïf et bête"

    55:37
    Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Enak Gavaggio, ancien skieur acrobatique et personnage à part dans le ski français.Le sport et le risque, voilà deux ingrédients qui font saliver Enak Gavaggio, lui qui s'est "un peu tout cassé" (2:20) à forcer de chuter à ski, en VTT ou en parapente. "J'ai horreur de rester dans mon canapé, j'ai besoin de bouger", raconte le Savoyard de 47 ans, qui s'adonne aujourd'hui au hockey sur glace depuis cinq ans.Rentrer dans un moule, ça n'a jamais été pour lui. C'est ce qui l'a poussé vers le free ride et le ski cross, et l'a ainsi éloigné du ski alpin : "on n'avait pas le droit d'avoir les cheveux colorés ou longs, d'écouter la musique dans le bus. J'aurais préféré être Américain." (12:04) Enak Gavaggio a eu un coup de cœur pour une discipline faite de "confrontation directe" (17:43), comme s'il montait "sur un ring de boxe", mais a aussi embrassé l'aspect stratégique. "Je faisais exprès de doubler dans les endroits où on pensait que c'était impossible", partage le médaillé de bronze aux championnats du monde 2007 de ski cross. (21:47)Enak Gavaggio explique aussi comment est né son personnage de "dark lord", lui qui, auprès des autres skieurs, se faisait passer pour "un branleur (29:40) mais pense avoir beaucoup plus travaillé que les autres, dans l'ombre. A la fois relax et concerné, libre et déterminé, toujours dans la remise en question.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport
  • Adil Rami : "Ma devise ? On les aura les méchants !"

    28:57
    Pour une fois, la bouteille à la mer a été trouvée ! Quand Flo Masnada a contacté Adil Rami pour participer au podcast, c'était sans grand espoir d'avoir une réponse. Et pourtant, le champion du monde 2018 a bien accepté de prendre part à ce nouvel épisode de Belle Trace. A 37 ans, le défenseur est sans club après son aventure à l'ESTAC. A l'occasion du Sportel à Monaco, Flo Masnada est revenu avec lui sur sa carrière atypique, lui qui n'a pas connu un parcours classique. Sans être passé par un centre de formation, Adil Rami a réussi à devenir footballeur professionnel à Lille où il a remporté le championnat de France en 2011. Une ascension jusqu'au graal, le mondial 2018 avec l'Equipe de France qui a fait entrer le natif de Bastia dans la légende des Bleus. Très suivi sur les réseaux sociaux, il évoque sa relation avec la notoriété, et revient sur les moments difficiles de sa carrière. Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo Masnada
  • Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"

    59:21
    Quelques jours après la fin de la Coupe du Monde de Rugby en France, Flo Masnada reçoit Yohann Huget dans le podcast Belle Trace. Une chose est sûre, c'est que l'ancien rugbyman n'aurait jamais pu être un skieur ! A l'écouter, sa rééducation du côté de la Savoie ne reste pas dans ses moments favoris !Retraité depuis la fin de la saison 2021, Yoann Huget a été consultant pour la dernière Coupe du Monde. Impossible de ne pas revenir sur l'échec des Bleus en quart de finale face à l'Afrique du Sud. D'autant plus que tous les joueurs lui avaient dit, ils se voyaient Champions du monde !Avec Flo Masnada, l'ancien joueur joueur revient sur sa carrière, ses débuts au Stade Toulousain, le club de sa vie. Plus qu'un club, une famille comme il l'explique malgré un palmarès inégalé dans l'Hexagone. Une carrière aussi marquée marquée par des échecs comme sa non-participation au Mondial en 2011, sa grosse blessure quatre ans plus tard avant de faire partie de l'équipe qui s'est lourdement inclinée contre les All Blacks en 2019.Mais la carrière de Yoann Huget a aussi été marquée de trophées, comme celui gagné en 2010 avec le Stade Toulousain. Flo Masnada vous permet aussi de découvrir son après-carrière, lui qui est passé par le CDES à Limoges pour se former.Sans oublier les rencontres qui l'ont marqué !Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo Masnada
  • Sébastien Amiez : "Ma vie a été belle, riche d'enseignements"

    01:02:12
    Flo Masnada reçoit Sébastien Amiez dans Belle Trace. Mis très jeune dans le bain du ski alpin de haut niveau, le natif de Moûtiers découvre les JO pour la première fois en tant qu'ouvreur à Albertville. Selon lui, alors en pleine ascension fulgurante, ce premier contact avec les Jeux Olympiques a marqué toute une génération de skieurs français. "Bastoune" connaît rapidement le succès avec un petit globe de cristal remporté sur le slalom en 1996 puis connaît ensuite une carrière en dents de scie avec des douleurs récurrentes.Le slalomeur revient longuement, évidemment, sur Salt Lake City, où il remporte la médaille d'argent derrière Jean-Pierre Vidal, après une seconde manche "de rêve". Il plaisante même : "j'ai même été champion olympique un moment".Désormais, il est consultant pour la télévision, tout en gardant une grosse proximité avec le ski de haut niveau puisque son fils dispute la Coupe d'Europe depuis 2 saisons. Pour le vice-champion olympique et vice-champion du monde, la transmission aux jeunes est une valeur fondamentale et il regrette de ne pas être plus sollicité à ce sujet.Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Maxime Ducher
  • Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"

    01:07:21
    Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Christophe Pinna, 6 fois champion d’Europe et quadruple champion du monde de karaté. Mais avant de se mettre au karaté, Christophe Pinna a commencé les arts martiaux en découvrant le taekwondo. Au départ, le Niçois atterrit dans un dojo par la volonté de ses parents qui souhaitaient le voir canaliser son énergie et apprendre la rigueur et la discipline. “Le taekwondo, c’est un sport éducatif avec des valeurs martiales” (3:40) explique-t-il. Pour Christophe Pinna, cela a à la fois été une “punition” autant qu'une belle chance”, car finalement : “L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue.” (6:45), confie-t-il.Alors qu’il fête ses 17 ans, Christophe Pinna voit sa mère, touchée par de multiples cancers, décliner peu à peu. Il décide alors de se réfugier dans le sport. A la mort de celle qu’il a tant aimée, Christophe Pinna s’enferme dans son garage plusieurs heures par jour et s’entraîne, frappe dans un sac jusqu’à en saigner des poings. Il prend alors le sport comme un exutoire. “La seule manière de me faire passer à travers (cette épreuve) c’était de me faire souffrir” (9:40), dévoile-t-il.Puis arrive son service militaire et une période difficile d’un point de vue financier. Christophe Pinna doit manger à l’Armée du Salut et dormir dans un gymnase où il s’entraîne désormais au karaté. “J’ai toujours voulu m’entraîner seul” (26:15), ajoute le champion, ce qui lui a valu une relation tumultueuse avec sa fédération. Malgré tout, Christophe Pinna performe au plus haut niveau en s’imposant une discipline de fer. “Celui qui ne se lève pas à 4h du matin qui n’est pas énervé ne peut pas être aussi fort que celui qui est énervé” (35:22), assure-t-il.20 ans après avoir pris sa retraite, le Niçois décide de revenir à la compétition à 52 ans en repartant par le bas, le championnat départemental. Son âge lui cause de vives douleurs mais “je n’avais pas le choix, répète-t-il. Quand on a un rêve on est obligé d’aller au bout” (37:30). Sauf que le Covid est passé par là… Après sa deuxième retraite sportive, Christophe Pinna part un temps en Grèce, avant de travailler au Ministère des Sports puis de devenir entraîneur aux Etats-Unis.Mais au-delà de sa carrière sportive, le quadruple champion du monde a été révélé aux yeux du grand public en devenant coach sportif pour l’émission Star Academy (49:30). Enfin, Christophe Pinna revient sur ses passions : le ski, la course à pied ou encore le jet-ski…Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Maxime Ducher
  • Thomas Castaignède : "La vie de sportif est une vie cruelle"

    54:45
    Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thomas Castaignède, ancien international français de rugby, double vainqueur du tournoi des Cinq Nations, vainqueur du tournoi des Six Nations et quadruple champion de France avec le Stade Toulousain.Pourtant titré à de multiples reprises dans sa discipline, Thomas Castaignède commence ce podcast par une réflexion toute personnelle qu'il a eu au cours de carrière : "Ça doit être incroyable de se dire qu'on est vraiment le meilleur du monde, contrairement aux sports collectifs où l'on peut se cacher derrière les autres." (2:05) Une réflexion qui va mener la discussion vers ses débuts dans le rugby et comment il a arrêté pendant deux ans d'y jouer pour pratiquer l'athlétisme à cause d'un sacré caractère. Thomas raconte ensuite son passage au Castres Olympique et sa rencontre avec Pierre Fabre, un homme qui a changé sa vie selon ses propres mots. Un homme qui lui a permis de traverser sa vie de sportif, une "vie cruelle" comme il le dit, de la meilleure manière possible. (9:03) Il compare son expérience avec la génération actuelle et s'inquiète de la santé mentale des joueurs une fois leur carrière terminée.Le natif de Mont-de-Marsan évoque ses plus beaux souvenirs et notamment son premier jour dans le vestiaire du Stade Toulousain, alors occupé par une grande partie du XV de France de l'époque... Mais aussi d'autres plus douloureux à l'image de sa blessure au tendon d'Achille (21:30)Joueur du Stade Toulousain entre 1994 et 1997, Thomas Castaignède, qui s'est investi dans le club par la suite, a eu la chance de voir les débuts d'Antoine Dupont, qu'il n'a "jamais vu être mauvais". Il raconte ensuite les autres champions qu'il a pu rencontre tout au long de sa carrière de Jonny Wilkinson à Tim Horan en passant par Jonah Lomu ou Serge Blanco. (30:08)Enfin, il évoque en un mot l'évolution du rugby qui selon lui, est passé d'un sport collectif à un sport beaucoup plus individualisé, notamment dans sa préparation. Une évolution qu'il n'apprécie guère. (45:34)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport
  • Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

    57:51
    Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Serge Betsen, ancien international français de rugby, triple vainqueur du tournoi des Six Nations et triple champion de France avec le Biarritz olympique.Serge nous raconte son départ du Cameroun pour la France à seulement 9 ans mais aussi son enfance sur place, là où sa première rencontre avec le sport a tout simplement été l'heure de marche qu'il avait à faire pour aller à l'école. (1:40) Arrivé dans l'hexagone, l'ancien champion de rugby évoque la découverte de son sport, lui qui n'avait jamais vu un ballon ovale auparavant et n'en connaissait pas les règles. Il avoue même avoir encore du mal avec elles aujourd'hui (3:50). Elevé seul par sa mère avec ses six frères et sœurs, Serge Betsen explique comment il s'est créé un environnement de sécurité dans son club de Clichy. Il compare le le rugby à la pub "United Colors of Benetton" : des gens de tous les horizons qui se rassemblent autour de ce fameux ballon ovale qui l'a tant marqué (11:00)Vient ensuite le moment de se souvenir de ses plus grandes émotions en carrière, de sa première sélection en équipe de France à sa victoire en Coupe du monde universitaire en 1996 en passant par son adaptation au pays basque et sa volonté d'intégrer l'équipe première. (18:00) Serge raconte notamment l'anecdote d'un discours de Bernard Laporte à la mi-temps d'une rencontre du XV de France qui a inspiré une publicité pour une célèbre marque de pâtes (23:40)."Je n'avais pas les outils pour jouer en équipe de France". C'est avec ces mots que Serge Betsen décrit ses premiers pas sous le maillot bleu, marqués par un écart de trois ans entre sa première et sa deuxième sélection. Des premiers pas où son image de joueur fautif a été mis à rude épreuve, en témoigne ce carton jaune reçu lors du Crunch face à l'Angleterre lors de sa troisième sélection. (28:01)Avec émotion, notre invité évoquera la Serge Betsen Academy, association qui a permis grâce à la création de plusieurs centres d'accueil au Cameroun et au Mali d'aider plus de 8300 enfants ces 20 dernières années (38:15)Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport
  • Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

    46:34
    Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Dorian Coninx, champion d'Europe de triathlon en 2021, triple champion du monde en relais mixte en 2018, 2018 et 2020 et médaillé de bronze aux derniers Jeux Olympiques. Dorian commence cet "entretien" par le commencement et raconte comment il a décidé du jour au lendemain de passer de la natation au triathlon après une séance qui ne se passait pas très bien (1:45). Il explique la spécificité de sa discipline avec cet adage tout trouvé : "on ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut la perdre". Son passé de nageur est à cet égard un avantage pour bien démarrer ses triathlons même si Dorian est habitué à faire la différence à la course à pied (7:30). De la préparation mentale qu'il a commencé depuis 2016 à la récupération et à la nutrition en passant par la notion de groupe qu'il cultive à travers ses entraînements, Dorian s'épanche sur les coulisses de son sport : le fameux travail de l'ombre (13:13)Avec Flo Masnada, Dorian Coninx revient sur sa médaille de bronze en relais mixte au Jeux Olympiques de Tokyo, mélange de joie et de frustration compte tenu des résultats de l'équipe de France précédant la course (25:53). À partir des champions du triathlon qui l'ont marqué, Dorian avoue ce qui le motive à pratiquer ce sport dans lequel l'athlète va puiser jusqu'à ses dernières forces, quitte à défaillir en pleine course, de quoi "passer pour des fous" (33:23).Des efforts qui ne sont forcément pas toujours récompensés. Alors comment gérer l'échec ? Notre invité nous raconte sa méthode et la pire des choses selon lui lorsque nous y sommes confrontés : "le pire dans l'échec, c'est quand on ne comprend pas pourquoi" (37:44) Bonne écoute !Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"Florian Rousseau : "Il y avait de la défiance dans le regard, quelque chose d'animal"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter.Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.Animation : Flo MasnadaProduction : Eurosport