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Hello Mammas (ex Le Tourbillon)
Pauline, un seul suffit
Pour devenir mère, Pauline a du passer par la case FIV car les résultats du spermogramme de son mari étaient vraiment mauvais. Sans stress, Pauline était surtout très impatiente de rencontrer son futur bébé.
Après avoir fait toutes les analyses et les premiers transferts ratés, Pauline tombe enceinte et démarre sa grossesse. Mais lors de l’échographie du premier trimestre elle sent bien que quelque chose cloche… La sage-femme n’arrive pas à bien prendre les mesures et détecte un retard de croissance. Puis Amandine fait la prise de sang pour le tri-test qui révèle la présence d’hormones liées à la trisomie 18. C’est le coup de massue quand on lui confirme que son bébé est atteint de cette pathologie qui ne laisse quasi aucune chance de survie in utero ou au cours de la première année de vie.
À cinq mois de grossesse, Pauline va donc devoir procéder à une IMG et accoucher de sa fille.
Comment Amandine a vécu cette épreuve ? Comment a t-elle trouvé la force de continuer son parcours de FIV ?
Dans cet épisode, de se mettre en mode robot, de ne pas avoir de congé maternité et d’avoir enfin une bonne nouvelle.
Bonne écoute !
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Émilie Fanich, ma famille XXL
01:31:20|Émilie est entrée dans le monde de la maternité directement avec une paire de jumelles, et ça tombait bien car elle en a toujours rêvé. Elle rêvait aussi d’avoir une famille nombreuse de quatre ou cinq enfants car elle a elle-même grandi au sein d’une grande fratrie.C’est donc naturellement que son mari et elle ont eu leur cinq enfants, des filles. Et puis pourquoi pas tenté d’avoir un garçon, et puis il lui faudra bien un autre frère à lui aussi… En bref, les années passent et les grossesses s’enchaînent jusqu’à être au complet avec leurs neuf enfants.La plus grande a quatorze ans, la plus petite a deux ans et comme les grossesses se suivent mais ne se ressemblent pas chacune d’entre elle a été différente. Émilie a connu la gémellité avec tout ce que cela implique, mais elle a aussi connu l’épisio, la couveuse, le tire-lait, l’allaitement écourté, l’allaitement long, l’allergie à la bétadine, le déclenchement, la césarienne, le cordon autour du cou, le CMV, un bébé sans prénom… bref vous l’aurez compris, Emilie a vécu pas mal d’aventures. Et pourtant toutes ont été de belles grossesses, et sa vie de famille remplie d’enfants et de bruit, elle l’adore et ne la changerait pour rien au monde. Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasAnne-Lise, ma maternité tardive
42:59|C’est le retour d’Anne-Lise dans le podcast, six ans après être venue nous parler de sa grossesse tardive. Anne-Lise a eu plusieurs vies, elle était dans un groupe de rock pendant des années et la maternité n’était pas un sujet qui l’intéressait. Jusqu’à qu’elle approche des quarante ans et qu’elle ait subitement une envie viscérale de devenir mère.Alors comment c’est de vivre une maternité tardive ? Aujourd’hui son fils a dix ans et Anne-Lise en a cinquante. Elle est passée de l’accouchement à la préménopause, et de rockeuse à thérapeute qui accompagne toutes les femmes qui comme elle, approchent de la quarantaine et se posent mille questions sur une potentielle maternité tardive. Parce-que oui la maternité tardive implique un suivi de grossesse particulier, d’ignorer l’avis des gens, d’entendre les professionnels parler de grossesse gériatrique, une fatigue plus présente, et hormones en ébullition avec la ménopause. Mais c’est surtout s’accomplir en tant que femme à tout âge car finalement qui a décidé que l’on ne devait plus avoir d’enfant avant le tic tac final de l’horloge biologique ?Bonne écoute ! ---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasCharline, quand la poche des eaux se fissure trop tôt
49:18|Depuis l’adolescence Charline rêvait d’être maman alors c’est tout naturellement que le projet bébé s’est mis en place quand elle a rencontré son conjoint. Ravie de découvrir sa grossesse, elle vit ses premiers mois avec nausées et autres maux mais un jour alors qu’elle est à son travail, Charline sent un liquide couler. Direction les urgences pour savoir ce qu’il se passe et le verdict tombe rapidement, la poche des eaux s’est fissurée. Ce serait une banalité si Charline était en fin de grossesse mais elle n’est qu’à seulement vingt semaines et le risque d’un accouchement prématuré plane. Elle va devoir être alitée strictement jusqu’à la fin de sa grossesse soit de nombreux mois sans pouvoir se lever sauf pour aller aux toilettes.Heureusement elle va au bout de cette grossesse et rencontre sa fille, mais la solitude mêlée à l’angoisse de perdre son bébé pendant la grossesse font qu’elle a du mal à créer le lien. En parallèle le papa agriculteur travaille beaucoup, le bébé dort peu et le couple va tout droit au baby clash. Finalement le couple se ressoude et ils décident de faire un deuxième enfant. Et bien quei les médecins lui assurent qu’il n’y avait aucune chance que la poche des eaux se fissure à nouveau pendant sa deuxième grossesse, il faut croire que parfois, la foudre tombe deux fois au même endroit...Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasBetty, ma dépression prénatale
49:08|Betty était mariée, en projet pma pendant deux ans mais elle s’est rendue compte que cette vie toute tracée n’étais finalement pas faite pour elle. Alors elle plaque tout puis retrouve l’amour. Lui est déjà papa alors Betty devient la belle-mère de trois ados, autant dire qu’elle est directement plongée dans le grand bain ! Elle a toujours désiré de devenir maman mais lui n’avait pas envisagé d’avoir d’autres enfants et a donc fait une vasectomie.Heureusement rien d’irréversible, et après quelques discussions, Betty tombe enceinte. Et elle pensait que comme dans les films, la grossesse était forcément une expérience merveilleuse, mais ça va être tout le contraire. Betty n’arrive pas à connecter avec son bébé, plus rien ne la rend vraiment heureuse, elle a peur de regretter et se sent assez seule. C’est ce que l’on appelle la dépression prénatale.Dans cet épisode Betty nous raconte comment elle a vécu cette grossesse, pourquoi elle s’est mise au tricot, comment sa maternité a bouleversé sa vie pro et les leçons qu’elle a tiré de cette dépression prénatale.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasAmélie, devenir mère à seize ans et grand-mère à trente six ans !
40:22|Amélie grandit à Dunkerque et à l’âge de quinze ans elle découvre sa grossesse surprise. Et après quelques hésitations elle décide de garder son bébé bien qu’elle ait peur de la réaction de ses parents. Finalement tout se passe plutôt bien, Amélie continue l’école avec son ventre rond, entourée de ses copines. Elle démarre sa vie de jeune maman chez ses parents et donne naissance à son deuxième enfant deux ans plus tard.Lorsqu’elle devient majeure Amélie prend son envol, se sépare, revient vivre chez ses parents avant de faire une nouvelle rencontre et de repartir. Les années passent, Amélie a maintenant trente-six ans et six enfants. Et si elle a adoré toutes ses maternités, avec le recul elle aurait aussi aimé pouvoir profiter un peu plus de sa jeunesse. Alors quand sa fille lui a annoncé à son tour sa grossesse à dix-neuf ans, Amélie a d’abord eu un peu de mal avec cette nouvelle, d’autant plus qu’elle était elle-même enceinte de son sixième bébé. Mais aujourd’hui elle est une heureuse maman de six enfants et une très jeune grand-mère de trente six ans !Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasDominique Bayle, mes petits princes
01:06:25|Il y a des femmes dont le parcours de vie sort des sentiers battus, des femmes qui vivent une aventure extraordinaire, sans être mère, auprès des enfants. Et Dominique fait partie de ces aventurières que la vie a transformé en faiseuses de rêves.Lorsqu’elle a sept ans, Dominique a un accident qui la laisse seule face à son imaginaire. Hospitalisée, elle n’a rien pour la divertir, elle manque l’école et finit par redoubler. Et même si cette expérience en tant qu’enfant va être les prémices de tout ce qu’elle va créer plus tard, Dominique elle, rêve de devenir monitrice de ski.Alors pendant des années, elle va réaliser son rêve et travailler dans des clubs. Et c’est en 1987 qu’elle tombe sur un article qui parle des enfants hospitalisés aux États-Unis à qui on réalise les rêves. C’est décidé, Dominique veut faire la même chose en France et avec sa belle-soeur, infirmière, elles créent l’association Petits Princes pour réaliser les rêves des enfants malades.Et bien que la question de la maternité se soit posée, le projet de vie de Dominique est clair, elle va dédiée sa vie aux Petits Princes. Aujourd’hui son association a réalisé près de dix mille rêves et dans cet épisode elle nous raconte tout son parcours, de son enfance à son investissement sans limite pour mettre un peu de magie dans la vie des enfants.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasMAMMAS COMEBACK // Marine, la vie par un fil
02:10:40|C’est le retour de Marine dans le podcast six ans après son premier passage 💃🔥Elle nous raconte la suite des aventures de son petit guerrier devenu petit garçon. Marine est maintenant la maman de trois enfants et son deuxième fils Ayden souffre d’une malformation très grave au rein depuis sa naissance. Elle nous racontait le parcours de son fils et ce qu’elle envisageait avec incertitude pour son avenir, avec notamment une greffe du rein le plus tard possible.Au milieu de la maladie, il y a eu les hauts et les très bas, mais aussi l’envie d’agrandir sa famille. Et là aussi Marine a vécu deux grossesses arrêtées avant de devenir la maman d’une petite fille.Alors que s’est-il passé ces dernières années ? Comment a t-elle géré de front en équipe avec le papa ? Quel a été le parcours d’Ayden jusqu’à cet appel téléphonique qui va changer le cours de la maladie ? Comment vit-il aujourd’hui avec son précieux Senshi ? Et comment Marine accuse le coup après des années intenses la tête dans le guidon entre hospitalisation, dialyse et prises de décisions ?Un épisode long pour comprendre le quotidien d’une maman ordinaire qui a vu débouler la maladie avec la maternité. D’une maman louve, lionne, qui jongle nuit et jour entre les machines et la fratrie. En bref, la mamma incroyable d’un merveilleux petit guerrier.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammasCéline Bailleux, mon enfant a un TDAH
01:05:44|Céline Bailleux a toujours voulu avoir des enfants, toute petite elle calculait même le nombre d’enfants qu’elle aurait et choisissait leurs prénoms. Vers trente ans, son désir de maternité est accompli avec l’arrivée de sa fille puis rapidement de son fils, car elle voulait aussi une fratrie aux âges rapprochés.Ce que Céline n’avait pas prévu en revanche c’est l’arrivée du TDAH (Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité) au sein de sa famille. C’est en fin d’année de maternelle que la maîtresse lance une première alerte en lui disant que ça ne va pas du tout pour sa fille, qu’elle n’écoute pas les consignes et qu’elle a tout le temps la tête dans les nuages.Céline vient de se séparer du papa de ses enfants et on lui fait vite comprendre que c’est sûrement lié à cela. Pourtant à la maison tout va bien, sa fille est heureuse et contente aussi d’aller à l’école. Alors quand en primaire, les professeurs font le même constat, Céline prend rendez-vous avec des spécialistes qui lui diagnostiquent un TDAH accompagné d’une dyspraxie. La culpabilité de la séparation s’envole, et laisse place à une nouvelle manière d’accompagner sa fille notamment sur le plan scolaire. C’était en 2015 et on ne parlait pas du TDAH. Aujourd’hui sa fille a seize ans et Céline nous raconte toutes les montagnes qu’elle a du déplacer pour que sa fille s’épanouisse en dehors des cases.Dans cet épisode, on parle de la molécule de la ritaline, de sortir du moule et d’apprendre à vivre avec la tête dans les nuages. Bonne écoute ! ---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas