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CYEK - LE PODCAST

WEBSTER... AU MICRO DE CYEK

Saison 2

Lorsque WEBSTER de son vrai nom ALY NDIAYE s'est convaincu "d'inscrire Olivier Le Jeune" dans le patrimoine historique canadien et québécois, il n'a pas fait l'économie de son temps. Entamée en 2018, sa démarche a abouti le 10 mai dernier, jour où OLIVIER LE JEUNE a été désigné "Personnage d'importance historique nationale". Parmi les motifs, on retrouve cet extrait : " Ce personnage revêt une forte importance symbolique en mettant en lumière la présence des Noirs sur le territoire québécois depuis près de quatre siècles."


De la chanson QC History X à la patrimonalisation d'Olivier Le Jeune, le natif de Limoilou en tire une satisfaction personnelle - lui qui aurait connaître cette histoire à l'école -. L'histoire de la " Première personne d’ascendance africaine à vivre de manière permanente au Canada (Nouvelle-France), et soumise à l’esclavage".


Dans cet épisode de Au micro de CYEK, Webster parle de cet aboutissement, mais aussi de ce dont il rêve pour la suite avec Cyrille Ekwalla.


(c) Au micro de CYEK - (mai 2022)

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  • 53. NEOQUÉBEC-RADIO : STEPHIE MAZUNYA, AUTRICE-COMÉDIENNE DE THEATRE

    16:12||Saison 3, Ep. 53
    Dans cet échange empreint de chaleur et de profondeur, Cyrille Ekwalla reçoit à nouveau STEPHIE MAZUNYA, artiste trilingue et pluridisciplinaire née au Burundi et formée à l’École nationale de théâtre. Elle vient présenter sa nouvelle pièce, Chronologies, actuellement à l’affiche au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui jusqu’au 3 mai.Après le succès de S'enjailler, Stephie Mazunya revient avec une œuvre intime et puissante explorant les liens mère-fille, les traumatismes générationnels et le silence hérité. Dans Chronologie, trois femmes s’interrogent sur leurs origines et sur les blessures tues. Inspirée en partie par le massacre des 40 martyrs de Buta au Burundi, la pièce mêle fiction et faits historiques pour évoquer l'identité, la mémoire et le non-dit, notamment dans les familles afrodescendantes.Mazunya insiste sur l'importance de représenter des femmes africaines complexes, éduquées, parfois silencieuses, souvent incomprises, mais toujours dignes. Elle déplore que les récits de femmes noires soient trop souvent cantonnés à la misère ou à la tragédie, et défend une écriture qui leur restitue leur diversité émotionnelle, intellectuelle et humaine.L’émotion suscitée chez le public — parfois jusqu’aux larmes — témoigne de la résonance de la pièce. Si S'enjailler faisait rire, Chronologies émeut profondément, sans jamais sombrer dans le pathos. La scénographie épurée, centrée sur le jeu des comédiennes, met en valeur la densité des textes et des relations.Discrète mais passionnée, Mazunya confie vouloir continuer à écrire des histoires portées par des femmes, mais annonce aussi que des personnages masculins viendront enrichir ses prochaines créations.(c) CYEK-LE PODCAST (Avril 2025)
  • 52. NEOQUÉBEC-RADIO : CARLA BEAUVAIS & GARIHANNA - DYNASTIE, LE SOMMET ET LE GALA

    33:19||Saison 3, Ep. 52
    À l’occasion du week-end de Pâques, l’émission de Cyrille Ekwalla a réuni CARLA BEAUVAIS, directrice de la Fondation Dynastie, et l’humoriste GARIHANNA JEAN-LOUIS, animatrice du Gala Dynastie 2024. L’entretien a permis de plonger dans les coulisses de la neuvième édition du gala, prévue le 26 avril, ainsi que dans les ambitions de la deuxième édition du Sommet Dynastie, les 22 et 23 avril à Montréal.Garihanna, première femme noire diplômée de l’École nationale de l’humour, animera le gala pour la seconde fois. Elle souligne l’importance de redonner à la communauté et de valoriser les talents souvent restés dans l’ombre. Son approche mêle humour et messages engagés, affirmant : « Pour moi, on peut être sérieux en riant. » Elle défend aussi l’humour comme vecteur de sensibilisation, notamment à travers la méthodologie de Sabido, qui marie divertissement et éducation. Elle regrette néanmoins l'absence de femmes nominées dans la catégorie humour cette année, tout en saluant les efforts de ses consœurs en émergence et appelant le public à venir les soutenir en salle.Carla Beauvais revient sur les raisons du choix de Garihanna comme animatrice : une évidence, tant son parcours et son engagement s’inscrivent dans les valeurs de la fondation. Elle insiste aussi sur l’impact structurel du travail accompli. En neuf ans, la Fondation Dynastie est passée d’un simple projet dans un 3 ½ à un véritable mouvement. Elle a contribué à transformer les discours sur la représentativité dans les arts, en gagnant la confiance d’institutions comme la SODEC ou le Conseil des arts de Montréal. Financièrement, plus de 600 000 $ sont injectés chaque année dans l’écosystème noir, notamment via des partenariats avec des entreprises issues de la communauté.Le Sommet Dynastie, quant à lui, qui se tient les 22-23 avril - a pour mission d’outiller les artistes et professionnels des industries culturelles. Trois axes structurent l’événement : Voix influentes (panels avec des leaders comme Cameron Bailey du TIFF), Fabrique à idées (ateliers de co-création), et Lab créatif (formation à la création de contenu). Un espace de bien-être est aussi prévu. Le sommet, axé sur l’action et le réseautage, vise à renforcer les compétences et les opportunités concrètes pour les jeunes talents issus de la diversité.(c) CYEK - LE PODCAST (avtil 2025)
  • 51. NEOQUÉBEC-RADIO : COLLINS NZIEMI, PRÉSIDENT DE BINAM CANADA- ASSOCIATION

    24:23||Saison 3, Ep. 51
    Dans cet épisodede CYEK- LE PODCAST, c'est le chef d’entreprise, consultant en gestion de projets et fondateur de Troc Radio, COLLINS NZIEMI - sous sa casquette de président de Binam Canada, qui est l'invité de Cyrille Ekwalla.Cette association est la plus ancienne association camerounaise au Canada, regroupant principalement les ressortissants de l’Ouest, (Grassfields) plus connus sous la dénomination Bamilékés. Dans cette entrevue, Collins Nziemi présente présente un projet d’envergure : la création de la première Maison Bamiléké au Canada. Ce projet, en gestation depuis des années, vise à doter la communauté d’un carrefour identitaire, culturel et intergénérationnel. La Maison Bamiléké, dont une première version ouvrira le 1er mai 2025 au 720 boul. Décarie, se veut un lieu de mémoire, de transmission, mais aussi d’accueil et d’ouverture. Elle sera accessible à toutes les communautés, tout en mettant en lumière l’héritage culturel bamiléké et camerounais. "Il s’agit d’un projet structurant, au-delà des galas et des événements ponctuels", souligne Collins Nziemi.Le financement, basé sur des dons communautaires volontaires, reste le principal défi. le président de Binam Canada insiste sur le caractère désintéressé de ces contributions, qui visent à construire un bien collectif. La Maison Bamiléké se présentera comme une salle multifonctionnelle pour événements, conférences, expositions, et plus encore.Répondant aux critiques d’un possible repli identitaire lié au contexte socio-politique dans son pays d'origine, Le Cameroun, Collins Nziemi rappelle que ce projet est inclusif, et constitue un tremplin vers d’autres initiatives culturelles pan-camerounaises. Il annonce par ailleurs que Montréal pourrait accueillir, en 2026, la All-Bamiléké Convention, qui réunit chaque année 4 000 à 5 000 personnes à l’international.Enfin, il conclut sur la nécessité pour les communautés africaines au Canada de développer des projets visibles, pérennes et structurants, pour contrer l’effacement culturel et laisser une trace significative dans l’histoire migratoire canadienne.(c) CYEK-LE PODCAST (Avril 2025)
  • 50. NEOQUÉBEC-RADIO : MARJORIE MICHEL, FEMME POLITIQUE - CANDIDATE LIBÉRALE FÉDÉRALE (PAPINEAU)

    35:07||Saison 3, Ep. 50
    De l’ombre à la lumière, c’est ainsi que se dessine le parcours politique de MARJORIE MICHEL, ancienne proche collaboratrice de Justin Trudeau et aujourd’hui candidate libérale dans la circonscription de Papineau, ancien fief du Premier ministre.Dans cette entrevue avec Cyrille Ekwalla, elle revient avec franchise sur sa décision de faire le saut en politique active, motivée par un profond attachement au service public et une volonté affirmée de représenter les citoyens de Papineau., circonscription dont le député sortant n'est autre que JUSTIN TRUDEAU.Issue d’une trajectoire marquée par l’engagement, Marjorie Michel a commencé sa carrière politique en tant que conseillère de Jean-Yves Duclos avant de devenir sa cheffe de cabinet, puis de rejoindre le bureau du premier ministre en 2021. Elle y a occupé un rôle central jusqu’à sa démission récente pour se consacrer à sa candidature. Loin d’être un simple prolongement technocratique, son engagement repose sur des convictions et valeurs fortes forgé dans l’écoute, la rigueur et la volonté de bâtir un Canada plus juste et plus inclusif.Au micro de NéoQuébec, elle évoque avec lucidité les préoccupations des citoyennes et citoyens de Papineau : logement, immigration, accès aux services, sécurité. Elle insiste sur l’importance de redonner confiance aux électeurs, particulièrement dans un contexte de polarisation accrue et de démobilisation démocratique. Marjorie Michel évoque également les questions migratoires, en particulier pour les Haïtiens fuyant les États-Unis, en plaidant pour une approche plus humaine et concertée.Elle aborde sans détour la dureté du monde politique, notamment envers les femmes, et la nécessité de créer un espace plus inclusif, moins hostile aux voix racisées. Représenter, pour elle, ne se limite pas à porter une image, mais consiste à peser dans les décisions et ouvrir la voie à d'autres.Avec calme, détermination et s'appuyant sur une forte connaissance des rouages du pouvoir, Marjorie Michel pense qu'au vu de l'environnement politique et économique mondial actuel, le choix du parti libéral du Canada est la seule option.(c) CYEK-LE PODCAST (avril 2025)
  • 49. NEOQUÉBEC-RADIO : JAËL ELYSÉE & JOSETTE GARRAUD - FONDS AFRO ENTREPRENEURS

    34:04||Saison 3, Ep. 49
    JAËL ELYSÉE, Directrice générale, et JOSETTE GARRAUD, responsable du programme d’accompagnement du Fonds Afro-Entrepreneur, ont partagé avec passion la mission et les avancées de l’organisme, à l'émission NEOQUÉBEC, au cours d'une entrevue portant sur la troisième édition de leur gala de reconnaissance des entrepreneurs afrodescendants, prévue le 1er mai au Belvédère sis au Centre des sciences de Montréal.Le Fonds Afro-entrepreneur, qui célèbre ses 17 ans d’existence en avril 2025, a pour mission de soutenir le développement économique des communautés noires du Québec. Il agit sur trois volets : le financement (entre 50 000 $ et 500 000 $), l’accompagnement personnalisé des entrepreneurs selon leur stade d’évolution (démarrage, croissance, redressement), et la valorisation à travers des initiatives comme le Gala de reconnaissance des entrepreneurs noirs, qui proposera donc sa 3ème édition dans un mois , le 1er mai 2025 prochain.L'accompagnement des entrepreneurs, un pilier du Fonds Josette Garraud en a profité pour marteler l'importance de l'accompagnement des entrepreneurs. Pour elle, il constitue une valeur ajoutée essentielle du Fonds. Les entrepreneurs bénéficient d’un suivi par des experts en marketing, RH, planification stratégique, etc., avec une partie des frais assumés par le Fonds. et contrairement aux banques, le Fonds se distingue par son accessibilité, sa proximité humaine et son ancrage communautaire.Avec ses dix-sept ans d'expérience, qui mieux que Jaël Élysée pour avoir un regard vrai sur l'entrepreuneuriat des communautés noires ? La Directrice du Fonds rappelle l’évolution du profil entrepreneurial noir au Québec : d’un entrepreneuriat de nécessité au début (travailleurs autonomes dans des secteurs traditionnels), on assiste aujourd’hui à l’émergence d’entreprises innovantes, technologiques et à fort impact. Le changement sociétal est notable : la nouvelle génération aspire à entreprendre, encouragée par des modèles inspirants et des programmes de soutien ciblés, notamment pour les femmesLa pertinence du Gala Afro-entrepreneur.Le Gala du Fonds Afro-entrepreneur vise justement à donner de la visibilité à ces entrepreneurs souvent peu médiatisés, tout en inspirant la relève. Avec huit catégories (jeune entrepreneur/repreuneuriat, femme entrepreneure, entreprise innovante, entreprise en croissance, entrepprise en démarrage, entreprise à impact, entreprise ouverte à l'international, etc.), le Gala s’affirme comme un outil de reconnaissance, d’inspiration et de réseautage stratégique. L’événement, conçu avec soin et élégance, reflète l’excellence des entrepreneurs noirs et vise à briser les stéréotypes sur leur professionnalisme.Enfin, Jaël Elysée et Josette Garraud affirment avec fierté que l’entrepreneuriat noir québécois est en pleine transformation et promesse d’avenir.(c) CYEK-LE PODCAST (avril 2025)
  • 48. NEOQUÉBEC-RADIO : SANDRA GASANA & TONY NKURUNZIZA- KWIBUKA31 MONTREAL

    44:13||Saison 3, Ep. 48
    À la veille de la 31e commémoration du génocide des Tutsi du Rwanda, Kwibuka – qui signifie « se souvenir » en kinyarwanda, SANDRA GASANA et TONY KKRUNZIZA ont évoqué sur NEOQUÉBEC les enjeux de mémoire, de transmission et de solidarité dans la diaspora rwandaise au Canada.Sandra Gasana, porte-parole pour la 2ème année consécutive, a rappelé la mission de Page Rwanda, fondée durant le génocide pour venir en aide aux rescapés et à leurs familles. Aujourd’hui, l’association poursuit ses actions à travers des conférences, des témoignages, des activités culturelles et un accompagnement psychosocial. La devise de l’organisation – mémoire, justice, solidarité, bien-être – incarne leur volonté de garder vivante la mémoire d’un million de victimes et de lutter contre le négationnisme, particulièrement en ligne, où les jeunes sont exposés à une forte désinformation. Chaque mois d'Avril, l'association est en première ligne dans les différentes activités entourant la Kwibuka : cérémonies, projections, conférences, moments de recueillement.Tony Nkurunziza a, quant à lui, présenté le Réseau des professionnels rwandais du Canada comme un espace de rencontre, d’entraide et d’insertion professionnelle. Ouvert aux étudiants, aux jeunes diplômés ou aux nouveaux arrivants, le réseau facilite les liens intergénérationnels et favorise un climat de confiance dans une diaspora encore marquée par les blessures du passé. Il organise aussi des voyages au Rwanda pour renforcer le lien identitaire des jeunes.Tous deux insistent sur l’importance de donner la parole à la jeunesse, comme à travers l’activité « Sans tabou », qui permet aux jeunes de discuter librement des sujets souvent tus en famille. Ou encore à travers des initiatives comme les voyages au Rwanda (Rwanda Youth Tour). En filigrane, l’idée que « tourner la page » n’est possible que par une appropriation collective de l’histoire, une mémoire vivante et un ancrage communautaire solide. Malgré les progrès, ils regrettent la faible participation des autres communautés africaines aux commémorations et appellent à plus de solidarité. La commémoration de 2025 inclut une cérémonie d’ouverture, des conférences, une projection documentaire et une vigile de clôture.Pour en savoir plus sur la Kwibuka : pagerwanda.ca et pour le réseau des professionnels : https://www.facebook.com/professionnelsrwandais/?locale=fr_CA(c) CYEK-LE PODCAST (Avril 2025)
  • 47. NEOQUÉBEC-RADIO : ELEONORE MENGA , PHOTOGRAPHE-DOCUMENTARISTE

    24:53||Saison 3, Ep. 47
    Cet épisode est l'entrevue de ELÉONORE MENGA, une photographe et documentariste qui capture bien plus que des images : elle raconte des histoires à travers son objectif.D’origine congolaise et haïtienne, installée à Montréal depuis 17 ans, elle explore les identités, les mémoires et les invisibles de la société à travers des portraits et des récits silencieux, souvent engagés auprès de collectifs féministes et d’organismes.D’abord formée en anthropologie, Éléonore Menga a découvert la photographie par passion et nécessité. Mère de quatre enfants, elle a documenté leur enfance sans imaginer devenir photographe professionnelle. Un déclic s’est produit lorsqu’elle a appris les bases de la vidéo grâce à un proche, puis en autodidacte via YouTube. À 40 ans, elle décide de se former officiellement et obtient un diplôme en photographie au Collège Dawson.Son approche repose sur la connexion avec ses sujets, qu’ils soient modèles, familles ou personnalités publiques. Pour elle, la photographie est une co-création où elle cherche à refléter fidèlement l’histoire et l’émotion de l’autre. Montréal, ville de métissage, est un terrain fertile pour son travail.Son projet le plus marquant du moment est un documentaire photographique sur GRACIA KASOKI KATAHWA, femme politique qu’elle suit depuis sa candidature à la chefferie de Projet Montréal. Fascinée par son humanité et son leadership, elle veut capturer l’authenticité de son parcours, y compris la gestion de la défaite.Éléonore Menga poursuit plusieurs projets de photojournalisme, déterminée à construire sa carrière en accord avec ses valeurs et sa passion pour la narration visuelle.(C) CYEK - LE PODCAST (avril 2025)
  • 46. NEOQUÉBEC-RADIO : CHRISTINE BLACK, MAIRESSE DE MONTRÉAL-NORD

    25:04||Saison 3, Ep. 46
    Dans cette entrevue accordée à Neoquébec, CHRISTINE BLACK, mairesse de Montréal-Nord, évoque tous le scontours qui ont mené au dévoilement de la nouvelle image de marque de ce quartier/arrondissement, quarante-huit heures plus tôt . Un évenement qui marque un tournant dans la façon dont ce territoire se présente au monde. "Nous en avons assez de laisser les autres nous définir", lance la mairesse Black.Depuis des années, Montréal-Nord traîne une réputation négative souvent associée à la pauvreté et à l'insécurité. Pourtant, comme le souligne Christine Black, "ce sont les citoyens qui vivent ici qui devraient raconter leur histoire". Aux yeux de la mairesse, la nouvelle identité visuelle, avec son logo et sa signature, symbolise cette communauté multiculturelle, solidaire et en plein développement. Il apparait aussi au cours de l'entrevue avec Cyrille Ekwalla, que ce repositionnement, voulu et souhaité par toute la communauté nord-montréalaise, ne se limite pas à un simple exercice de communication. Il s'appuie sur des réalisations tangibles, à l'instar de : - La rénovation majeure du boulevard Pie-IX - La construction de nouvelles infrastructures comme la bibliothèque Charleroi - Des projets sociaux innovants (Maison Bleue, programmes jeunesse) - L'avancement du très attendu centre sportif L'un des moments forts de l'entrevue est lorsque Christine Black évoque avec émotion ces jeunes qui "ne mettent pas Montréal-Nord sur leur CV par peur des préjugés". Elle veut changer cette réalité en mettant en avant les réussites locales, des athlètes professionnels aux entrepreneurs. Et elle les cite, ces exemples de réussite nés ou ayant vécu à Montréal-nord.Convaincu que cela ne se fera pas en claquement de doigts, elle insiste : "Ce n'est pas une opération marketing, c'est un marathon". Si des défis persistent (financements manquants pour le centre sportif, problèmes de sécurité), la mairesse croit fermement au potentiel de transformation quand les citoyens, les institutions et les entreprises travaillent ensemble. Cette nouvelle identité marque le début d'un chapitre plus positif pour Montréal-Nord, où la fierté locale pourrait enfin surpasser les vieux clichés. Comme le conclut la mairesse : "Montréal-Nord mérite d'être vu pour ce qu'il est vraiment".Pour en savoir plus : @arrondissement_mtlnord(c) CYEK-LE PODCAST (mars 2025)
  • 1. NEOQUÉBEC-RADIO : CINQ QUESTIONS À... ABDELHAQ SARI - CANDIDAT LIBÉRAL FÉDÉRAL / BOURASSA

    13:55||Saison 3, Ep. 1
    Vendredi 21 mars 2025, ABDELHAQ SARI, conseiller de ville à Montréal-nord, a gagné la course à l'investiture pour la candidature du Parti libéral du Canada, pour le comté de Bourassa.Quarante-huit heures, à peine, après ce résultat, il a accepté de paratger ses premiers mots avec Cyrille Ekwalla, dans le cadre de l'émission-radio NEOQUÉBEC(c) CYEK-LE PODCAST (mars 2025)