Latest episode

  • [Spécial Podcasthon] Avec Reporters d’Espoirs pour des médias qui donnent envie d’agir

    27:32
    L’information fait partie de la solution. Je vous propose de vous engager avec le podcast Soluble(s) pour soutenir l’ONG Reporters d’Espoirs.En 2024, l’association se tourne encore plus vers la jeunesse (lire ci-dessous).Merci !Simon Icard _Informer pour inspirer, informer sans désespérer les gens. À l’occasion du Podcasthon 2024, Soluble(s) s’engage avec “Reporters d’espoirs”, une association qui fête ses 20 ans en 2024, deux décennies d’actions concrètes "pour que l’information et les médias donnent envie d’agir."Dans un monde où les médias sont souvent accusés de se concentrer exclusivement sur les mauvaises nouvelles, l'association française Reporters d'Espoirs émerge comme un phare d'optimisme et de changement. Cette organisation à but non lucratif a pour mission de promouvoir un journalisme constructif et responsable en mettant en avant des histoires positives et des solutions concrètes aux problèmes de notre société.C’est cette association qui a initié le journalisme de solutions, dès 2004 et fait des émules dans le monde entier.“Ce n’est pas une idéologie, c’est une méthode. Chacun peut s’en emparer comme il l’entend” indique Gilles Vanderpooten, directeur de Reporters d’Espoirs. « Le journalisme de solutions s’emploie à analyser et à diffuser la connaissance d’initiatives qui apportent des réponses concrètes, reproductibles, à des problèmes de société, économiques, sociaux, écologiques. »Pour Soluble(s), Gilles Vanderpooten revient sur le contexte de défiance d’une partie du public envers les journalistes et les médias, et détaille les actions de l’association pour y remédier. S’adresser à la jeunesse fait aussi partie de la solution, vous l’entendrez ! En 2024, Reporters d’Espoirs s’associe au CLEMI (Education nationale) pour l’éducation à l’information et aux médias à l’école.L’association développe un programme de formation au journalisme de solutions sur plusieurs années, qui va toucher 2000 enseignants et 200 000 écoliers, collégiens, lycéens. “Il va mettre les jeunes dans la peau d’apprentis reporters pour les amener à s’intéresser aux acteurs de solutions dont les initiatives apportent des réponses à des problèmes écologiques, sociaux, économiques et culturels, dans leur environnement proche” nous confie Gilles Vanderpooten.Reporters d’Espoirs agit avec les médias pour qu’ils diffusent la connaissance de réponses à des problèmes économiques, sociaux, écologiques. Trois actions : des PRIX pour mettre à l’honneur jeunes, journalistes et innovateurs un LAB pour étudier et accroitre l’impact des médiasune REVUE pour diffuser l'inspiration.La précommander est un formidable moyen d’aider “Reporters d’Espoirs” à financer ses projets : Ces jeunes qui font la « Génération solutions »148 pages https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/reporters-d-espoirs-cb6cce55-3d71-49b1-a153-76a0d8a193d5Voir aussi :le site : reportersdespoirs.orgLe site du Podcasthon, le premier rassemblement caritatif des podcasts francophones propulsé par l'association AltruWe.Pour la 2e édition, + de 450 podcasteuses et podasteurs s'engagent pour une association de leur choix : podcasthon.org

More episodes

View all episodes

  • Qu’est-ce que le CDD tremplin qui permet aux travailleurs handicapés de rebondir vers un emploi durable ?

    19:35
    Depuis le 1er janvier 2024, le CDD Tremplin est inscrit dans le Code du travail. C’est un parcours pour surmonter une partie des obstacles qui se trouvent sur le chemin des personnes handicapées dans leur accès à l’emploi. Soluble(s) fait le point sur ce dispositif spécifique qui conjugue contrat de travail à durée déterminée et accompagnement individualisé.Un accompagnement vers de nouveaux postes, particulièrement nécessaire lorsque la survenue d’un handicap contraint le plus souvent à se réinventer professionnellement.Un dispositif de lutte contre le chômage, pour rebondir et faire changer les regards de certains recruteurs sur le handicap dans le monde du travail. Le taux d’emploi des travailleurs handicapés progresse, mais reste nettement inférieur à celui de la population générale. Les personnes handicapées représentent 7,1 % de la population en âge de travailler, mais seulement 4,0 % des personnes en emploi. Le CDD “tremplin” a été généralisé en France après une période d’expérimentation. Il permet aux travailleurs handicapés au chômage de bénéficier d'un accompagnement individualisé renforcé pour une meilleure insertion professionnelle. Un outil supplémentaire qui ambitionne aussi de faire changer les regards des recruteurs qui sont 62 % à percevoir comme “difficile” l’embauche d’un salarié porteur d’un handicap. Démontrer que c’est possible. Soluble(s) s’intéresse à cette solution inclusive avec Nathalie Barreault. Elle est la directrice des ressources humaines de STD Pro, une entreprise adaptée spécialisée dans les services de dématérialisation numérique depuis 2009 et qui s’est saisie du CDD tremplin dès sa phase d’expérimentation en 2019. Une société qui collabore avec des entreprises partenaires qui leur expriment leur besoin de compétences. Une entreprise adaptée est une entreprise à part entière, qui permet à des personnes reconnues « travailleurs handicapés » d’exercer une activité professionnelle salariée dans des conditions adaptées à leurs besoins et possibilités. Elle emploie au moins 55 % de salariés handicapés dans ses effectifs de production. C’est avec ce type d’entreprise qu’il est possible de signer un CDD tremplin, un contrat de travail à durée déterminée (4 à 24 mois) d'insertion spécifique aux entreprises adaptées. Il permet au salarié de bénéficier d'un accompagnement individualisé.En quatre ans, 80 salariés ont été recrutés avec le CDD Tremplin par STD Pro, puis formés et suivis en situation de travail dans des entreprises du territoire. Pour aller plus loin, STD Pro qui est basée dans les quartiers nord de Marseille, lance un « Parcours d’information et d’accompagnement » destiné aux responsables RH et dirigeants de grandes entreprises du territoire Aix-Marseille-Provence. POUR ALLER PLUS LOINVoir le site du “parcours d’information et d’accompagnement" destiné aux responsables RH et dirigeants de grandes entreprises du territoire Aix-Marseille-Provence mis en place par STD Pro www.inclusionautravail.comTIMECODES00:00 Introduction01:15 Le parcours de Nathalie Barreault02:38 Des biais cognitifs chez les recruteurs 03:53 Observations de terrain 05:30 Le CDD tremplin, c’est quoi ? 08:09 Quels critères pour signer un CDD tremplin ? 09:03 Salaires, temps de travail10:22 STD Pro est une entreprise adaptée14:16 Un nouveau parcours d’information pour les grandes entreprises16:54 Et chez STD Pro, quelle inclusion des travailleurs handicapés ? 18:52 Merci à Nathalie Barreault !Fin
  • Enfants et adolescents : les protéger des écrans. Oui, mais comment ?

    30:45
    Comme absorbés par les écrans. “Des parents qui n’y arrivent plus, qui me disent, il est là, mais j’ai perdu mon enfant, des enseignants alarmés par la baisse de la capacité des élèves à rester attentifs”, Sabine Duflo en rencontre chaque jour dans ses consultations de psychologie. Des parents qui viennent la consulter avec leur enfant en raison de leur “difficulté à se concentrer, pour des troubles de l’attention, des troubles du sommeil ou encore des problèmes de comportements”.Les écrans sont omniprésents dans notre vie quotidienne et il est de plus en plus difficile pour les parents de protéger leurs enfants des dangers qui y sont associés. La télévision, les tablettes, les ordinateurs et les smartphones font désormais partie intégrante de notre environnement, et les enfants y sont exposés dès leur plus jeune âge. 56 minutes de temps d’écran par jour pour les moins de deux ansLes enfants passent en moyenne 3 h 40 minutes par jour devant un écran, les 1 à 6 ans:16 heures / semaine devant les écrans selon une étude Ipsos (2022). Des temps d’écran qui différent selon l’âge une étude conduite par Santé publique France.Pour Soluble(s), Sabine Duflo, psychologue clinicienne et thérapeute familiale, décrypte les dangers pour les enfants et les adolescents de l’accès de plus en plus précoce et de plus en plus prolongé aux écrans. La fondatrice du collectif surexposition écrans (le CoSE) signe le livre : “Il ne décroche pas des écrans ! - Comment protéger nos enfants et nos adolescents” (Ed. L’échappée), Sabine Duflo nous donne des conseils pour “lutter contre la toxicité des écrans”. Cela passe par des interdits, la psychologue est à l’origine des “4 PAS, 4 temps sans écran pour mieux avancer”, ce sont quatre temps sans écran à observer dans la journée pour “mieux grandir”. LIRE LA DESCRPTION COMPLETE SUR LE SITE DU PODCAST https://csoluble.media/epsode/enfants-et-adolescents-les-proteger-des-ecrans-oui-mais-commentPOUR ALLER PLUS LOIN Lire le livre : “Il ne décroche pas des écrans ! Comment protéger nos enfants et nos adolescents” par Sabine Duflo (Ed. L’échappée) https://www.lechappee.org/collections/poche/il-ne-decroche-pas-des-ecransLe site du CoSE - collectif surexposition écrans https://surexpositionecrans.fr/ Voir l’affiche citée dans l’émission : Les 4 PAS la méthode de prévention de Sabine Duflohttps://www.sabineduflo.fr/wp-content/uploads/2023/12/Visuel-fleur-4-pas.pdf TIMECODES 00:00 Introduction 01:29 Le parcours de Sabine Duflo03:28 Écrans : “Dès lors qu’il y a exposition, il y a un risque de surexposition”05:12 Comment évaluer le temps d’écran à autoriser 07:07 Les smartphones et l’explosion du temps passé 09:30 Observations de terrain 11:46 Les “4 PAS” la méthode de prévention de Sabine Duflo 15:21 Les limites d’âge 18:01 Les adultes doivent questionner leur propre rapport aux écrans20:46 Le regard des mamans sur leur bébé et son interruption par la consultation du smartphone24:05 L’action des pouvoirs publics 29:34 Merci à Sabine Duflo !Fin 
  • Comment repérer un discours et des contenus complotistes

    41:08
    À l'ère d'internet et des réseaux sociaux, les théories du complot se propagent plus rapidement que jamais. Selon une étude de la Fondation Jean-Jaurès, 79% des Français croient en au moins une théorie du complot*. Il est donc essentiel de savoir comment repérer un discours et des contenus complotistes pour ne pas se laisser duper. Soluble(s) a posé des questions simples, mais pas simplistes au spécialiste Rudy Reichstadt, fondateur du site Conspiracy Watch. Les théories du complot offrent souvent des explications simplistes à des événements complexes, mais “ce sont des récits abusifs, c’est différent d’une hypothèse de complot” nous confie Rudy Reichstadt. Des complots existent, mais ils sont infiniment plus rares que les innombrables théories conspirationnistes qui tentent d’expliquer certains faits historiques ou d’actualité.  À la différence des complots vérifiés, les théories du complot sont des croyances qui ont toutes en commun de stigmatiser des responsables, de désigner un bouc émissaire pour expliquer des événements en s’éloignant du réel et en exploitant les peurs. Plongée contemporaine dans ce phénomène historique qui comporte des dangers pour la vie en commun et le débat démocratiqueEn séduisant des citoyens, ces théories peuvent les séparer en des groupes qui ne parviennent plus à s’entendre, à dialoguer ou agir autour d’une même réalité. Des théories alternatives qui ont trouvé dans les plateformes numériques, peu régulées, un canal de diffusion fulgurant, permettent à des émetteurs de contenus conspirationnistes d’exercer une forme de “négationnisme en temps réel”. Dans cet épisode, le politologue, auteur et journaliste Rudy Reichstadt, qui se consacre à l’étude et la dénonciation des théories complotistes depuis 2007, décrypte ce phénomène et étudie à notre micro des solutions pour y faire face. Des réponses qui passent par la connaissance, le développement de son esprit critique et une régulation juridique efficace des plateformes numériques. Nous évoquons aussi le sujet fondamental de la liberté d’expression, d’ailleurs notre invité rappelle que “les théories du complot sont libres de s’exprimer, mais dans les modalités prévues par la loi” (pas de négationnisme, d’incitation à la haine,.) et Rudy Reichstadt de revendiquer le fait “qu’on est libre de les dénoncer et d'expliquer leur dangerosité”. Le site : https://www.conspiracywatch.info/ *L’enquête “complotisme” de la Fondation Jean Jaurès et Conspiracy watchLivres (Ed. Grasset) : Au cœur du complot et L'opium des imbécilesLe podcast “Complorama” (Rudy Reichstadt, Tristan Mendès France, Pauline Pennanec'h.)https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/complorama/ TIMECODES 00:00 Introduction 01:30 Le parcours de Rudy Reichstadt04:27 Le complotisme, c’est quoi concrètement ? 07:02 Avec le numérique, un négationnisme en temps réel ? 09:07 Les différents dangers actuels du complotisme14:22 L'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis d’Amérique16:46 Les conseils de Rudy Reichstadt pour reconnaître un contenu complotiste21:36 L’actualité, un carburant pour les théories complotistes24:17 La complosphère, un écosystème très structuré 27:13 La régulation européenne des plateformes numériques30:23 La liberté d’expression et le complotisme 37:05 Conspiracy Watch, quelles sources de financement ?40:02 Merci à Rudy Reichstadt !FinPhoto: ©Stéphane Vaquero/Le DDV
  • Podcasthon 2024 : la générosité s’exprime en cœur pendant 7 jours dans les podcasts

    17:17
    C’est une semaine sonore au grand cœur. Le plus grand rassemblement caritatif des podcasteurs et podcasteuses francophone est de retour fin mars 2024 ! Durant sept jours, plus de 400 animatrices et animateurs de podcasts natifs et de certains médias vont publier un épisode “hors série” dans le cadre du Podcasthon 2024. Un numéro spécial de leur programme audio mettant en avant une association ou ONG de leur choix. Objectif : médiatiser des causes qui leur tiennent à cœur et tenter de lever des fonds la dernière semaine du mois de mars.Cette opération événementielle sans but lucratif est organisée par l'association Altruwe. Fondée en 2021, par deux ex-entrepreneurs dans le numérique, elle s’est donnée pour mission de promouvoir l'engagement, le monde associatif et des comportements altruistes.Pour Soluble(s), Jérémie Mani, l’un des deux cofondateurs d’Altruwe détaille les contours de la deuxième édition du Podcasthon qui se déroulera du 25 au 31 mars 2024. Une semaine pour actionner et coordonner “l’influence positive qu’ont les podcasteurs et podcasteuses sur leur communauté respective” et encourager les particuliers à devenir bénévoles ou donateurs.POUR ALLER PLUS LOIN Voir la liste des podcasts inscrits sur le site www.podcasthon.orgLes inscriptions sont possibles jusqu’à fin février-début mars via ce formulaire en ligneLe site de l’association Altruwe organisatrice du Podcasthon 2024 : www.altruwe.orgTIMECODES 00:00 Introduction 01:06 Le parcours de Jérémie Mani01:49 Le Podcasthon, c’est quoi ? 03:25 Le média podcast, pourquoi ce choix ? 04:31 La diversité des thèmes et des causes06:16 Les causes, comment sont-elles choisies ? 07:51 Les dons, comment sont-ils collectés ? Par qui ? 10:10 Vers une deuxième édition du Podcasthon plus belle que la première11:55 Les podcasteurs sont des gens passionnés13:59 Inscrire son podcast pour y participer 15:14 Le contexte économique et le don16:33 Merci à Jérémie ManiFin _Soluble(s) s'engage pour Reporters d'Espoirshttps://csoluble.media/epsode/special-podcasthon-avec-reporters-despoirs-pour-des-medias-qui-donnent-envie-dagir/⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️Note le 5 étoiles, stp ICIChaleureusement, Simon Icard ❤️ 
  • “Toit à moi” achète des appartements pour loger des sans-abri

    26:10
    “Il faut 120 personnes qui donnent 20 euros par mois pendant cinq ans pour financer l’emprunt qui permet d’acheter un appartement”. L’association “Toit à moi” en a déjà acheté 62 à travers la France. Un financement participatif est en cours pour acquérir un troisième logement dans la ville de Marseille. Pour Soluble(s), Julie Nicol, la directrice de l’antenne marseillaise de l’association, détaille l’action de ce mouvement citoyen, fondé en 2007, qui accompagne durablement des personnes sans-abri pour “les aider à changer de vie”. Depuis 2007, l'association Toit à moi reloge et accompagne des sans-abri dans de véritables appartements qu’elle achète grâce à des campagnes de financement participatif solidaire. Des dons ponctuels ou réguliers qui ont déjà permis d’aider 150 personnes à sortir de la rue et retracer leur avenir. Dans cet épisode, nous faisons le point sur l’ampleur de la crise du logement en France et à Marseille en particulier. Dans son 28e rapport sur l'état du mal-logement en France, la fondation Abbé Pierre comptait 330.000 personnes sans domicile fixe dans le pays et constatait une saturation des places d’hébergement d’urgence. Un contexte d’autant plus alarmant qu’elle relevait une baisse des mises en chantier de logements sociaux en parallèle d’un nombre record de demandes. Julie Nicol travaille depuis dix ans dans le secteur du logement et de la solidarité. En 2022, elle a fondé l’antenne marseillaise de l’association “Toit à moi” en étant particulièrement séduite par une approche : “on aide les personnes le temps qu’il faudra”. Les bénéficiaires des logements achetés par l’association n’ont pas de durée limitée, ces appartements sont une porte d’entrée et un tremplin pour travailler sur les problématiques qui ont pu précipiter les personnes dans la rue. Et ces raisons peuvent être nombreuses, vous l’entendrez. En pratique, l’association observe que l’accompagnement d’une personne se poursuit sur une période de deux ans et demi à trois ans. Une fresque des personnes sans-abri pour déconstruire les idées reçuesEn complément des opérations de financements participatifs et de collecte de dons, l’association peut compter sur des mécènes et des subventions publiques. Pour aller plus loin, “Toit à moi” organise des ateliers en entreprise afin de sensibiliser à ces problématiques et faire changer les regards. Ainsi que "Courir pour Toit”, un défi sportif pour lever des fondsPOUR ALLER PLUS LOIN La page du financement participatif pour l’achat d’un troisième appartement de “Toit à moi” à Marseille : https://soutenir.toitamoi.net/crowdfunding/crowdfunding/project/appartement_marseille_2022 Le site national de l’association Toit à moi et la liste des villes en France : https://www.toitamoi.net/fr/implantations TIMECODES 00:00 Introduction 01:18 Le parcours de Julie Nicol 04:25 L’ampleur de la crise du logement en France et à Marseille07:28 Pourquoi acheter des logements plutôt que de les louer ?12:01 Qui peut bénéficier des appartements de Toit à moi ?14:39 L’accompagnement est intensif et durable sur tous les plans de la vie18:32 Comment participer ? 21:18 La fin de la trêve hivernale au 31 mars en France 23:08 “La fresque des sans-abris” pour déconstruire les idées reçues25:06 Merci à Julie Nicol Fin Note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ stp
  • Endométriose, l’éducation thérapeutique pour mieux soutenir les patientes

    14:47
    Sur quoi agir au quotidien face à l’endométriose ? Comment mieux soutenir les patientes atteintes de cette maladie gynécologique inflammatoire qui touche près de 10 % des femmes menstruées, de façon chronique ? Elodie Torrès, 33 ans, patiente engagée et fondatrice de “A.I.M.E contre l’endométriose” détaille les contours du projet d’éducation thérapeutique du patient Endo Gâtinais-Montargois (Loiret).Consultations médicales gratuites et ateliers pour apprendre à mieux vivre avec cette maladie L'endométriose engendre des douleurs invalidantes sur lesquelles il est possible d’agir afin de les faire régresser. Elodie Torrès souffre de cette affection depuis ses 14 ans, mais son endométriose n’a été diagnostiquée qu’à l’âge de 21 ans. Cette période de sept ans correspond au délai moyen d’errance diagnostique des femmes en âge de procréer concernées par la maladie. Pour contrer l’isolement des patientes et l’errance médicale, Elodie a lancé un programme pluridisciplinaire avec une association de professionnels de santé libéraux de la région Centre-Val de Loire. Ce projet a reçu le soutien financier de l’agence régionale de santé (ARS). Tout est pris en charge par l’ARS : infirmières, gynécologues, kinésithérapeutes, sages-femmes, diététiciennes et sophrologue se mobilisent autour des patientes lors de consultations et ateliers gratuits. Soluble(s) fait le point sur cette approche qui permet aux patientes de “ne plus se sentir seules” et d’améliorer leur accès aux soins. Dans cet épisode, nous abordons aussi, le changement de regard de l’ensemble de la société et du personnel médical en particulier qu’Elodie Torrès appelle de ses vœux. En 2022, le président français, Emmanuel Macron, avait annoncé, le lancement d'une stratégie nationale de lutte contre l'endométriose, il avait indiqué dans son discours que « Ce n’est pas un problème de femmes. C’est un problème de société ».Écoutez. POUR ALLER PLUS LOINVisiter le site de l’association A.I.M.E contre l’endométriose https://endoaime.fr/ Suivre sur Instagram : https://www.instagram.com/aime.endometriose/ Paris, Marseille, Montpellier, Nîmes, Aix-en-Provence, d’autres programmes d’éducation thérapeutique Endométriose, ailleurs en France : https://www.sante.fr/endometriose/education-therapeutique-endometriose La page dédiée à l’endométriose sur le site de l’assurance maladie en France : https://www.ameli.fr/paris/assure/sante/themes/endometriose/definition-facteurs-favorisants TIMECODES00:00 : Introduction01:21 L’engagement d’Élodie Torrès02:42 Qu’est-ce que l’endométriose concrètement ?04:19 La douleur occasionnée 05:54 Changer les regards de la société08:01 Le projet d’éducation thérapeutique du patient10:23 Focus sur l’alimentation et la prévention de l’inflammation 12:20 Pour un congé menstruel 13:51 Merci à Elodie TorrèsFin POUR SOUTENIR LE PODCAST : Abonne-toi , je serais très heureux de te compter dans l’équipe des constructifs ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️Note le 5 étoiles, stp. Simon Icard ❤️