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Belle Trace

Le podcast «Belle Trace» est animé par Flo Masnada, ancienne championne de ski alpin. Choisir, décider, laisser sa trace, c’est ce qui l’a guidée pendant des années. A travers ce podcast, «Flo» donne la parole aux grands champions qu'elle a eu la...

Le podcast «Belle Trace» est animé par Flo Masnada, ancienne championne de ski alpin. Choisir, décider, laisser sa trace, c’est ce qui l’a guidée pendant des années. A travers ce podcast, «Flo» donne la parole aux grands
2/28/2023

David Smétanine : "On n'est jamais à vie le meilleur"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit David Smétanine, champion paralympique de natation à Pékin en 2008. Il nous raconte comment il en est venu au sport de haut niveau avec l'influence énorme qu'ont pu avoir les Jeux Olympiques et tous les champions qui y ont été consacrés dans les yeux d'un enfant. David évoque son parcours de vie, son accident de voiture et la vie qui s'arrête, les repères qui ne sont plus les mêmes pour le jeune nageur qu'il est alors - après s'être essayé au judo et au hockey sur glace. Et la vie qui doit reprendre avec ce nouvel handicap et tout à réapprendre, y compris le sport jusqu'au haut niveau. Il évoque l'importance et l'influence que peuvent avoir le sport et les champions paralympiques dans la société, notamment au travers des Jeux Paralympiques de Paris en 2024. Une échéance très importante pour David Smétanine qui rêve d'y finir sa carrière avec un titre à domicile. Comment ? Il nous le détaille. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :Damien Traille : "Je suis sorti en pleurant de mon tout premier match de rugby, mais j'y suis retourné"Thierry Rey : "Le sport nous façonne"Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait"Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport
2/15/2023

Marielle et Christine Goitschel : "Il a fallu avoir une force de caractère phénoménale pour résister à tout le monde"

Cette semaine, Flo Masnada reçoit les soeurs Goitschel, Christine et Marielle, les grandes gueules du ski alpin. A elles deux, les deux phénomènes compilent trois titres olympiques (deux pour Marielle et un pour Christine) et huit titres de championnes du monde (sept pour Marielle et un pour Christine), étant les terreurs des spatules dans les années 60.Dans ce podcast, les soeurs Goitschel évoquent leur début sur des skis dès leurs 16 ans (5:00). Elles se sont notamment faites connaître aux championnats du monde de Chamonix en 1962 où la cadette Marielle devient championne du monde du combiné à 16 ans et demi (record de précocité).Elles se sont battues pour être reconnues et mises en valeur au milieu d'un monde d'hommes, aussi bien d'un point de vue salaires et préparations physiques (16:20). Des caractères bien trempées nécessaires pour s'imposer aussi au niveau sportif, au point d'être valorisées aussi par le Président de la République d'alors, le Général de Gaulle, via la Légion d'honneur. Et lutter contre les préjugés (25:30). Et vous verrez que les Goitschel très au fait de l'actu des sports blancs grâce à Eurosport. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top"Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport
1/24/2023

Thierry Rey : "Le sport nous façonne"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thierry Rey, champion d’Europe, champion du monde et champion olympique de judo. Le judoka français qui a inspiré tant de jeunes ensuite et qui fut l’un des premiers consultants TV.Florance Masnada évoque dans un premier temps, les débuts de Thierry Rey. Comment a-t-il commencé le judo et pourquoi ? (01:50) Légèrement turbulent durant son enfance, le Français a commencé la discipline sur les conseils de son médecin pour le canaliser.Au début, il n’aime pas particulièrement le judo, mais Thierry Rey finit par y prendre goût au point qu’à13 ans, il avait un petit carnet avec des photos de ses idoles et il partait à la chasse aux autographes (07:10). Des idoles qu’il retrouvera en équipe de France quelques années plus tard.Le champion français revient ensuite sur ses premières compétitions et ses premiers sacres, mais surtout sur son rapport et son attachement avec le stade Pierre-de-Coubertin (08:25)Le judoka partage son état d’esprit avant chaque combat (12:45) et comment garder les pieds sur terre. Il fallait surtout un mental d’acier pour aborder un match. Il raconte aussi cette délivrance après une victoire et la satisfaction de réussir ses objectifs.Thierry Rey revient sur son titre olympique à Moscou en 1980 (17:40). Un titre qui ne pouvait pas lui échapper, 6 mois après son titre de champion du monde. Le Français décrit aussi la condition physique qu’il fallait avoir et surtout le poids qu’il devait maintenir.Après sa carrière de judoka, le Français ne voulait pas être entraineur, il avait envie d’autre chose, « de voir la vie » (24:00). Il a fait des kimonos, pris des cours de comédie, il a été chargé de missions pour les JO. Après avoir fait un peu de théâtre et des films, il a commencé les commentaires de matches pour Canal+, un des premiers consultants sportifs avant d’être journaliste et de commenter diverses disciplines. Sans oublier un passage en politique.Aujourd’hui, Thierry Rey travaille au comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 (35:00), conseillé spécial, il s’occupe des territoires, comment on partage ses jeux avec les départements et les Français.Il a aussi accompagné des athlètes au fil des années pour surtout leur montrer l’aspect psychologique du sport (40:00). Rien n’est fait et tout est encore possible, notamment pour les sportifs qui visent Paris 2024.Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport
1/17/2023

[REDIFFUSION] Jérôme Fernandez : "Le premier titre en 2001 avec les anciens a été magique"

Cette semaine dans Belle Trace, Flo Masnada reçoit le champion de handball Jérôme Fernandez. Issu d’une famille de handballeurs, le Français a tout de suite goûté à ce sport là et il a commencé très jeune dès l’âge de 5 ans et demi. (03:07) Il revient sur son parcours chez les jeunes avant de devenir professionnel. 1,99m et 106 kg. Un gabarit hors norme mais une croissance tardive pour Jérôme Fernandez, qui est passé de 1,78m à 1,97m à la fin de l’adolescence. Et c’est à ce moment-là qu’il s’est spécialisé au poste d’arrière. (06:00) "J’ai cette particularité d’avoir eu des blessures plus "grave" en dehors des terrains que sur les terrains". (10:10) Fernandez évoque sa brulure le matin de son départ pour les championnats d’Europe en Croatie, passé par des greffes et des soins lourds, cet épisode est resté un traumatisme qui l’a aidé à se construire. Novembre 1997, première sélection en equipe de France avec ses idoles d’enfance. "Je ne savais même pas ou m’asseoir à la table des joueurs". (15:00) Avant de devenir quelques années plus tard capitaine de cette équipe. Le Français raconte tous ces moments de vie au sein du groupe.Jérôme Fernandez décortique les plus beaux moments de sa carrière en bleu et les titres les plus marquants. "Le premier titre olympique à Pékin c’est ce qui nous a fait basculer d’une grande équipe de sport co à la reconnaissance internationale" (30:08) Après sa carrière de joueur, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers une carrière d’entraineur. Il parle de ses débuts et surtout de l’arrivée de Florent Manaudou, qui est passé de la natation au handball. "C’est compliqué de changer de sport et de performer de la même manière". (33:30) Il revient sur l’intégration du nageur au sein du groupe pro. Une parenthèse bénéfique pour Florent Manaudou pour la suite de sa carrière. Paris 2024 : "C’est une chance de pouvoir vivre les jeux à la maison" (41:30) Les deux équipes de France vont arriver avec le titre de champion olympique à défendre à domicile. Jérôme Fernandez a déjà hâte d’y être. Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Valérie Nicolas : "Les gardiennes n'avaient pas bonne réputation dans notre génération"Muriel Hurtis : "La piste me permettait de m'exprimer, d'extérioriser" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport
1/11/2023

Jean-Pierre Vidal : "Revenir après m'être fait les deux genoux et devenir champion olympique, peu l'ont fait"

Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Jean-Pierre Vidal, champion olympique de slalom en 2002. Facile pour elle de rencontrer "JP", car les deux sont consultants sur Eurosport. C'est donc tout naturellement que les deux champions se sont croisés entre deux commentaires. L'ex-skieur se penche d'emblée sur sa formidable épopée des Jeux Olympiques 2002 alors qu'il s'était blessé peu de temps auparavant et qu'il n'était même plus dans le groupe "Coupe du monde". "Cette blessure m'a énormément servi sur le plan mental", explique-t-il alors qu'il venait de se blesser aux deux genoux. Comment a-t-il réussi à surmonter cela ? (04:46) Une bonne dose de mental d'abord ainsi qu'un soutien familial et des collectivités. Concernant l'importance du soutien mental, il conseille aux plus jeunes de s'en servir pour réussir à performer ainsi qu'échanger avec les anciens skieurs (07:52). "JP" a aussi été un des précurseurs dans la quête de nouvelles techniques d'entraînement comme la pratique du Qi gong et du yoga pour acquérir davantage de souplesse (15:00). "Il faut prendre des options parallèles", conseille-t-il aux plus jeunes. Il prend aussi l'exemple de Bode Miller qui a su sortir du chemin pour exister et se construire un palmarès XXL.  Place à son titre olympique ensuite et cette journée mémorable aux JO de Salt Lake City en 2002 (18:43). Meilleur temps de la première manche, JP se présente au départ de la seconde en sachant que Bode Miller, son grand rival, vient de sortir de la piste. Comment a-t-il géré cela ? Ses réponses. La suite de sa carrière ? Il a d'abord connu une certaine décompression la saison suivante avant de gagner à Kitzbühel en 2006. (27:00) "Mes deux rêves de gosse, c'était de gagner Kitzbühel et les Jeux Olympiques", avoue-t-il avant de raconter sa mésaventure aux JO de Turin en 2006, deux jours avant l'épreuve de slalom. "Je me casse le bras et je ne peux pas défendre mon titre", explique-t-il. Pas de deuxième médaille pour le skieur de la Toussuire qui avait choisi de mettre un terme à sa carrière à la suite de ces JO.  Il bascule ensuite très vite dans l'après-carrière "en s'y mettant à 100%". D'abord dans la construction immobilière (30:24) et en tant que consultant sur Eurosport. Que fait-il à côté ? (33:35) Du surf déjà au point d'avoir songé à en faire une deuxième carrière, du kite-surf et du ski en poudreuse.   Bonne écoute ! Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace : Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron : "Tu dois être fort pour l'autre" Nathalie Péchalat : "Dans le sport de haut niveau, tu es toujours en course contre-la-montre" Luc Alphand : "J'ai connu une époque où quand on faisait 15e, 20e en descente, c'était top" Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici Animation : Flo Masnada Production : Eurosport