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Choses à Savoir TECH VERTE

Le pic de consommation de pétrole bientôt atteint ?

Malgré les critiques fréquentes sur le manque d'efforts pour réduire notre dépendance au pétrole et au gaz, il y a des signes positifs. En effet, la part des énergies renouvelables dans notre consommation énergétique continue de croître à un rythme soutenu à travers le monde. Cette tendance profonde a récemment été soulignée par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son dernier rapport.


Tout n’est donc pas sombre dans la lutte contre le changement climatique. Le rapport annuel de l'AIE révèle que « les énergies propres s'intègrent dans le système énergétique à un rythme sans précédent, avec plus de 560 gigawatts (GW) de nouvelles capacités renouvelables ajoutées en 2023. » Cette montée en puissance des énergies vertes devrait permettre aux sources à faibles émissions de produire plus de la moitié de l'électricité mondiale d'ici 2030. L'énergie nucléaire, souvent décriée, fait d'ailleurs l'objet d'un regain d'intérêt dans plusieurs pays. On constate également l'implication croissante des géants de la tech, qui signent d’importants contrats pour s'assurer une fourniture d'électricité nucléaire afin de répondre à leurs besoins énergétiques croissants tout en respectant leurs engagements environnementaux.


Cette dynamique est d'autant plus cruciale que la demande en électricité est en pleine explosion. Selon Fatih Birol, directeur général de l'AIE, « après l'ère du charbon et du pétrole, le monde entre rapidement dans l'ère de l'électricité. » D’ici 2035, cette demande devrait croître six fois plus vite que celle des autres sources d'énergie, alimentée par les véhicules électriques, la climatisation, l’intelligence artificielle et bien d'autres technologies. Cependant, l'AIE insiste sur le fait qu'il reste du chemin à parcourir : malgré des niveaux record d'installation d'énergies propres en 2023, les combustibles fossiles continuent de satisfaire les deux tiers de l’augmentation de la demande mondiale.

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  • Les métaux lourds sont dangereux… mais pas comme on l’imagine ?

    02:05|
    Les métaux lourds, souvent associés à la toxicité, suscitent des débats scientifiques sur leur impact réel. L'ASEF (Association Santé Environnement France) les définit comme des éléments métalliques naturels, d'une densité supérieure à 5 000 kg/m³. Mais pour le Professeur Manish Arora, expert en médecine environnementale, cette définition simplifie une réalité complexe : leur toxicité dépend avant tout de leurs interactions avec notre organisme. Certains métaux, comme le fer, le cuivre ou le zinc, sont vitaux pour des fonctions essentielles, mais leur excès peut causer des troubles graves. À l’inverse, des éléments comme le plomb, l’arsenic ou le mercure n’ont aucune utilité biologique et sont particulièrement nocifs. Par exemple, le plomb affecte le développement neurologique, tandis que le mercure altère les fonctions cognitives. Selon l’OMS, ces substances peuvent provoquer des cancers, des maladies cardiovasculaires ou des déficits intellectuels chez les enfants exposés. Les études récentes ont établi un lien entre l’exposition aux métaux lourds et les troubles du spectre autistique. Une recherche de 2023, menée par l’équipe de Kelly Bakulski, a montré que le cadmium, inhalé pendant la grossesse, augmente le risque d’autisme chez l’enfant. Ces découvertes soulignent la vulnérabilité particulière des jeunes en développement face à ces éléments. Cependant, ces avancées scientifiques ont parfois engendré des dérives. La thérapie par chélation, censée éliminer les métaux lourds, a été promue comme un remède à l’autisme sans preuve scientifique. Pire, cette pratique peut être mortelle, comme en témoigne le décès d’un enfant en 2005. L’industrialisation a largement contribué à la dissémination des métaux lourds dans notre environnement : peinture au plomb, aliments contaminés ou poissons riches en mercure. « Nous baignons dans un cocktail d’expositions », alerte le Professeur Arora. Une vigilance accrue est donc nécessaire pour limiter les impacts de ces substances invisibles, mais omniprésentes.  
  • Les USA surveillent que personne ne contrôle le soleil ?

    02:11|
    Le soleil, source inépuisable d’énergie pour la Terre, devrait continuer de briller encore 5 à 7 milliards d’années. Pourtant, les États-Unis, à travers la NASA et la NOAA, se mobilisent pour surveiller toute tentative humaine d’interférer avec ses rayons. Ce projet, financé par le Congrès, n’est pas le fruit d’une paranoïa, mais une réponse aux avancées de la géo-ingénierie solaire. Cette discipline controversée vise à moduler l’impact des rayons solaires sur la planète, notamment pour contrer le réchauffement climatique. Une idée qui fascine autant qu’elle inquiète : jouer avec l’intensité du rayonnement solaire pourrait bouleverser l’agriculture, les écosystèmes et les infrastructures humaines. L’objectif de la NASA et de la NOAA ? Surveiller et prévenir toute initiative imprudente, qu’elle vienne d’États, de groupes privés ou de militants. Concrètement, un ballon-sonde est lancé toutes les deux ou trois semaines depuis Boulder, Colorado. À 27 kilomètres d’altitude, il analyse les aérosols dans l’atmosphère, des particules capables de détourner les rayons solaires et de modifier leur impact. D’autres stations, situées en Alaska, à Hawaï, en Nouvelle-Zélande et ailleurs, participent également à cette surveillance. Le but final est de définir une base de référence mondiale pour la présence d’aérosols. Si des anomalies sont détectées, des avions équipés d’instruments ultra-précis seront prêts à enquêter. Pour l’instant, cette perspective reste théorique : aucun acteur ne manipule encore le climat à grande échelle, malgré les théories de certains complotistes. Avec ce programme de vigilance, la NASA et la NOAA rappellent qu’intervenir sur un phénomène aussi complexe que le rayonnement solaire exige prudence et responsabilité. La protection de notre étoile passe par une surveillance accrue, pour éviter que des apprentis sorciers ne jouent avec des forces dépassant l’entendement.
  • Une méthode de 3775 ans pour contrer le réchauffement climatique ?

    01:53|
    Et si la solution contre le réchauffement climatique se trouvait… sous terre ? Une équipe de chercheurs propose une méthode audacieuse pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre : enterrer du bois mort dans des cimetières géants. Cette technique, baptisée "Wood Vaulting", fait l'objet d'une étude publiée dans la revue Science. Le concept repose sur une découverte étonnante au Québec. En 2013, une souche de Genévrier de Virginie, vieille de 3 775 ans, a été retrouvée sous deux mètres d'argile. Son état de conservation remarquable a révélé qu'elle avait conservé la majorité du carbone absorbé durant sa vie. L'argile et le faible taux d'oxygène de son environnement auraient empêché sa décomposition, limitant ainsi le rejet de carbone dans l’atmosphère. Cette méthode pourrait s’avérer prometteuse : en enterrant du bois sous des couches de sol argileux, on empêcherait sa décomposition par des champignons et micro-organismes, responsables de la libération du carbone. Selon Ning Zeng, climatologue à l'Université du Maryland et principal auteur de l’étude, cette approche pourrait compenser jusqu’à un tiers des émissions annuelles de combustibles fossiles. En plus d’être efficace, la technique semble accessible. Les sols argileux sont répandus, et les terrains utilisés pour enterrer le bois pourraient même être réaffectés à l’agriculture. Zeng imagine aussi une extension de cette méthode aux plantes à croissance rapide, renforçant son potentiel à grande échelle. Si elle paraît simple, cette solution soulève des questions pratiques et environnementales. Mais face à l'urgence climatique, cette idée, à la croisée de l’ingéniosité scientifique et de la gestion durable, pourrait bien se frayer un chemin dans le débat mondial. 
  • Batteries électriques : l’Europe veut faire barrage à la Chine ?

    02:03|
    C’est un cri d’alarme collectif : la France, l’Allemagne et la Suède pressent l’Union européenne d’agir face à la domination chinoise sur le marché des batteries électriques. Avec 85 % de la production mondiale contrôlée par Pékin, cette dépendance inquiète profondément les pays européens, échaudés par leur expérience avec le gaz russe. La souveraineté énergétique et technologique du Vieux Continent est en jeu, tout comme la réussite de la transition écologique. Mais l’Europe est à la traîne. L’industrie locale des batteries peine à décoller, les investissements restent timides, et des acteurs prometteurs comme Northvolt, autrefois fer de lance du secteur, vacillent dangereusement. En Suède, le gouvernement a refusé de secourir l’entreprise, symbole des ambitions européennes. Face à cette situation critique, Paris, Berlin et Stockholm appellent à un sursaut. Ils réclament une mobilisation massive : allègement des formalités administratives, accélération des autorisations pour les projets stratégiques, et création de nouveaux outils de financement pour soutenir les start-up innovantes. Bruxelles semble entendre le message. La nouvelle Commission européenne s’est engagée à publier une feuille de route dans les 100 jours pour relancer la compétitivité économique tout en répondant aux objectifs climatiques. Parmi les solutions envisagées : diversifier les sources d’approvisionnement en matières premières, avec des partenariats renforcés avec l’Australie, le Canada ou encore des projets de production de lithium sur le sol européen. Mais l’urgence est réelle. La ministre suédoise de l’Industrie, Ebba Busch, avertit : sans une action rapide, la transition écologique risque de se transformer en une "transition chinoise", comme cela a été le cas pour le solaire et l’éolien. Les États membres espèrent qu’un signal clair de Bruxelles redonnera confiance aux investisseurs et ravivera l’industrie européenne des batteries. Une course contre la montre s’engage.  
  • Une poudre jaune pour capturer le CO2 ?

    02:09|
    Une poudre capable de capturer autant de carbone qu’un arbre, cela vous paraît utopique ? Pourtant, des chercheurs de l’Université de Berkeley, en Californie, affirment que cette innovation pourrait devenir une arme essentielle contre le changement climatique. D’après une étude publiée dans *Nature* et relayée par *The Guardian*, cette poudre révolutionnaire, d’environ 230 grammes, peut absorber autant de dioxyde de carbone qu’un arbre, avec des perspectives prometteuses pour le stockage ou des applications industrielles, comme les boissons gazeuses. Basée sur des liaisons chimiques puissantes, cette poudre poreuse et durable surpasse les matériaux actuels de captage du carbone. Testée en laboratoire par l’équipe du professeur Omar Yaghi, elle a prouvé son efficacité : elle peut être réutilisée plus de 100 fois en captant le carbone en deux heures, avant d’être chauffée à une température modérée de 50°C pour relâcher le gaz et recommencer le processus. Yaghi imagine un futur où chaque grande ville disposerait d’installations utilisant cette technologie. Avec sa société Atoco, basée en Californie, il espère produire plusieurs tonnes de cette poudre en moins d’un an. Les sites industriels, déjà producteurs de chaleur excédentaire, pourraient intégrer cette solution pour recycler le dioxyde de carbone. Toutefois, des défis subsistent. La faible concentration de CO₂ dans l’air (environ 0,04 %) implique le traitement de grandes quantités d’air, nécessitant une consommation énergétique importante. Shengqian Ma, chimiste à l’Université du Nord du Texas, pointe également le coût élevé des matériaux comme un obstacle à une adoption massive. Malgré ces limites, Omar Yaghi reste optimiste. Après 15 ans de recherche, il considère cette technologie comme une avancée majeure : "Il n’y a plus d’excuse pour ne pas réfléchir sérieusement à la capture du CO₂ dans l’air." Une promesse à surveiller.  
  • Une machine à laver pour humains ?

    01:59|
    L’innovation a parfois des racines insoupçonnées. Science Co. ressuscite un concept audacieux : la machine à laver humaine. Inspirée du prototype dévoilé par Sanyo Electric en 1970 lors de l’exposition universelle d’Osaka, cette version revisitée promet de révolutionner l’expérience du bain. Concrètement, cette cabine high-tech intègre une baignoire avec un siège inclinable où l'utilisateur peut s'allonger. Une fois installé, le système ajuste la température et le débit d'eau grâce à des capteurs mesurant le rythme cardiaque et d'autres paramètres biologiques. Objectif : offrir un lavage efficace tout en maximisant le confort. Mais la véritable nouveauté réside dans son approche bien-être. Les capteurs scannent le niveau de stress et de fatigue de l’utilisateur, puis diffusent des images et sons apaisants en phase avec son état. Selon le quotidien japonais *The Mainichi Shimbu*, le lavage se fait avec une technologie à fines bulles, douce mais redoutablement efficace, avant qu’un flux d’air chaud ne sèche la peau avec délicatesse. Au-delà de son aspect futuriste, cette innovation répond à des besoins pratiques. Elle pourrait devenir un outil précieux pour les personnes âgées ou à mobilité réduite, tout en consommant moins d’eau qu’un bain classique. Une aubaine dans un monde où la durabilité est essentielle. Ce joyau technologique sera présenté lors de l’Exposition universelle d’Osaka Kansai en 2025, où quelques visiteurs privilégiés pourront en tester les bienfaits. Une version domestique est également prévue. Science Co. promet une expérience unique, mêlant relaxation et soin. « Les utilisateurs se sentiront rajeunis, mentalement et physiquement », assure le fabricant. Futur gadget de luxe ou solution inclusive pour le quotidien ? La machine à laver humaine pourrait bien être les deux.
  • Hiver : comment protéger son smartphone du froid ?

    02:11|
    Avec l’hiver, vos gadgets électroniques, notamment vos smartphones et vos véhicules électriques, peuvent souffrir des basses températures. Les batteries lithium-ion, omniprésentes dans ces appareils, voient leur autonomie diminuer sous l’effet du froid. Et ce n’est pas tout : les écrans tactiles, particulièrement les LCD, peuvent perdre en réactivité, rendant leur usage moins fluide. Pour éviter ces désagréments, quelques précautions simples s’imposent. Premièrement, équipez votre smartphone d’un étui isolant et étanche conçu pour le protéger des températures extrêmes. Si vous êtes en déplacement, préférez ranger votre téléphone dans une poche intérieure : la chaleur de votre corps aidera à maintenir une température idéale. Vous pouvez également opter pour des écouteurs et des commandes vocales pour limiter les manipulations directes en extérieur. Pour les batteries, veillez à partir avec un appareil bien chargé et, si possible, emportez une batterie externe. En effet, le froid peut accélérer la décharge, rendant l’utilisation prolongée plus compliquée. Attention également aux chocs thermiques ! Ne commencez pas à utiliser votre smartphone immédiatement après être passé d’un environnement glacial à un espace chauffé. Le brusque changement de température peut engendrer de la condensation à l’intérieur de l’appareil, risquant d’endommager ses composants. Quant aux véhicules électriques, adoptez les mêmes réflexes : surveillez le niveau de charge avant chaque trajet et essayez de stationner dans un endroit abrité. En somme, l’hiver met nos appareils à rude épreuve, mais avec ces astuces, vous pourrez continuer à profiter de vos outils technologiques sans encombre. Gardez-les au chaud, et ils vous le rendront bien ! Pour résumer :-Mettez votre appareil dans un étui ou une housse-Rangez-le dans une poche intérieure-Munissez-vous d'écouteurs pour éviter l'utilisation directe du mobile-Chargez bien votre téléphone-Surveillez votre niveau de batterie et équipez-vous d'un chargeur ou d'une batterie externe-N'utilisez pas tout de suite votre téléphone une fois que vous êtes au chaud
  • Apple : réparer son MacBook Pro coûte moins cher désormais ?

    01:56|
    Apple, souvent critiquée pour les prix élevés de ses produits et réparations, semble vouloir apaiser les esprits. Une récente note interne, révélée par *MacRumors*, annonce une bonne nouvelle pour les propriétaires de MacBook Pro : les réparations des haut-parleurs seront désormais plus abordables. Jusqu’à présent, lorsqu’un haut-parleur de MacBook Pro rencontrait un problème, le remplacement impliquait de changer tout le châssis supérieur, une opération coûteuse. Ce châssis comprend plusieurs composants, notamment la batterie, ce qui alourdissait considérablement la facture. Désormais, Apple autorise ses magasins et réparateurs agréés à remplacer les haut-parleurs individuellement, une mesure bien plus économique. Ce changement concerne principalement les modèles les plus récents : les MacBook Pro 14 pouces et 16 pouces équipés de la puce M4. Cependant, selon une source citée par *MacRumors*, cette possibilité s’étendra également aux MacBook Pro dotés d’un processeur Apple Silicon, produits depuis 2020. Si le coût exact de cette réparation individuelle n’a pas encore été dévoilé par Apple, une baisse significative des frais est attendue. Cela pourrait éviter à de nombreux clients de devoir payer pour des réparations dépassant parfois plusieurs centaines d’euros. Ce geste s’inscrit dans une tendance plus large chez Apple, qui cherche à améliorer la durabilité et la réparabilité de ses produits, en réponse aux critiques des consommateurs et à la pression réglementaire. Une initiative qui pourrait séduire une clientèle soucieuse de maîtriser ses dépenses tout en continuant à profiter de l’écosystème Apple. 
  • Batteries électriques : le leader européen en faillite ?

    01:58|
    L'Europe, qui ambitionne de rivaliser avec la Chine dans la course aux véhicules électriques, fait face à un revers majeur. La société suédoise Northvolt, fleuron européen des batteries, vient d’annoncer son placement sous la protection de la loi américaine sur les faillites. Northvolt, déjà fragilisé après l’abandon de son usine à Skelleftea, affiche aujourd’hui des chiffres préoccupants : une dette colossale de 5,84 milliards de dollars et seulement 30 millions de liquidités, insuffisants pour tenir une semaine d’activité. Cette situation critique a conduit Peter Carlsson, PDG de l’entreprise, à démissionner, tout en précisant qu’il faudrait entre 1 et 1,2 milliard de dollars pour espérer relancer l’activité.Malgré cette crise, Northvolt ne baisse pas les bras. L’entreprise envisage une restructuration d’ici le premier trimestre 2025 et compte examiner des propositions d’investissement pour poursuivre son ambition de bâtir une industrie européenne des batteries. « Cette étape décisive permettra à Northvolt de répondre à la demande croissante en électrification des véhicules, malgré les défis actuels », a déclaré Tom Johnstone, directeur intérimaire du conseil d'administration. Pour l’Europe, cette annonce est un coup dur dans un secteur où la dépendance aux géants chinois, comme CATL et BYD, reste forte. Le Vieux Continent peine à établir une base industrielle solide face à une concurrence chinoise déjà bien implantée et bénéficiant de coûts de production plus bas. Alors que le marché des véhicules électriques explose, ce revers soulève des questions cruciales sur l’autonomie industrielle de l’Europe et sa capacité à tenir tête à ses rivaux asiatiques dans la transition énergétique. Les prochains mois seront décisifs pour Northvolt et, par extension, pour l’avenir de la filière européenne des batteries.