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La Pensée visuelle en ébullition

Une mosaïque d'histoires et de pépites au service de vos explorations !


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  • 5. S04-E05-Ludivine-SCHOTT , enseignante certifiée de la méthode Zentangle, exploite le visuel à des fins méditatives !

    39:27
    Ludivine Shott, formatrice en Zentanglewww.croquinotes-gribouillage.comLudivine SHOTT, enseignante certifiée Zentangle, également formée aux outils de la pensée visuelle et en danse rythmique-thérapie. A travers, ses ateliers et ses formations, Ludivine vous faire découvrir les bienfaits des arts méditatifs.« Au début, je me suis sentie seule. C’était très peu développé en France »Au départ, pour moi c’était réserver aux Artistes … ce n’est pas pour moi … mais cela m’attire »« Cela ne n’est pas tout de suite enclenché. Il faut bien comprendre la philosophie la façon de pratiquer pour prendre confiance »« Le contraste entre l’encre noir et le papier blanc, …. Cela donne un bel effet »« C’est une pratique où il n’y a pas de résultat à attendre. C’est l’instant présente qui compte. On ne vise pas un résultat parfait ou à l’identique de quelque chose.»« On peut s’autoriser à faire différents du modèle. »« Dans la méthode zen tanche on essaie de se détacher du figuratif et d’aller vers l’abstraction. Cela permet de lâcher prise. »« En chemin, l’écologie est très importante avec moi. Trouver sa propre écologie avec différents outils de connaissance de soi. Être bien soi-même pour être bien avec les autres et avec la nature.»« On rentre dans un état par la répétition. On rentre dans un état de flow où tout paraît assez facile. On ne voit pas le temps passer. On parle d’état de conscience modifié. C’est un booster de joie énorme »« Tout c’est de nous apprendre à accepter et à rebondir à partir d’un trait. »

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  • 4. S04-E04-Frederic-DURIEZ et sa mise en mouvement des objets et des personnages

    37:25
    Frederic DURIEZFacilitateur graphique, formateur et responsable d’un organisme de formation à Paris.Site de FrédéricPassionné de Bande dessinée, Frédéric croque avec beaucoup d’humour, de sensibilité et de mouvement des contenus très variés.Dans ce podcast, il partager son expérience professionnelle et personnelle du dessin et de la facilitation graphique.Frédéric nous invite à oser le brouillon collectif et participatif sans forcément produire un miroir positif de l’entreprise.« La facilitation graphique invite à une autre posture. Au moment où tu sors les crayons, tu vas plus être dans un rôle de celui qui organise, celui qui pourrait arbitrer. Je l’utilise beaucoup pour faire réagir les personnes, les provoquer »« Il fallait des flèches mais de pauvres flèches. C’était bien si la flèche exprimait quelque chose. Si on pouvait mettre du texte autour. »« L’objet doit être vivant et organique : c’est pour moi assez essentiel. Le bonhomme peut être en bâton mais il doit dire quelque chose. »« Jouer sur le contraste entre courbe et ligne droite. » « On habille différemment les personnages. »« Ne cherchons pas à sur détailler mais jouons les contrastes cela interagit cela bouge »« Il faut d’abord savoir écrire. Trois polices d’écriture avec des contrastes. »« Il y a des personnes qui sont davantage dans l’émergence. » « Avec des phases de conscience et d’émergence »« Il y certainement d’une dizaine de manière de bien faire »« Pour le moi un sketchnote, c’est un moyen d’apprendre pour attaquer un truc où je n’irai pas »« Je commence par le portrait et me balader ailleurs. Je vais papillonner autour »« On utilise souvent des métaphores mais on finit pas toujours utiliser les même. Mais à un moment il n’y a plus de surprise, c’est de venu du code ! » « Comme en poésie, quand on utilise trois fois la même métaphore, elle devient complètement usée presque contre-productive, elle fatigue »« Une métaphore doit viser à être universelle mais on peut imaginer qu’elle aussi un temps limité. Le sens peut évoluer : la trottinette pouvait représenter la liberté il y a 5 ans mais aujourd’hui cela ramène plus l’individualisme car il y a eu du débat depuis. »« Souvent on se raconte des choses, cela passe souvent par la voix. Je regarde la personne, je pose le crayon. Ma voix et l’auditif me dit où regarder. »« Progressivement, pour les facilitateurs et leurs clients on constate plusieurs entrées, plusieurs modes de fonctionnement   plus sur la narration l’animation la spontanéité quelque part une maturité qui permettra de différencier les approches »« Petit à petit, on observe deux champs, celui où on fait quelque chose de joli qui va rester dans l’entreprise et un autre champ qui est celui où on fait participer, on fait quelque qui sera peut être jeté à la fin mais qui nous aura permis d’atteindre un objectif. » « Il faudrait être fier qu’il détruise tout mais qu’ils en fait quelque chose » « On parle beaucoup de co, de pensée collective  alors que souvent les œuvres sont des œuvres individuelles ! »« Cela produit quelque chose mais pas toujours uniquement un miroir positif de l’entreprise. »
  • 3. S04-E03-Baptiste, Clémence, Anaïs et Sophie : une équipe de champions au Mind-Mapping

    33:40
    Vous avez envie d’en savoir plus sur le championnat de Mind-Mapping ?Dans cet épisode, je vous propose d’entendre une équipe de 4 personnes qui a vécue une belle expérience collective à ce sujet.Vous entendrez le témoignage de : Baptiste, jeune en Martinique, 14 ans, 7eme au classement mondial et 3ème au classement français, Clémence, 17 ans, Championne du monde de jeune, Sophie Le Penher, facilitatrice graphique et  Anaïs Rodriguez, Haute-Savoie, vice-championne du monde et championne de France, facilitatrice graphique Site d'Anaïs Site de Sophie Baptiste « C’était une expérience très chouette, … le Mind-Mapping on apprend en s’amusant, c’est très efficace et cela sert toujours, au niveau scolaire pour apprendre les leçons et cela permet aussi de rencontrer des personnes très intéressante. »,« C’est vraiment libre, on choisit ses couleurs et on fait comme on en a envie. »,« Pour résumer un livre, je mets de période … selon ce qu’il se passe et à la fin tout tient dans une feuille »« On est assez speed. L’épreuve c’est deux heures le magazine est un peu long, on doit écrire vite, écrire l’essentiel et ensuite on retranscrit tout sur la Mind-Mapping. »,« En Martinique, Ils font des cartes mentales mais pas conformément au mind-mapping »,« C’est surtout maman qui m’a fait découvrir le Mind-Mapping »Clémence « On a 3 épreuves dans la même journée: Une carte mentale sur un discours de 20 mn, un magazine de 40 pages à résumer en 2 heures, aAvec un mot, on doit réaliser une mind-mapping »,« Cela m’a bcp aidé pour résumer de grands pavés de cours. A la fin j’avais juste une feuille A4 et souvent cela en étonne beaucoup dans les classes. »,« Je visualise souvent les cartes mentales dans ma tête pour récupérer les cours après »,« Une Mind-mapping c’est plus facile à dessiner, joli et impactant facilement,« Une Sketchnote, il faut passer plus de temps à savoir où tu vas mettre les choses. »,« J’ai fait du Mind-Mapping dans toutes les langues pour apprendre mes cours », « On s’inspire et on s’entraide, je trouve cela intéressent durant le championnat »Anaïs « J’ai découvert le minmapping par hasard : je cherchai comment je pouvais m’organiser et me libérer l’esprit plus facilement. » ,« Un outil que j’ai trouvé révolutionnaire et dont je ne me passerai plus », « La concentration est extrême durant l’épreuve. », « J’utilise le Mind-Mapping  pour m’organiser dans mon quotidien, quand ma tête est pleine et que j’ai du mal à faire des choix quand j’ai plusieurs projets en même temps. Même sur papier cela me fait du bien … aussi sous la forme de développement personnel. »Sophie « L’accompagnement cela signifie un entraînement régulier. Cela ne s’improvise pas. », « L’enjeu après le championnat c’est de se détacher de toutes ses règles pour se détacher et prendre plaisir. » ,« C’est comme un grand sportif, on va bien au-delà du Mind-Mapping. On leur apporte des notions sur la gestion du stress, que manger à midi ? comment gérer le stress ;  un atout pour différents examens qu’ils seront amenés à faire après»«(dans un premier temps) ,la main automatise les gestes, ensuite il y a une forme de libération, … on peut se concentrer sur la rapidité la créativité. »
  • 2. S04-E02-Anne BOSQUET, l'architecte devenue facilitatrice graphique.

    25:50
    Après une carrière d'architecte, d'illustratrice et de directrice à la fondation d'Auteuil, Anne BOSQUET vous partage sa passion pour la facilitation graphique dans les univers professionnels. La pensée visuelle lui donne l'occasion de faire de belles rencontres et de se lancer de beaux défis. Sa plus grande production se trouve en altitude, dans un refuge de haute montagne !Anne est facilitatrice graphique près de Briançon.« Le dessin a toujours été présent dans ma vie … mais j’avais avant un rapport personnel difficile avec l’art comme métier. »« C’est une démarche où l’outil visuel a sa place mais de façon simple et décomplexée : il n’y a pas d’enjeux artistiques. »Etant dans une grosse structure avant, j’ai pu l’expérimenter sous différentes facettes : 1-La façon de prendre des notes, et je ne me suis plus jamais ennuyée en réunion, ce qui était plutôt une vraie révolution. Parce que j’étais devenu active en prenant mes notes. 2- pour communiquer en travail d’équipe, 3- mes premiers scribbings en grand format en interne »« En fin réunion, « Ah mes c’est génial tes notes, tu peux me faire une photocopie ? » et quand je vois que ce compte-rendu est affiché dans le bureau des collègues. C’est quand même rare qu’un compte-rendu soit affiché dans un bureau ! »»« C’est un outil accessible et sobre par rapport à la puissance qu’il permet. La facilitation graphique capte l’attention, elle a quelque chose de magique.» « C’est un outil efficace à la mémorisation, à la compréhension commune, à la réflexion. Cela permet d’avoir de nouvelles idées seul ou en groupe. Cela permet aussi d’exprimer des choses délicates, difficiles, parfois compliquées qu’on ne pourrait pas dire ou écrire tel quel dans un compte-rendu.»« Le terrain d’expérimentation est infini. »« Vous avez dessiné à la main et c’est tellement humain »« La langue française est imagée et je crois que je suis arrivé à 180 métaphores. »« C’est drôle. On parle de choses sérieuses mais de manière un peu plus légère et amusante. Cela fait descendre la pression dans nos cerveaux et cela nous autorise à penser un peu différemment »« J’ai gagné un concours pour installer des panneaux acoustiques dans un refuge de haute montagne. » « C’est la production la plus grande, la plus haute mais surtout la plus pérenne. Souvent on travaille sur des événements sur de la communication qui sont très importantes sur le moment mais qui ne vont pas durer. Elles ne vont pas rester 10 ans nos facilitations graphiques. Et là, en voyant ces panneaux, je me suis dit « ah on peut aussi en faire pour des objets plus pérennes. » »« IL y a deux compétences que je n’ai jamais lâché dans ma carrière : 1-le recours au visuel, au dessin et 2- le fait de mettre toujours des projets en œuvre »« Quand je fais du scribbing j’aime bien avoir en amont des informations, une structure, (c’est mon côté architecte), j’ai besoin du plan mais à l’intérieur de ces espaces, je me laisse porter. »« Dans les prochaines années, je pense qu’il y a encore une belle marge de progression pour redonner sa place au dessin dans le milieu professionnel. C’est à la fois de plus en plus connu mais pas partout Il y a le côté évènementiel mais aussi le côté la pratique en interne dans les équipes. »« J’aimerai bien qu’on débatte plus sur l’intelligence artificielle. … et qu’on se forme juste comme il faut pour ne pas se faire dépasser. Il y a une belle combinaison à faire. Notamment pour les raisons spécifiques de cet outil, très simple, très sobre, papier -crayon. Pour l’instant, l’IA ne remplace pas cela. »
  • 1. S04-E01-Olivier SAMPSON rêve de faciliter des événements sportifs.

    35:26
    Olivier SAMPSONFacilitateur graphique tout terrain.Son SiteDans ce 1er épisode de la 4ème saison :Olivier SAMPSON, passionné de sport et de musique, est facilitateur graphique à Lille.Depuis 10 ans, il travaille dans des contextes très divers et variés.De formation plasticienne, Olivier découvre la facilitation graphique avec Nicolas Gros.Très visible au moment du COVID avec ses résumés visuels des interventions du président de la république, Olivier rêve d'explorer encore plus l'univers du sport afin d'y capter des événements sur une petite durée.« La facilitation graphique, c’est hyper valorisant et c’est très utile. »« Il faut aussi trouver un équilibre de ne pas trop se documenter car tout peut arriver dans un événement en direct. » « Être le plus en prise avec ce qui se passe en direct »« Mon côté plasticien et peintre à la base de formation, qui me fait préférer des outils un peu préhistoriques, le crayon le feutre, le papier, … je vais plus vite … il y a le bruit »« J’ai une passion du sport et j’essaie depuis quelques années d’insérer cet élément (la facilitation graphique) dans le sport. (…) j’aime travailler sur le souvenir dans le sport. »« Chaque endroit est incroyable de passer des structures de quartier sur des sujets sensibles et concret à des stratégies d’entreprise … En une semaine on fait le tour de la société ! »« C’est une place qui me va bien, d’être dans l’ombre, à côté, d’écouter … j’adore écouter les gens. C’est un très de caractère bienvenu dans ce type de travail. »« Ecouter, filtre et rendre cela accessible aux gens »« Une autre notion hyper importante, connecter les informations entre elles, pas uniquement empiler, les mettre en perspective pour que cela prenne sens. Mais ce n’est pas toujours simple ! »« Le dessin n’est pas le plus important. Avec la formation de plasticien illustrateur, le dessin n’est pas un problème et en même temps il en est un car je pourrai passer trop de temps à me regarder dessiner. Ce qui n’est pas l’enjeu ! »« Je travaille sur des feuilles blanches au feutre noir, après je scanne ce dessin fait à la main et je colorise ensuite. … Je préfère garder la couleur pour qu’elle soit du contenu»« On pourrait imaginer un journal de Bord des Jeux Olympiques »« Il n’y a pas vraiment de frontière »« Le plus difficile c’est de ne pas se censurer. »
  • 9. S03-E09-Mathilde RIOU aime développer la facilitation graphique dans l'espace public à Copenhague.

    31:19
    Mathilde RIOU est facilitatrice graphique à Copenhague au Danemark depuis plusieurs années. Elle travaille en présentiel avec les acteurs de l’Urbanisme à Copenhague et à distance avec des facilitateurs graphiques en animant des séances de Co-développement.« J’utilise le visuel comme un pont entre des langages, des cultures, les gens. »« Ce que j’utilisais spontanément avait tout à coup un nom. C’est comme cela que j’ai découvert la facilitation graphique. »« La narration visuelle : raconter des histoires pour faire passer des messages importants. »« La vidéo fait passer d’autres émotions qu’une image figée. Plus d’émotions par le mouvement et le paysage qui bouge»« Du dessin miroir, c’est de la reformulation dessinée. »« A chaque étape du co-dev professionnel, on peut utiliser un visuel. … sans être dans le graphic recording»« Comment ne pas faire toujours la même chose en facilitation graphique ? »« Dans le Codev de facilitateurs graphiques, on n’enlève le masque et on se rend compte qu’on se pose tous les mêmes questions. »« J’aime beaucoup en ce moment développer la facilitation graphique dans l’espace public pour pouvoir engager les résidents, les citoyens qui vivent dans l’espace public et avoir des fresques participatives. »