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cover art for Pollution lumineuse et population d'insectes, pourquoi les martinets, hirondelles ou chauves-souris sont en danger, avec Marion Gayaud et Yasmine Corazzani / Volet 2

Vivre demain

Pollution lumineuse et population d'insectes, pourquoi les martinets, hirondelles ou chauves-souris sont en danger, avec Marion Gayaud et Yasmine Corazzani / Volet 2

Saison 1, Ep. 3

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  • 2. Confort et santé dans le bâti, avec Claire-Sophie Coeudevez, directrice de Medieco

    30:20||Saison 1, Ep. 2
    Claire-Sophie Coeudevez, ingénieur en stratégies de santé dans le cadre bâti et urbain, directrice de Medieco, nous explique son parcours et comment la santé a petit à petit pris une place prépondérante dans le bâti. On a échangé sur le manque d'informations et la nécessité de sensibiliser sur l'omniprésence des perturbateurs endocriniens dans nos univers de vie et leurs dangers. On est également revenu sur la démarche ECRAINS© et sur l'importance de la qualité de l'air intérieur que la crise Covid a révélé au grand public. Elle nous raconte sa fierté d'avoir participé à faire de la santé une thématique incontournable des projets pour mieux Vivre demain.
  • Teasing - Confort et santé dans le bâti et les territoires, avec Claire-Sophie Coeudevez, directrice de Medieco

    02:01|
    Bientôt la diffusion du 2 épisode de Vivre demain autour du sujet du Confort et de la santé dans le bâti et les territoires, avec Claire-Sophie Coeudevez, ingénieur en stratégies de santé dans le cadre bâti et urbain et directrice de Medieco. Voici un petit aperçu...
  • 1. Résilience de territoire, avec Emmanuelle Perrin, architecte-urbaniste

    30:20||Ep. 1
    Emmanuelle Perrin, architecte-urbaniste, co-fondatrice de l'association RAW (Risk and Architecture Workshop) et fondatrice de l'agence Perrin architectures, revient sur son parcours et ce qui l'a amenée à envisager une architecture plus résiliente, en accord avec son territoire.On a complètement oublié là où on habitait. On s’est senti protégé par une infrastructure et on a créé la vulnérabilité du territoire en l’habitant de manière générique et en se sentant protégé par la technique. Le besoin est là : il ne s’agit plus uniquement de créer de l’esthétique, mais il s’agit d’apprendre à relire les limites géographiques du territoire et à réinscrire la manière de l’habiter dans ces limites-là.