Histoires de basket

Dans le sport américain quand on parle de « lottery », on ne pense pas aux jeux de hasard, mais à la Draft, Cette soirée où les équipes sélectionnent des jeunes joueurs pour compléter leurs effectifs. Cela peut faire sourire au pays du capitalisme, mais la Draft est, avec le plafond salarial, au coeur du principe d’équité qui règne au sein des ligues majeures nord-américaines. En gros, pour équilibrer le championnat, on donne la possibilité aux formations les plus mauvaises de sélectionner parmi les premières dans l’immense vivier de jeunes talents. Et pour savoir qui va choisir en premier, et bien là, ce ne sont ni le capitalisme ni le communisme qui entrent en jeu : mais le hasard. Comment ça marche ? On vous explique, dans Histoires de basket.

Porté par des légendes comme Wilt Chamberlain et Allen Iverson dans le passé, puis Devin Booker, Klay Thompson ou encore Anthony Davis aujourd’hui, le bandeau n’a pas toujours été présent en NBA. Il a même été interdit chez les Chicago Bulls pendant 12 ans ! De 2004 à 2016 plus précisément. Pourquoi ? Un peu de suspense, vous le découvrirez à la fin de l’épisode.De la Louisiane à Wilt Chamberlain en passant par LeBron James et les Bulls, aujourd'hui, on remonte l'histoire du bandeau en NBA dans Histoires de Basket. Avec un acteur principal : Donald Watts. Épisode écrit par Fabrice Auclert.

Les playoffs NBA vont commencer et deux chiffres sont connus des 16 franchises qui participent à la phase finale de la saison : 4 et 16. Il faut remporter quatre séries en remportant 4 matchs. 4x4, soit 16 rencontres pour finir la saison avec le trophée dans les bras. Une seule y parviendra en juin prochain. Évidemment, 16 matchs, c'est le scénario idéal. Mais souvent, il faut jouer bien plus. Parfois 7 matchs rien que pour passer un tour. Avec à la clé des Match 7 qui font parfois la légende de la NBA.Mais pourquoi donc les séries entre les équipes se jouent-elles au meilleur des sept matches ? C'est ce qu'on vous explique aujourd'hui dans Histoires de Basket. Un épisode écrit par Jonathan Demay.

Si les Harlem Globetrotters sont connus et reconnus pour être la plus grande équipe de basket afro-américaine de tous les temps, ils ne sont pas la première équipe composée de joueurs noirs dans l'histoire du basket américain. Quatre ans avant les Globetrotters, une autre équipe avait vu le jour : les New York Renaissance, plus connus sous le nom de « Rens ». De 1923 à 1949, les New York Renaissance ont été un symbole d’abnégation et de courage. Dans une Amérique où le racisme et la xénophobie étaient dans les mœurs, ils vont prouver qu’une équipe composée de joueurs africains-américain pouvait dominer son sport.Désolé, les Globetrotters, mais on tenait à rendre hommage à ces « Rens ».Un épisode écrit par Fabrice Auclert.

Les Jeux olympiques de Munich en 1972 ont marqué la grande et la petite histoire. La grande avec l’attentat perpétré contre les athlètes israéliens, le 5 septembre. Onze sportifs été tués après une prise d’otages de plusieurs heures. Un événement tragique qui relativise forcément tout le reste. Et le reste, la petite histoire donc, c'est une finale olympique de basket légendaire entre les États-Unis et l’URSS. Elle a été disputée le 9 septembre, en pleine guerre froide entre les deux pays. Une finale au final complètement dingue, avec des retombées qui dure encore aujourd'hui pour les familles des joueurs américains. C'est ce qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de Basket. Un épisode écrit par Jonathan Demay.

Ils sont un peu les oubliés de l'histoire du basket américain. Avant 1950, les joueurs noirs n'étaient pas admis en NBA. Mais où étaient-ils ? Ils étaient bien sur les parquets. Et encouragés certains soirs par des milliers de spectateursDe 1904 à 1950, ils évoluaient dans ce qu'on appelle désormais les Black Fives. Sur la côte Est des Etats Unis, ces pionniers ont posé les bases du basket dans la communauté Afro Américaine. Et c'est leur histoire qu'on vous raconte aujourd'hui dans Histoires de Basket. Un épisode écrit par Fabrice Auclert.