Happy Work

Dans votre carrière, vous allez passer en moyenne 16 années en réunion. Oui… oui avez bien lu, 16 ans ! 24 jours de 24 heures chaque année. Mais si encore ce temps était utile, cela ne serait pas très grave… mais malheureusement, il n’en est rien. En effet, une étude d’Atlassian a montré que 50% du temps passé en réunion était totalement inutile, consacré à autre chose qu’au sujet de ladite réunion. Pire, 33 % des cadres ont déjà fait la sieste devant une présentation Powerpoint et ils sont également 75% à déclarer y "faire autre chose" qu'écouter le sujet de la réunion. Vous l’aurez compris, si nous voulons un jour passer à la semaine de 4 jours, ou réduire le temps passé au travail sans pour autant réduire la productivité, il va falloir, enfin, s’attaquer à la problématique de la réunionite aiguë. C’est effectivement une énorme source de gain de temps. Mais concrètement, comment on fait ? 1️⃣ Les 4 règles d’or d’une réunion réussie2️⃣ Savoir dire « non » à une réunion 3️⃣ Maîtriser ses réunions Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.com

Oui, la période est anxiogène et nous pouvons avoir tendance à broyer du noir. Il suffit d'écouter les informations pour avoir une baisse moral. Mais, ce n'est pas une fatalité, heureusement. Vous pouvez, vous, faire en sorte que chaque journée soit une bonne journée et cet épisode de Happy Work vous explique comment.

Dans cet épisode, vous trouverez tous les chiffres donnés chaque jour de la semaine passée... un bon moyen de rattraper le retard !

Je sais, nous aimerions ne jamais nous tromper, être parfaits et ne jamais connaître d'échec. Mais ce n'est pas le cas ! Pourtant, nos erreurs et nos échecs peuvent nous être très utiles, si nous savons nous y prendre. C'est tout l'objet de cet épisode de Happy Work, vous donner les clés pour aimer vos erreurs et vos échecs !

Depuis deux ans, j’entends sans cesse les dirigeant.e.s et DRH se plaindre de la difficulté pour recruter. L’effet cumulé de la grande démission et de la baisse du chômage rend effectivement la tâche difficile… et pourtant, certaines entreprises ne baissent pas les bras. Hier, j’étais à Roland Garros… quel rapport avec le sujet de l’épisode me direz-vous. Eh bien imaginez-vous être contacté un jour par une entreprise qui vous dit qu’elle est intéressée par votre profil. Mais, plutôt que de commencer le processus de recrutement dans un bureau standard, la première rencontre se fera dans la loge de ladite entreprise qui donne sur le court central de Roland Garros. Oui… vous avez bien lu. C’est ce qu’a fait BNP Paribas à l’occasion de son opération #unexpectedDays. Sur 3 jours, les candidats sélectionnés pouvaient rencontrer des experts métier dans 3 domaines : Banquier privé, Chargé d'affaires professionnel et Chargé d'affaires entreprises. Cette opération faisait suite à la campagne #unexpectedjobs, opération mise en place pour mieux exprimer la réalité des transformations dans les métiers de la banque. À cette occasion BNP Paribas laisse la parole à ses collaborateurs appelés à définir ce qu’est réellement, selon eux, leur métier au quotidien… .ainsi, sur Linkedin, Pierre-Henri Havrin de BNP Paribas a changé son titre de Directeur du recrutement et de la mobilité France pour celui de casting director !!! Cette année, BNP Paribas va recruter 3 000 personnes et, en ces temps de grande démission et de difficultés pour recruter, la tâche ne s’annonce pas forcément facile. Croyez-moi ou non, quand j’en ai parlé avec Pierre-Henri Havrin, cela n’avait pas l’air de l’inquiéter beaucoup, comme si l’image employeur de BNP Paribas leur avait permis de passer au travers des gouttes. Et, de fait, j’ai parlé à ces candidats et c’est assez étonnant, notamment cette candidate, partie il y a quelques années à la concurrence et qui me disait qu’elle ne voulait qu’une seule chose, je la cite : revenir à la maison. Mais une image employeur ne tient pas à une opération de communication… cela se saurait. Je vous assure que quand j’ai parlé à ces candidats, l’opération organisée à Roland Garros était comme un papier cadeau… mais ce n’était pas le cadeau.

L'année dernière, il nous avait fait rêver avec sa marche de Paris à Saint Jacques de Compostelle grâce à son podcast "La balado de Pauchon". Cette année, il a remis ça en faisant "la diagonale du vide", une marche de 1 500 kilomètres de la Meuse aux Landes. Sa marche était l'occasion de poser une question toute simple aux personnes qu'il rencontrait : qu'est ce qui vous rend heureux.Alors, bien entendu, j'ai voulu savoir ce qui, lui, le rendait heureux, mais notre entretien va bien au delà. Hervé est quelqu'un de tout simplement inspirant et si vous ne connaissez pas encore son podcast, je vous conseille vivement d'aller y jeter une oreille... c'est un bonheur =>>>> LA BALADO DE PAUCHON