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TIROIR CAISSE
18 papa en dépression, maman sous pression
on fait quoi quand Papa est en dépression ?
pardon d'avance je dis à dix huit millions de reprises personnes socialisées comme femme ou comme homme mais c'est pour prendre le temps de poser le sujet lourd de la dépression.
Le bail Hello Fresh : www.hellofresh.fr/tiroircaisse
Produit par Calme toi
Monté et mixé par Laura Laarman
Psy : Mélanie Gosse
musique : Lucas sv
vignette : caroline Bérault
Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question.
—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes :
1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)
2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe.
Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.
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25 le livret de famille
32:44|j’avais pas entendu parler de Léonie depuis le lycée. Et elle m’a contactée pour me raconter ses grossesses en chuchotant depuis la Turquie où elle vit, pour pas réveiller ses bébés. son témoignage est super doux bien que ce qu’elle raconte ça swingue un peu, entre ce qu’elle imaginait, ce qu’elle a vécu, et ses jumeaux de trois ans et demi dont elle a rêvé et qui sont arrivés après… longtemps et bcp d’aventures et de révélations. Merci à elle pour la confiance ! et big up au lycée Jean Mermoz, desamianté depuis notre départ24 d'amour et de PMA
25:13|tw grossesse qui n'arrive pas à terme Marine, saison 1, épisode 2. Marine est déjà venue témoigner dans le tiroir caisse, de ses envies et crainte au début de la PMA qu'elles entament avec Elisa, la femme dont elle partage la vie. On est quelques mois plus tard, après un premier essai durant lequel Elisa est tombé enceinte, d'un foetus qui n'était pas viable. Elles reviennent ensemble sur ce moment qui leur a fait prendre conscience de plein de choses, que vous apprendrez en écoutant ! Produit par Calme toiMonté et mixé par Laura LaarmanPsy : Mélanie Gossemusique : Lucas svvignette : caroline BéraultMélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.23 jeune demoiselle recherche un mec mortel
45:21|Sharon, 32 ans, est une personne cortiquée, drôle, intellectuelle, qui ne trouve pas son +1 pour faire sa famille. Elle nous raconte en quoi c'est relou mais en quoi elle ne transigera pas en qualité, dans cet épisode qui me touche parce que ça me RAPPELLE quelqu'un... Force à touxtes celleux qui veulent se trouver pour trouver leur +1 pour produire une famille, j'espère que cet épisode vous plaira et vous donnera de l'allant ! Produit par Calme toiMonté et mixé par Laura LaarmanPsy : Mélanie Gossemusique : Lucas svvignette : caroline BéraultMélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.22 c’est quoi une thérapie ?
33:05|21 être enceinte d'un garçon en étant féministe
39:21|Sans enfant, combattre le bleu et le rose comme des statements, choisir son entourage, s'extirper des relations problématiques c'est une chose. Mais donner naissance à ceux contre qui on se dresse en tant que groupe social, c'est un peu déstablilisant...www.hellofresh.fr/tiroircaisse jusqu'à 100 euros de réduction sur vos cinq premières commandes !L'offre 'Produit Offert à vie' est valable tant que l'abonnement n'est pas résilié pour les nouveaux clients en FrancePour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour. www.mangerbouger.fr Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.20 Mona, 3 ans : enfant chien
40:05|Mona est un chien heureux, dont les mamans font leur vacances en fonction d'elle (nous aussi), qui a un énergéticen (mon chien aussi) et qui est une analogie pour un enfant (comme Boubou)Du coup, cet épisode est le premier sur les enfants chien mais pas le dernierproduit par Calme toimonté par Laura LaarmanGénérique Lucasvpsy : Mélaniewww.hellofresh.fr/tiroircaisse jusqu'à 100 euros de réduction sur vos cinq premières commandes ! L'offre 'Produit Offert à vie' est valable tant que l'abonnement n'est pas résilié pour les nouveaux clients en FrancePour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour. www.mangerbouger.fr Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.19. 19 papa en dépression, maman sous pression partie 2
06:43||Ep. 19Petit adendum du point de vue psychanalytique sur la dépression et qu'est ce qu'on en fait.Produit par Calme toiMonté et mixé par Laura LaarmanPsy : Mélanie Gossemusique : Lucas svvignette : caroline Béraultwww.hellofresh.fr/tiroircaisse jusqu'à 100 euros de réduction sur vos cinq premières commandes ! L'offre 'Produit Offert à vie' est valable tant que l'abonnement n'est pas résilié pour les nouveaux clients en FrancePour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour. www.mangerbouger.fr Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.17 s'embrouiller dans la langue à ta mère
31:36|Laura est française, pis même ! Parisienne ! Il y a quelques années elle rencontre son mari en Israël, ils s'aiment, ils découvrent leurs cultures respectives, ils font un bébé et c'est là qu'ils se rendent compte que ça sera peut être un peu plus ardu que prévu... Différence de culture, d'éducation, c'est un exercice au quotidien que d'aimer dans une autre langue.Spoiler : ils ont fait un autre magnifique bébé, c'est donc que c'est : possible.Produit par Calme toiMonté et mixé par Laura LaarmanPsy : Mélanie Gossemusique : Lucas svvignette : caroline Bérault Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. —> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre.