Nota Bene

Mes chers camarades bien le bonjour ! Est-ce que vous connaissez la sombre histoire des princes de la Tour, le double homicide de deux jeunes enfants pourtant innocents, qui aurait été cachée jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir ? Rassurez vous, je vous fais pas un craquage complotiste, et on n’est pas non plus dans “Faites entrer l’accusé”... Mais presque ! En novembre 2023, la sortie du livre The Princes in the Tower: Solving History's Greatest Cold case de Philippa Langley, historienne amatrice fait parler. En effet, on parle d’un dossier historique, mais qui pourrait faire penser à une affaire judiciaire, voire une enquête criminelle… Enfin, à 500 ans d’écart ! Pas de panique, on fait le point !Bonne écoute !Merci à Aude Mairey d'avoir répondu à nos questions ! Découvrez tous ses travaux sur son site internet : https://www.audemairey.com/

Mes chers camarades, bien le bonjour !Ah, qu’est-ce qu’on aimerait pouvoir résumer un empire à une seule personne ! Comme si Genghis Khan ou Alexandre le Grand avaient tout fait tout seul ! Mais non, la preuve : Jules César n’était pas un empereur romain, ce sont ses successeurs qui ont pris le titre ! Idem pour Muhammad, qui a initié les conquêtes d’un futur empire, le Califat Islamique, mais n’a jamais été Calife ! Quand on dit “empire”, on pense à un bloc unifié. Mais au final, ce mot cache plein de factions, de dirigeants successifs, voire de fractures très complexes… Et les conquêtes islamiques, c’est vraiment un super exemple pour comprendre ça !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! On a de ces petits tracas dans la vie, de ces petits soucis qu’on a envie de confier à personne, même pas à son psy. Et le journal intime est la solution rêvée. D’ailleurs, même Hitler en avait un ! Bon… peut-être pas pour parler de Jean-Damien qui lui a volé son goûter à la récré, c’est vrai. Mais même si le personnage est assez compliqué à aborder sur un ton léger, la possession de journaux écrits de sa main, et révélant son quotidien serait quelque chose de formidable pour les historiens ! Et ça aurait bien pu avoir lieu : laissez moi vous raconter…Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Bienvenue dans ce nouvel épisode de Faut-il voir ?! Vous le savez, je suis cinéphile, et j'aime bien vous conseiller des films ou des séries qui valent la peine d'être vus selon moi ! Alors après "Shogun et "Masters of the Air", je vous propose aujourd'hui de vous parler d'une de mes séries historiques préférées, qui n'est pas très récente, mais que j'ai vraiment appréciée : "Downtown Abbey" ! Alors que faut-il en penser ? Je vous donne mon avis dessus, alors bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Vous êtes-vous déjà demandés à quoi ressemblaient la musique et les instruments de musique dans l’Antiquité ou au début du Moyen Âge ? Comment les fabriquait-on ? Étaient-ils forts différents de ceux d’aujourd’hui ? Même si la musique est très ancienne et qu’elle s’est perpétuée jusqu’à maintenant, certains savoirs qui y sont liés ont très bien pu se perdre. Mais dans ce cas, est-il possible de les retrouver ? Eh bien pour en savoir plus, j’ai eu le plaisir de recevoir Julian Cuvilliez, un archéo-musicologue et luthier à l’Atelier Skald spécialiste des instruments de musique antiques et médiévaux, et notamment de la lyre gauloise. Et justement, on va revenir avec lui sur son cas : quel est cet instrument, comment le fabrique t-on, comment a-t-on retrouvé les informations permettant de le créer, et comment en joue t-on ? Bref, plein de questions passionnantes que je vous propose de découvrir en sa compagnie. Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! La musique est très présente dans notre société, et existe sous une multitude de formes distinctes. Mais vous êtes-vous déjà demandés à quoi elle pouvait bien ressembler dans l’Antiquité et au début du Moyen Âge ? Eh bien ça, je vous propose de le découvrir dans un nouvel entretien qui sera disponible ici d’ici quelques jours, en compagnie de Julian Cuvilliez, un archéo-musicologue et luthier à l’Atelier Skald spécialiste de la question. Mais pour l’heure, je vous propose de nous attarder sur un point bien précis dont nous a parlé Julian : les conventions en histoire ! Je m’explique : en histoire, on fait assez souvent des généralités pour mieux s’y retrouver, comme avec la périodisation par exemple : le passage de l’Antiquité au Moyen Âge est assez évident pour nous, mais les gens de l’époque n’en avaient bien évidemment pas conscience ! Ces conventions peuvent être assez pratiques, mais il ne faut pas non plus tomber dans le piège d’en faire des vérités absolues ! Et ça, Julian l’explique très bien, et je lui laisse donc ma place pour en parler, alors bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Costumes, productions animées, films ou parcs d’attractions, la figure du pirate et sa mythique recherche du trésor sont désormais ancrées dans l’imaginaire populaire, appartenant à la Pop Culture au même titre que celle du super-héros. Et le géant Disney n’y est pas pour rien, avec son attraction Pirates des Caraïbes de 1967, adaptée au cinéma à partir de 2003, en cinq films inoubliables ! Mais comment a t-on pu passer de hors-la-loi violents et criminels du 18e siècle, à des modèles iconiques aux 20e et 21e siècles ? C’est parti pour un petit “Vrai ou Faux” de Pirates des Caraïbes !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Imaginez Londres sous la neige : nous sommes en décembre 1794, c’est l’époque des fêtes. Et un fiston va offrir à son papa le plus beau cadeau de Noël qu’il ait pu rêver… En voilà, une histoire qui démarre bien ! Nous sommes dans la demeure du graveur Samuel Ireland, homme de lettres et grand amateur d’antiquités. Mais surtout, c’est un immense fan de…William Shakespeare. Au point qu’il a appelé son propre fils William : sans doute pas une coïncidence ! Cette année-là, William Ireland présente à son père un vieil acte d’achat de propriété signé à la main. On peut y lire un nom et un prénom : “William Shakespeare”…Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Mayas, Incas, Aztèques… Ces civilisations précolombiennes sont bien distinctes, et pourtant ce n’est pas rare qu’on les confonde. Mais d’ailleurs, comment les connaît on ? Si l’histoire et l’archéologie nous apportent beaucoup d’informations, bien d’autres nous sont encore inconnues. Alors comment pourrait on les découvrir ? C’est ce dont je vous propose de parler dans un nouvel entretien historique en compagnie de Johann Begel, un archéologue spécialiste des rituels, des offrandes, des dépôts et de l’architecture maya. On reviendra ensemble sur l’histoire de cette civilisation, sur les sources nous permettant d’en savoir plus à son sujet, mais aussi sur les apports d’une autre discipline : l’ethnologie ! Alors attachez vos ceintures, et direction l’Amérique centrale !Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !