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Derrière l'objectif
"Ces jeunes mineurs de 12-15 ans survivent de rien dans la rue"
REDIFF
Photographe reporter depuis plus de 30 ans, Hervé Lequeux met la jeunesse et l’immigration au cœur de son travail : de la côte libanaise à la côte algérienne, en passant par la Tunisie et le Maroc.
Son projet sur la situation des mineurs non accompagné de la Goutte d’Or à Paris a reçu le prix Lucas-Dolega, ce qui lui permet de poursuivre son reportage en plusieurs chapitres et de retracer intégralement le parcours de ces jeunes marocains en quête d’une autre vie, poussés par des pressions économiques, des décisions politiques et surtout, comme ils l’expliquent « à la recherche de dignité ».
Derrière l’objectif d’Hervé Lequeux, tout commence à Paris dans le quartier de la Goutte d’Or, en 2020.
Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?
Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.
Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.
Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound music
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10. PRO : Les grands reporters sont-ils objectifs
03:22||Saison 2, Ep. 10Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFF"Derrière l'objectif" des professionnels : nouveau rendez-vous tous les 15 du mois pour questionner la profession de grand reporter.Les grands reporters sont-ils objectifs ? C'est la question qu'on a posé à Jean-Claude Coutausse, qui photographie la vie politique française pour Le Monde depuis 18 ans.Le photojournaliste Jean Claude Coutausse démarre sa carrière à l’AFP, puis suit l’actualité pour Libération et l’agence Contact Press Images pour lesquels il couvre de nombreuses zones de conflits : de la guerre du Golfe, à la famine en Somalie en 92, au conflit en ex-Yougoslavie… Depuis 2005, Jean Claude Coutausse travaille pour le quotidien Le Monde pour qui le photographe suit désormais l’actualité politique française : la campagne présidentielle de Ségolène Royale, l’élection de François Hollande et plus récemment celle d’Emmanuel Macron, Président qu’il suit dans tous ses déplacements. Jean Claude Coutausse a aussi couvert le tremblement de Terre en Haïti en 2010 pour le journal, pays qu’il connaît bien puisque le journaliste a aussi fait du grand reportage pour les magazines National Geographic et Geo sur le monde du Vaudou. Un monde qu’il nous invite découvrir aussi dans le précédent épisode de Derrière l'objectif : "J'ai toujours considéré que la réalité avait beaucoup plus de talent que l'imagination". Episode enregistré à Visa pour l'image 2022.
9. "J’ai toujours considéré que la réalité avait beaucoup plus de talent que l’imagination"
21:00||Saison 2, Ep. 9Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFFLe photojournaliste Jean-Claude Coutausse démarre sa carrière à l’AFP, puis suit l’actualité pour Libération et l’agence Contact Press Images pour lesquels il couvre de nombreuses zones de conflits : de la guerre du Golfe, à la famine en Somalie en 92, au conflit en ex-Yougoslavie… Depuis 2005, Jean-Claude Coutausse travaille pour le quotidien Le Monde pour qui le photographe suit désormais l’actualité politique française : la campagne présidentielle de Ségolène Royale, l’élection de François Hollande et plus récemment celle d’Emmanuel Macron, le Président qu’il suit dans tous ses déplacements. Jean-Claude Coutausse a aussi couvert le tremblement de Terre en Haïti en 2010 pour le journal, pays qu’il connaît bien puisque le journaliste a aussi fait du grand reportage pour les magazines National Geographic et Geo sur le monde du Vaudou. Un monde qu’il nous invite ici à découvrir. Derrière l’objectif de Jean-Claude Coutausse, nous sommes en 1986 en Haïti. Cet épisode a été enregistré en public pendant le Festival International du Photojournalisme, Visa pour l’Image à Perpignan (édition 2022).
8. PRO : Comment devenir photojournaliste
04:11||Saison 2, Ep. 8Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFF"Derrière l'objectif" des professionnels : nouveau rendez-vous tous les 15 du mois pour questionner la profession de grand reporter.Pour ce premier épisode, on partage les conseils de Lucas Barioulet, photojournaliste indépendant de seulement 26 ans qui travaille actuellement pour Le Monde sur la guerre en Ukraine, et qui nous explique "comment devenir photojournaliste" d'après son expérience. Photojournaliste indépendant, Lucas Barioulet a démarré sa carrière à 21 ans aux Etats Unis, avec la question migratoire à la frontière autour de Tijuana. Après une année au service photo du Parisien, le journaliste collabore avec l’AFP et Le Monde, en couvrant l’actualité en France : de la crise des gilets jaunes à la gestion du covid-19 dans les hôpitaux.En parallèle, Lucas Barioulet mène un projet au long terme sur l’identité et la jeunesse dans les républiques islamiques. Après un premier chapitre en Mauritanie, récompensé par un Sony World Photography Awards, il parcourt début 2021 le Pakistan où il réalise la série « The Land of the Pure ».En mars dernier, le journal Le Monde envoie Lucas Barioulet en Ukraine pour couvrir l’invasion russe à travers le pays, un travail présenté à Visa pour l'image récompensé du prix Rémi-Ochlik de la ville de Perpignan qui donne à découvrir « La guerre au quotidien ». Episode enregistré à Visa pour l'image 2022.
7. "Pour quelques euros, on vend ces femmes, ces gamines issues de familles très pauvres à des bordels"
17:20||Saison 2, Ep. 7Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFFPhotoreporter depuis plus de 30 ans, Marie Dorigny désormais membre de l’agence MYOP a rejoint le monde de la photographie en 1989 lors de la révolution roumaine et a réalisé depuis des reportages engagés sur le travail des enfants, la condition des femmes ou les formes contemporaines d’esclavages.Ses photographies, publiées dans la presse nationale et internationale, ont également été exposées à maintes reprises : les galeries photos de la FNAC ont accueilli son travail sur l’esclavage domestique, Festival Visa pour l’Image à Perpignan celui des enfants et de l’accaparement des terres, ou encore la Bibliothèque Nationale de France a permis d’exposer ses photographies sur la prostitution et l’immigration clandestine… « Displaced, femmes en exil », un reportage réalisé sur commande en 2016, pour le Parlement Européen, a été exposé durant trois mois à Bruxelles ainsi qu’à Visa pour l’Image. Il s’agissait d’appuyer visuellement la sortie d’un rapport parlementaire sur les Femmes en exode, de la Grèce à l’Allemagne. Derrière l’objectif de Marie Dorigny qui a consacré une grande partie de sa carrière à dénoncer la prostitution dans le monde : son travail commence en Asie dans les années 90.Cet épisode a été enregistré en public aux Rencontres de la photographie d'Arles (édition 2022), en partenariat avec l'agence MYOP.
6. "Ceux qui ont vu la série Narcos peuvent imaginer les atrocités que peuvent commettre les protagonistes de ce conflit"
27:55||Saison 2, Ep. 6Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFFDepuis plus de 30 ans, Pierre de Vallombreuse constitue un fond unique de plus de 140 000 clichés sur 43 peuples autochtones dans le monde. Le photographe a notamment multiplié les séjours dans une Vallée du sud des Philippines qui abrite une ethnie Palawan, les Tau’Batu. Au fil des années et des séjours, le photographe est devenu un témoin privilégié de cette communauté autochtone pacifique de chasseurs-cueilleurs, un travail photographique qu’il est possible de découvrir cet été au festival "Réflexivité(s)" du 14 au 31 juillet à Lourmarin dans le Vaucluse. A travers ses nombreux ouvrages, Pierre de Vallombreuse partage ses expériences, ses souvenirs, ses découvertes. A la rentrée, son livre “36 vues” dévoilera 36 histoires de photographies.« Derrière l’objectif » de Pierre de Vallombreuse, nous sommes en Colombie en 1999 : le photographe est envoyé par Le Figaro pour un reportage sur le conflit armé, avec comme personnage central Ingrid Betancourt.
4. "Dans le fracas de la guerre, les bébés ont compris que crier ne servait à rien"
21:52||Saison 2, Ep. 4Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFFGrand reporter indépendante, Manon Quérouil-Bruneel qui travaille essentiellement pour Paris Match vient de rentrer d’Ukraine et publie dans le magazine un reportage intitulé “Bataille pour les enfants perdus”. La journaliste s’intéresse à la gestion des orphelinats pendant la guerre, au sort de ces enfants “écartés de la société en temps de paix, et aujourd’hui sacrifiés à la cruauté d’une guerre qui ne compte pas leur survie au rang des priorités.” Derrière l’objectif, avec Manon Quérouil-Bruneel. Nous sommes en Ukraine et ça se passe en ce moment, en 2022.
3. "Les passeurs forment des réfugiés à conduire le bateau, en échange de la gratuité"
19:37||Saison 2, Ep. 3REDIFFJournaliste à la rédaction internationale de Radio France, Omar Ouahmane a suivi une famille de réfugiés syriens qui tentait de fuir la guerre, comme un demi-million de syriens sur l’année 2015 seulement. Selon les Nations Unies, ils seraient 13 millions de syriens à avoir été contraints de quitter leur foyer au cours des dix dernières années. “12 jours dans la vie d’un réfugié”, un reportage diffusé sur France Inter dans l’émission “Interception” - une expérience marquante que le grand reporter Omar Ouahmane accepte ici de partager. Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound music
2. "Ça ressemble à une secte à l'échelle d'un pays"
19:25||Saison 2, Ep. 2Missionnés par les médias aux quatre coins de la planète pour témoigner du bruit et de la fureur du monde, les grands reporters couvrent des évènements extrêmes : guerres, épidémies, putschs, attentats, conflits... Sur le terrain, plusieurs jours leur sont nécessaires pour enquêter, échanger, comprendre, rendre compte des enjeux internationaux cruciaux qui s'y nouent. Pour trouver des accès à des zones le plus souvent sensibles, aussi. Leur travail ? C'est le reportage qu'il nous sera permis de lire dans les journaux, de regarder à la télévision ou d'écouter à la radio. Mais il y a aussi le souvenir intime du grand reporter, celui qu'il a peu livré. Un souvenir parfois traumatisant, douloureux, parfois heureux, bouleversant. Quelles histoires se cachent derrière une photo ? Quelles sont les rencontres, les confidences, parfois les hasards qui rendent un reportage possible ?Dans chaque épisode, un grand reporter nous invite à vivre un moment d'Histoire à travers sa propre histoire, son expérience du terrain et son rapport intime avec les évènements qui s'y sont déroulés.Derrière l'objectif, un podcast mensuel produit par le studio Make Some Noise disponible sur toutes les plateformes.Journaliste : Marion Armengod / Réalisateur : Guillaume Girault / Identité visuelle : Charlotte Tharreau / Licence : Epidemic sound musicREDIFFLe journaliste Benoit Chaumont commence sa carrière à iTélé, la chaine d’info de Canal plus ; puis il intègre l’agence CAPA où il travaille sur l’émission Dimanche Plus avant de devenir grand reporter pour le célèbre programme l’Effet papillon, dans lequel il présentera le Dictature tour. Benoit Chaumont réalise désormais des documentaires, il est également rédacteur en chef chez Maximal productions, pour l’émission C dans l’air diffusée sur France 5. Derrière la caméra de Benoit Chaumont qui a réussi - non sans mal - à voyager en Corée du nord.