Écrire pour prendre du recul sur la maladie

"J'ai commencé à écrire un petit peu tout mon cheminement, toutes mes questions, mes difficultés face à la maladie. Donc là, je commence vraiment à me libérer l'esprit. Je pose clairement ma douleur, c'est une façon pour moi d'exorciser tout ça."&nbsp;Émilie a contracté une #méningite à méningocoques lorsqu’elleavait 18 ans. Après 1 semaine de coma, elle se réveille avec des douleurs danstout le corps, sans pouvoir marcher. À force de courage et de volonté, elle apris le dessus sur la maladie, a réussi à remarcher et a écrit «&nbsp;Comme unpapillon&nbsp;», un livre qui lui a permis de mettre des mots sur son histoire.Découvrez son témoignage dans le dernier épisode de notre podcast#IMPRÉVISIBLE, accompagné&nbsp;de l'intervention du Dr Picherot, pédiatre,ancien chef du service pédiatrie au CHU de Nantes aujourd’hui retraité, quireviendra sur l'importance du suivi des séquelles sur le long terme.&nbsp;FRAN000003891 - MAT-FR-2105250 – DEC 2021

Émilie : La résilience par le pouvoir des mots

Aller de l’avant sur le chemin de la reconstruction

"Ce ne sont pas les jambes qui ne tenaient pas, mais c'est que je n'avais plus d'équilibre. En fait, c'est là que j'ai commencé de me rendre compte que j'aurais quand même des séquelles pour la vie courante. J'avais perdu mon autonomie."&nbsp;Sandrine a 53 ans lorsqu’elle contracte une méningite. Prise devertige à chaque pas, elle ne peut plus se déplacer. Deux ans et demi plustard, grâce à sa persévérance, elle a commencé à récupérer ses capacités.Aujourd’hui, elle parvient à remarcher et conduire normalement. Elle espèrereprendre une activité professionnelle et renouer avec la danse, sa grandepassion.&nbsp;&nbsp;FRAN000003890 - MAT-FR-2104978 - DEC 2021

Sandrine : se réapproprier son autonomie

Raconter l’histoire de Maël pour ne pas l’oublier

"On dit la méningite c'est la raideur de nuque, la fièvre et l'apparition de petites taches, mais il n'y a pas que ça. Maël n’a développé aucun signe de la méningite apparent. C'est le ressenti d’une maman de se dire que son enfant n’est pas comme d'habitude. Et c'est à ce moment-là qu'il faut vraiment faire attention".&nbsp;Pour ce 4e épisode, nous avons rencontré Mélanie qui a perdu sonfils Maël d’une&nbsp;méningite à méningocoque à l’âge de 2 ans etdemi.&nbsp;Son témoignage&nbsp;est&nbsp;accompagné des mots du Dr Sylvie Rapp,la médecin généraliste de famille qui a suivi Maël durant les premières annéesde sa vie et a fait tout son possible pour apporter son aide à la famille danscette épreuve.&nbsp;FRAN000003889 MAT-FR-2104550 – Novembre 2021

Mélanie : continuer à avancer malgré la perte de son enfant

Comment aller de l’avant lorsque tout s’écroule ?

“À&nbsp;ce moment-là, je prends conscience que ma vie ne sera peut être plus tout à fait comme avant. Je commence à prendre conscience que le chemin va être peut-être plus long et plus douloureux…”&nbsp;Pour le troisième épisode d’Imprévisible, Valérie s’est livréepour la première fois sur la méningite à méningocoque avec un purpura fulminansdont elle a été victime à 13 ans. Avec beaucoup de courage, elle nous partageson histoire, du jour où tout a basculé jusqu’à aujourd’hui, où son combat pourse reconstruire reste quotidien.&nbsp;FRAN000003888 MAT-FR-2104549- Novembre 2021

Valérie : le pari de la vie

Comment rester fort et positif quand sa vie bascule à 17 ans ?

“Tous mes rêves depuis tout petit, depuis que j'ai 5-6 ans, de devenir footballeur professionnel. Tous les efforts que j'ai fait : quitter la Guadeloupe, venir vivre à Clermont, etc. À ce moment-là, il y a tout qui défile et je me dis que là, c'est foutu.” - Flavio Pour le second épisode d’Imprévisible, nous avons rencontréFlavio, qui a contracté une infection à méningocoques à 17 ans : il raconte unlong parcours de soin, de doutes mais surtout de lutte pour ne pas perdre sajoie de vivre et renouer autrement avec cette passion qui l’a toujours guidée. Le professeur Gaudelus, professeur de pédiatrie, complète letémoignage de Flavio&nbsp;en sensibilisant aux symptômes de la maladie, carfaire connaître les symptômes des méningites à méningocoques peut faire gagnerdu temps contre cette infection que contractent près de 500 personnes par an enFrance. FRAN000003887 - MAT-FR-2104378 - Octobre 2021

Flavio : une passion plus forte que la maladie

Faire face et agir après le décès de son enfant 

"Et c'est arrivé comme&nbsp;ça, 8 jours&nbsp;après&nbsp;le jour de l'an... Votre vie bascule, comme ça, du jour au lendemain." - Annie&nbsp; Pour le premier épisode d’Imprévisible, nous avons rencontréAnnie et Patricia. Toutes deux ont perdu un enfant de laméningite&nbsp;à&nbsp;méningocoque&nbsp;et mènent un combat sans limites, pourinformer, aider les familles et prévenir la méningite.&nbsp; MAT-FR-2304305 - FRAN000005275 – Octobre 2023

Annie et Patricia : deux mamans en lutte contre la méningite 

IMPRÉVISIBLE - Teaser

Teaser 

"J'ai commencé à écrire un petit peu tout mon cheminement, toutes mes questions, mes difficultés face à la maladie. Donc là, je commence vraiment à me libérer l'esprit. Je pose clairement ma douleur, c'est une façon pour moi d'exorciser tout ça."&nbsp;Émilie a contracté une #méningite à méningocoques lorsqu’elle avait 18 ans. Après 1 semaine de coma, elle se réveille avec des douleurs dans tout le corps, sans pouvoir marcher. À force de courage et de volonté, elle a pris le dessus sur la maladie, a réussi à remarcher et a écrit «&nbsp;Comme un papillon&nbsp;», un livre qui lui a permis de mettre des mots sur son histoire. Découvrez son témoignage dans le dernier épisode de notre podcast #IMPRÉVISIBLE, accompagné&nbsp;de l'intervention du Dr Picherot, pédiatre, ancien chef du service pédiatrie au CHU de Nantes aujourd’hui retraité, qui reviendra sur l'importance du suivi des séquelles sur le long terme. FRAN000003891 - MAT-FR-2105250 – DEC 2021

Émilie :  La résilience par le pouvoir des mots

"Ce ne sont pas les jambes qui ne tenaient pas, mais c'est que je n'avais plus d'équilibre. En fait, c'est là que j'ai commencé de me rendre compte que j'aurais quand même des séquelles pour la vie courante. J'avais perdu mon autonomie." Sandrine a 53 ans lorsqu’elle contracte une méningite. Prise de vertige à chaque pas, elle ne peut plus se déplacer. Deux ans et demi plus tard, grâce à sa persévérance, elle a commencé à récupérer ses capacités. Aujourd’hui, elle parvient à remarcher et conduire normalement. Elle espère reprendre une activité professionnelle et renouer avec la danse, sa grande passion.&nbsp; FRAN000003890 - MAT-FR-2104978 - DEC 2021

Le podcast qui donne la parole à celles et ceux qui ont été victimes d’une méningite

Il est tard, vous vous sentez fatigués, mal à la tête, des courbatures, peut-être un peu de fièvre, vous imaginez qu’il s’agit d’un gros rhume ou d’un début de grippe. Mais est-ce que la possibilité d’une méningite vous vient à l’esprit ? Chaque année, environ 500 personnes en France contractent une méningite&nbsp;à méningocoques,&nbsp;et 10% en décèdent. Pourtant cette maladie reste peu connue et, bien que touchant davantage nourrissons, jeunes enfants et adolescents, elle&nbsp;peut&nbsp;toucher tout le monde,&nbsp;y&nbsp;compris&nbsp;les&nbsp;personnes en bonne santé. Ils sont patients, parents ou ont invité des proches à témoigner avec eux de leurs histoires. Ils s’appellent Annie, Patricia, Flavio, Valérie ou Sandrine. À une ou deux voix, avec beaucoup de courage, ils nous racontent ce jour où tout a basculé, nous parlent de leur combat pour se reconstruire, de leur détermination à faire connaître cette maladie au plus grand nombre. Avec leurs mots, ils parlent aussi de prévention et des réflexes à avoir en cas de doute pour gagner du temps contre&nbsp;ces&nbsp;infections. Car chaque nouveau cas est un cas de trop.-------Sanofi Pasteur Europe S.A.S. au capital de 58 200 000 € - R.C.S. Lyon B 821 177 425 FRAN000003846 - MAT-FR-2104074- NOV 2021

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