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La Pensée visuelle en ébullition

Une mosaïque d'histoires et de pépites au service de vos explorations !


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  • 3. S06-Questions-des-auditeurs-E03- Claire à Hastringues

    09:26||Saison 6, Ep. 3
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Claire à Hastringues, en Nouvelle-Aquitaine.1°) Comment professionnaliser son activité dans la facilitation graphique ?2°) Comment répondre à une commande ?Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.

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  • 3. S06-E03-Nicolas VERDOT, le fondateur des Décoincés du crayon

    35:33||Saison 6, Ep. 3
    Nicolas VERDOT, fondateur des « Décoincés du crayon » et créateur du sommet du visuel depuis 5 ans. Après avoir un parcours de consultant en agilité, Nicolas accompagne aujourd’hui, de nombreux acteurs de la formation et de l’accompagnement à développer leurs compétences visuelles.Son SiteSi vous souhaitez vivre le sommet du visuel, c’est par ici.« Je me souviens de la première fois où j’ai pris une feuille de paper-board et que j’ai commencé à dessiner un bateau … et les personnes qui passaient dans le couloir qui me regardaient et qui me disaient « Tu fais quoi, tu n’es pas payé à dessiner ! » « J’ai eu la chance d’avoir un manager qui m’a invité à explorer d’autres façons de faire. »« D’une réunion traditionnelle, où on serait certainement aller à la confrontation car on partageait pas les mêmes idées, avec des outils simples et visuels, on a pu mettre à plat les idées (…)« Tout est une question de sens. Pourquoi on a besoin d’eux ? Qu’est-ce qu’on attend d’eux ? Qu-est-ce qu’on va faire ? » « Ensuite, c’est de poser un cadre sécurisé et prévenir qu’on va utiliser des techniques différentes de celles qu’on a l’habitude d’utiliser. »« Tu ne les surprends pas avec quelque chose d’enfantin mais avec quelque chose qui les surprend et qui fait sens. » « Si tu partages ton intention, l’équipe va comprendre pourquoi tu le fais. »« Le titre « Décoincés du crayon » ce n’est pas moi qui l’ait inventé c’est une personne qui me la soufflé à la fin de la formation, (…) avec cette envie de faire passer le pas (…) On ne cherche pas à faire de l’art, on cherche à donner à voir. » « Dès que tu commences à mettre de la sécurité dans la pratique, les gens se déverrouillent très rapidement et ils se rendent compte très vite qu’ils sont, eux aussi, capable de mettre du visuel dans leurs pratiques personnelles et professionnelles. »« La plupart des personnes en formation se rendent compte que cela ne passe pas uniquement par le fait de recopier des pictogrammes, cela passe par une posture corporelle. Cela passe par une mise en sécurité du corps pour que ton cerveau soit à même d’apprendre. »« Interdiction de gribouiller sur l’école, dans les cahiers, ce n’était pas correct, ce n’était pas bien. »« (A l’école), j’avais beaucoup de mal à lire quelque chose de vertical, avec beaucoup de textes, j’avais besoin de mettre des images, de me faire une présentation plus sympa, plus visuelle, pour pouvoir apprendre. »« S’il y a un point commun que je repère dans les différents métiers (qui utilisent la pensée visuelle), c’est la volonté de prendre du plaisir au travail et dans les échanges qu’on peut avoir les uns avec les autres. »« Un des sujets qui m’a fait rêver, c’était une intervention d’Etienne Appert où il faisait découvrir, comment en se baladant dans des musées de peinture, on pouvait s’inspirer pour créer des métaphores et modéliser de l’information sur des planches. »« Quand tu es facilitateur graphique, tu as besoin d’être connecté à to : qu’est-ce que tu ressens ? Comment le groupe se sent ? Qu’est-ce qui est en train de se passer ? Quelles émotions ressortent ? (…) Sentir le flow, pas juste le voir, le ressentir. Et pour le ressentir, il faut être connecté à soi » « Ce n’est pas que écouter, trier de l’information et la représenter, c’est aller chercher finalement l’essence de l’énergie de ce qu’il se passe dans le groupe. »
  • 2. S06-Questions-des-auditeurs-E02-Raynald à Caën

    08:29||Saison 6, Ep. 2
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Raynald à Caën."Comment rendre son sketchnote impactant ?"Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 2. S06-E02-Nicolas GROS auteur du grand livre de la Facilitation graphique

    47:21||Saison 6, Ep. 2
    Nicolas GrosFacilitateur graphique depuis plus de 20 ans et formateur.Auteur d'un ouvrage intitulé "Le Grand livre de la facilitation graphique"Son siteVoici quelques extraits du podcast :« Dans le style graphique, je ne pense pas avoir tant évolué que cela par contre j’ai eu des va y vient entre deux pôles extrêmes entre pas de dessins et trop de dessins« Il y a beaucoup de choses qui se passe autour du visuel et on en fait tout un plat alors que le sujet n’est pas le visuel mais l’impact qu’à le visuel sur la pensée, sur un groupe ; Et c’est cet impact qu’on va chercher à travailler, à créer, à mitiger, à gérer, c’est cela la facilitation, sinon c’est juste du graphisme ou de l’illustration»« Ce que tu produis en doit pas être le visuel mais l’impact qu’aura le visuel sur le groupe »« il me parait important de distinguer ce qui est du moyen, de l’objectif, de la méthode »« C’est non pas l’effet Ouahhou mais Ah Ouais ! au sens ah ok maintenant j’ai compris»« Je préfère rendre le sujet palpable, tangible, compréhensible, accessible pour que les gens puissent s’en saisir et qu’il le voit d’une façon qui les aide à avancer dans leurs compréhensions. Cela ne parle pas de sa qualité esthétique mais de sa qualité de sens »« Je préfère un croquis tout pourri qui dénoue une discussion qu’un très joli dessin qui tue une idée. »« (Au niveau de l’écoute lors d’une transcription visuelle d’une discussion en temps réel), entre le tout début et maintenant, c’est le jour et la nuit ! Avant je ne savais pas ce qu’il fallait écouter, on m’avait rien dit. (…) Depuis, plusieurs choses ont évolué, d’abord la préparation de mon écoute. La discussion prend corps dans une poupée russe de contexte. Si tu n’as pas analysé ces contextes en amont, il te manque des clés de lecture pour comprendre ce qui est en train de se passer. « « C’est comme si on calibrait son écoute grâce aux informations analysées que tu vas récolter avant , non pas ce que l’on va se dire mais pourquoi nous allons avoir cette discussion»« Tiens quand j’entends quelque chose, quel sens cela peut avoir ? Quelle importance ?« Si la discussion tourne en rond ou se répète, … le fait de ne pas capturer a aussi un impact sur leur discussion. »« Le numérique, c’est moins ma tasse de thé, même si je travaille aussi avec ces outil, parce que ce n’est pas la même posture physique, on n’a pas le même rapport aux personnes, on n’est pas dans la même ambiance, le même type d’engagement. Après il y a des situations qui nécessitent que cela soit digital.» Avec le digital, il y souvent qu’un écran, on retrouve un canal linéaire où la cartographie disparait au profit d’une nouvelle. … Le support physique reste pour moi quelque chose d’incomparable »« la croyance fondamentale, c’est qu’il faut savoir dessiner. Pourquoi ? Parce que le visuel est prégnant, il est physique, il est visible. Donc, il prend une place, donc on a l’impression que c’est tout un sujet. Alors que lorsque regarde techniquement ce qu’il est nécessaire de réaliser graphiquement, il n’y a pas vraiment grand-chose, c’est très accessible. Tout l’enjeu est autre part, dans la posture, dans la sélection des informations, dans la compréhension des liens qu’on peut tisser. »
  • 2. S06-Questions-des-auditeurs-E01-Marie à Brest

    09:26||Saison 6, Ep. 2
    1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.Aujourd'hui, Il répond aux questions de Marie à Brest.1°) Comment faire quand on ne sait pas dessiner ? 2°) Quand les cartes mentales ne sont pas notre entrée préférée ? 3°) Comment organiser ses idées rapidement ?Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?C'est par ici que cela se passe ...Posez vos questions ici !Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcastDiffusion chaque samediavec en alternance:un interview avec un praticien professionnel ou amateur de la pensée visuelle au sens largeun épisode qui répond à une des questions posées par un auditeur.Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
  • 1. S06-E01-Pierre MONGIN, un des pionniers de la pensée visuelle en France !

    41:02||Saison 6, Ep. 1
    Pierre MONGINAuteur de nombreux livres sur la pensée visuelle, conférencier et formateur, Pierre MONGIN, actuellement en retraite active, est un des pionniers de la pensée visuelle en France. Cela fait près de 30 ans qu’il travaille sur ces questions. Après avoir dirigé un office HLM, Pierre est devenu consultant de la fonction publique au CNFPT pour former des agents de la fonction publique territoriale. Un jour, en mission, en Colombie, en déjeunant avec un consultant américain, il découvre le mindmappingL'art du management visuel (2iéme édition)https://mindmanagement.org/Enseigner autrement avec le mind mapping « Les cartes mentales sont une représentation du fonctionnement des associations d’idées qu’il y a dans notre cerveau. »« Pour passer son bac au Japon, il faut apprendre 30 000  idéogrammes ! Donc, ils utilisent beaucoup plus leur cerveau droit, même si maintenant c’est très controversé la séparation entre le cerveau droit et gauche. »« Dans la pensée visuelle, ce qui est intéressant c’est d’utiliser à la fois l’intelligence kinesthésique avec l’intelligence logico-mathématique« Gaston La Gaffe était le premier mindmapper avant l’heure avec ses feuilles plantées sur la cactus ! »« L’intelligence c’est la capacité à relier les choses ensemble : interligare »« Je pense que l’intelligence artificielle restera toujours un assistant car il ne va pas pouvoir discréminer pour remettre les choses dans l’ordre »« Aujourd’hui, que ce soit pour enseigner, former ou manager, les mots et les chiffres ne suffisent plus pour communiquer. » « On a un besoin croissant d’outils visuels. Il y a une telle masse de connaissances à organiser, en plus de cela avec l’intelligence artificielle, il faut développer l’esprit critique sinon on va tomber dans les travers (…) des biais cognitifs »Face à la masse des données, on confond information et connaissance. Or, ce qu’on a besoin d’organiser aujourd’hui, c’est ce que l’on retient, ce que l’on extrait des données, les mettre en contexte qui ne peut être qu’un tri, une mise en forme humaine. »« Ce n’est pas l’exhaustivité qu’il faut viser, c’est d’avoir la bonne information, au bon moment et à la bonne personne. »« Dans un travail en classe avec les élèves ou un management, c’est toujours la même chose, on est surchargé de données et l’important c’est d’avoir justement quelques informations qui vont nous permettre de piloter. »« Le fait de coproduire permet l’engagement des personnes. »« Les outils visuels permettent de réduire les difficultés qu’on les gens à comprendre la complexité du monde, la difficulté des projets, des systèmes, des écosystèmes. »« Je crois que l’humain, la touche d’originalité sera irremplaçable quel que soit l’intelligence artificielle. »« A l’ avenir, il faudra contrebalancer ce tsunami numérique précisément par le travail  que chacun d’entrer nous fera pour transformer ces données en informations puis en connaissance et voir en sagesse. »
  • 6. S05-E06-Manuella CHAINOT BATAILLE, autrice du livre "Sketchnote à l'école primaire" est passionnée d'Agilité et de visuel !

    27:48||Saison 5, Ep. 6
    Manuella CHAINOT-BATAILLEAprès avoir enseigné à l’école primaire et maternelle pendant près de 20 ans, Manuella CHAINOT BATAILLE a découvert grâce à son mari, l’univers de l’Agilité. Une belle reprise qui redonne du sens à son métier. Aujourd’hui, elle intervient comme Maître Formateur au sein de l’éducation nationale et intègre le service départemental « Ecole inclusive » de la Sarthe. Elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des élèves qui ont des troubles du langage, dysphasiques et dyslexiques et aussi les élèves à Haut potentiel. Autrice de l’ouvrage « Le sketchnoting a l’école primaire », chez DunodSon site  et son compte linkedin« Cela doit être trop bien de prendre ces notes comme cela et on doit être plus attentif. Il a la chance d’être debout alors qu’on doit rester assis. »« Oui mais moi je ne sais pas dessiner, je n’aime pas cela te en plus j’écris mal. »« J’ai eu pratique régulière pour les visites des stagiaires avec un canevas et une feuille A4. … j’ai rapidement vu que cela me faisait filtrer les informations que je gardais (…) et une grande aide pour l’entretien à mener avec le jeune collègue. Un support tout en un bien efficace. »« Utiliser le visuel plutôt que la voix pour favoriser la concentration en classe »« S’il y a des élèves à s’opposer à la pensée visuelle, cela sera à la marge, beaucoup moins que d’élèves qui n’accrochent pas avec l’écrit. » « On a tout intérêt à les initier, à leur proposer cet outil en plus pour les aider à mémoriser, à comprendre, aider à être attentif. »« Surtout pour les élèves à Haut potentiel mais aussi pour le sélèves Dys, leur donner de le droit de griffonner (…) pour rester attentif pendant des phases orales, pour pouvoir illustrer ses cours pour mieux les mémoriser par exemple. »« Avec les parents j’avais tendance à les sketchnoter dans le carnet de liaison, et j’avais l’impression en tout subjectivité que cela facilitait la communication qu’il y avait des petits retours de parents dans le même esprit qui rajoutaient des p’tits smiley près de leurs signatures, à la fois ( pour les « parents non francophones et les parents débordés ».) ».« Cela permet à l’enseignant qui détient le savoir, qui maîtrise, qui a le pouvoir d’une certaine façon, à une posture plus de facilitateur.trice. Quand j’avais le crayon, c’était plutôt les élèves qui avaient la parole. Cela permet de découpler les apprentissages. »« La sketchnote va , en amont, permettre d’élaborer plus facilement et plus rapidement un brouillon construit, dans le sens où il va noter les idées dans l’ordre qu’elles arrivent tout en ayant au final un outil qui va être ordonné, organisé, qui va faire un canevas, un repère que l’élève va pouvoir reprendre pour rédiger. »« Je sens que j’ai besoin de m’inspirer de sources d’inspiration plus artistique qui me redonnent des idées de métaphore et merci à Philippe Brasseur qui m’a mis sur ces rails. »« La visibilité des cartes, j’aime bien que cela aille à l’essentiel, qu’on comprenne vite où cela commence, par quel chemin on passe, pour moi c’est vraiment la clé. Qu’on voit le fond de sa pensée assez rapidement, peu importe qu’il y a peu ou beaucoup de dessins.»