LYON DEMAIN Gérald BOUCHON

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce lundi 20 mai 2024Après 3, 5 millions d’euros de travaux, le public à nouveau accueilli au commissariat du 2ème arrondissementLa préfecture du Rhône multiplie les expulsions des délinquants bénéficiant de logements sociauxUne peine de six mois de prison avec sursis pour un individu qui avait proféré des menaces de mort à l'encontre de deux élus lyonnais369,4 millimètres cumulés d’eau : des précipitations d’une ampleur rarement observée depuis le début des années 1980 à LyonLa Tournée du Climat et de la Biodiversité fait escale à Lyon les 23 et 24 ma, jeudi et vendredi prochain à l’Hôtel de Ville de LyonConnaissez-vous La Canopée Fleurie ? Des accessoires de mode upcyclés, des patrons de vêtements et accessoires, des cours et tutos couture...Léa Caudron Fournier fondatrice de La Canopée Fleurie, est notre invitéeUn « Job Café » dans les agences O2, leader français du secteur des services à la personneLigue 1 : face à Strasbourg, Lacazette envoie l'OL en EuropeL’OL féminin a a fêté son titre de championnes, avant la finale de la ligue des Champions programmée samedi prochain face au BarçaL'ASVEL s’est qualifiée, à Saint-Quentin, pour sa sixième demi-finale en championnat, sous l'ère Tony ParkerTop 14 : le LOU assuré de son maintien la saison prochaine

À l'occasion de l’événement 48 heures du Galop, l’hippodrome de Parilly a été ouvert au public les 8 et 9 mai dernier. Au programme, des courses; mais aussi de la prévention. Les associations Les réformés de Chazey et Race and Care ont fait le déplacement pour promouvoir le bien-être et la reconversion des chevaux. Parce que leur vie n’est pas qu’une compétition, notre journaliste Maëva Martel est allée sur place pour rencontrer HellBoy et Gali, deux chevaux réformés...Ecoutez le podcasrCes deux anciens chevaux de compétition en saut d’obstacles paradent fièrement devant la foule. Au trot ou au galop, les tours de circuit s’enchaînent. Et après l’effort, le réconfort : les carottes et les caresses du public ont été appréciées. Noame Ayad, ambassadrice de Race and Care, et Axelle Toussaint, fondatrice de l’association Les réformés de Chazey, défendent le bien-être des chevaux; plus précisément des anciens compétiteurs. “Hellboy aurait pu se tuer au travail tellement il donnait. Il a été réformé car on ne voulait pas qu’il se fasse mal dans l’effort. Je l’ai récupéré dans un premier temps pour le réformer pendant un an; puis je suis tombée trop amoureuse donc je l’ai racheté” raconte Noame. Depuis, comme la plupart des réformés, Hellboy suit des cours de dressage. Race and Care promeut le bien-être des chevaux avant, pendant, et après les courses. “Il faut avoir de la nourriture en continu, pouvoir sortir tous les jours, respecter leurs besoins spécifiques qu’ils soient physiques ou moraux” soutient Noame. Félicia est la meilleure amie d’Axelle Toussaint. Il y a deux semaines, elle a adopté Gali. “J’ai toujours dit à Axelle que le jour où je rachèterais un cheval, ce serait un réformé de chez elle. Il vit en pré/box avec des copains, ça a l’air de plutôt lui plaire. C’est un petit cheval hyper gentil, sa seconde vie est bien méritée”.Cette cause tient à cœur à l’hippodrome qui n’hésite pas à relayer les services de ces deux associations. “Pour nous il est important que les chevaux puissent bénéficier d’une bonne retraite ou d’une seconde vie après leur carrière” conclut Yann Souillet-Desert, travailleur à l’hippodrome de Lyon.

De nouvelles têtes sont apparues du côté du TACTILAB de Villeurbanne. Pour la deuxième fois, la Fondation Orange a accepté de financer le fabLab accueillant jusqu’à présent des personnes en situation de malvoyance. Depuis le début de l’année scolaire, ce ne sont pas moins de 25 nouveaux jeunes, en situation de handicap, notamment des jeunes autistes, qui viennent réaliser leur projet. Antoine Piras s’est rendu au TactiLab pour en savoir un peu plus.Ecoutez le podcastLe FabLab, la formation malgré les handicaps...Depuis le début de l’année scolaire, ce ne sont pas moins de 25 nouveaux jeunes, en situation de handicap, notamment des jeunes autistes qui viennent réaliser leur projet grâce au chèque de la Fondation Orange.On n’a pas le temps de s’ennuyer du côté du TACTILAB de Villeurbanne. Depuis la rentrée de l’année scolaire 2023/2024, 25 nouveaux jeunes en situation de handicap viennent, toutes les deux semaines, utiliser les machines mises à leur disposition. Un apprentissage bénéfique pour tout le mondeLes jeunes sont libres de mener le projet qu’ils souhaitent tout en étant accompagnés par leurs éducatrices ainsi que par des bénévoles. Ils peuvent laisser leur imagination s’exprimer. « Les jeunes ont accès à plein de machines pour les aider. Ils ont un peu de mal au début, mais maintenant, ils sont à l’aise et se débrouillent bien » explique Claire Perret, éducatrice à l’IME Saint-Vincent-de-Paul.Pour les aider, les bénévoles ont dû s’adapter. Le contact pouvait être parfois difficile au début, mais une relation de confiance s’est vite installée. Il a fallu changer les manières d’expliquer. Les jeunes doivent être encadrés pour les aider au mieux à réaliser leur projet. Une différence de pédagogie qui a amené Angèle Champagne, responsable du fabLab à apprendre de nouvelles manières d’expliquer les choses : « On s’est rendu compte qu’il fallait beaucoup leur expliquer, mais on a vu aussi que cette technique d’approche fonctionne aussi avec d’autres personnes qui sont réceptives à cette manière d’expliquer ».La Fondation Orange à nouveau présenteDerrière cette nouveauté, se cache la Fondation Orange. Déjà présent il y a deux ans pour le financement du projet permettant l’intégration de personnes malvoyantes et non-voyantes, la fondation répondu une nouvelle fois à l’appel. Un chèque de 25 000 euros a été transmis pour permettre d’acheter du nouveau matériel. Un partenariat qui semble parti pour durer puisque la fondation semble très réceptive à cette opportunité de former des jeunes en situation de handicap pour leur apporter de l’autonomie.

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce vendredi 17 mai 2024Damien Abad, accusé de violences sexuelles par trois femmes, a été mis en examen à Paris pour tentative de viol en 2010 sur l'une d'entre ellesLes élus du SYTRAL valident le tracé du futur tram TEOL. Seulement, une vingtaine d’opposants à TEOL réunis aux portes de SYTRAL MobilitésEtat et Région signent le volet mobilité du contrat de plan 2023-2027. La métropole de Lyon estime même que "la Région met le RER lyonnais à l'arrêt"Connaissez-vous le TACTILAB de Villeurbanne ? Un FabLab accueillant des jeunes, en situation de handicap,Angèle Champagne (responsable du FabLab), Claire Perret (éducatrice - IME Saint-Vincent de Paul), Nicole Joulia (déléguée Fondation Orange) sont nos invitéesEboulement : le quai Jean-Jacques Rousseau remis en circulation Hippodrome de Parilly : le bien-être et la reconversion des chevaux mis à l’honneurNoame Ayad, ambassadrice de Race and Care, et Axelle Toussaint, fondatrice de l’association Les Réformés de Chazey sont nos invitéesOL - Strasbourg : un match nul suffirait pour l'OLOL féminin : un 17e titre de champion de France dans le viseurBasket : l'ASVEL bat Saint-Quentin

La commune d’Oullins-Pierre-Bénite peut se targuer des effets bénéfiques de l'arrivée du métro. Un rapprochement avec le centre de Lyon grâce au prolongement de la ligne B... Mais aussi de nouveaux espaces publics avec, en particulier, la nouvelle place Anatole France. L’ancien parking a laissé place à une esplanade piétonne et végétalisée. A Oullins-Centre, 8000 m² d’espaces publics ont été réaménagés. Notre journaliste Maëva Martel est allée se rendre compte sur place.Ecoutez le podcast

Le Secours Catholique du Rhône avait créé la Maison Sésame pour accueillir les migrants. En 2021, cette structure s'est installée à Villeurbanne, dans le quartier Grand-Clément, avec la volonté d'aller toujours plus loin afin d'intégrer au mieux ces personnes venues d'ailleurs.Ouverte aux personnes isolées, majeures et en précarité d’hébergement, la Maison Sésame se veut être un véritable lieu d’accueil et d’accompagnement, notamment dans l’accès aux droits. Mais pas seulement...Maison Sésame s'est transformée en un véritable tiers-lieu dans lequel les exilés se sentent écoutés et épaulés. Nous avons rencontré John Carron, salarié-référent de la Maison Sésame.Ecoutez le podcastMaison Sésame est située 111 rue du 1er mars 1943, à Villeurbanne. Une journée portes ouvertes est programmée le JEUDI 6 JUIN 2024 A PARTIR DE 16H...

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce jeudi 16 mai 2024Le ministre de la Transition Ecologique Christophe Béchu à Brignais pour signer le volet mobilité du contrat de plan État-Région, avec Laurent Wauquiez.Bruno Bernard présente le tracé du futur Tramway express de l’ouest lyonnais (TEOL) au vote du conseil d’administration du SYTRALOullins Pierre-Bénite : quand l’ancien parking devient une esplanade piétonne et végétalisée. Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon, Jean-Louis Claude, adjoint au maire, Anne-Sophie Perrinelle (cheffe de projet - Métropole de Lyon) sont nos invitésAttaque d'un fourgon en Normandie, les prisons et unités pénitentiaires hospitalières perturbées dans la régionLes syndicats du Centre hospitalier Saint Jean de Dieu appellent à manifester devant l’hôpital psychiatrique pour demander des moyens supplémentaires Maison Lejaby : le tribunal de Commerce de Lyon a choisi le repreneurLa Direction interdépartementale des Routes Centre-Est (DIR Centre-Est) fait marche arrière sur une limitation de vitesse à 50 km/h sur l'A7Secours Catholique du Rhône : la Maison Sésame accueille les migrants majeurs et veut devenir un véritable tiers-lieuJohn Carron, salarié-référent de Maison Sésame, à Villeurbanne, est notre invité

Les Ateliers Briand sont situés à Saint-Priest dans une ancienne usine de joints de culasses. Ce vaste site industriel inoccupé a été transformé en base de lancement pour les jeunes entreprises du bassin lyonnais. Un lieu idéal pour échanger, collaborer et faire grandir son projet...Nous avons rencontré Julie Pinson, coordinatrice de ce lieu d'urbanisme transitoire... Ecoutez le podcastL'urbanisme transitoire à Lyon, c'est par exemple Les Grandes Locos à la Mulatière, pour les grands événements culturels. Les Grandes Voisines (l'ancien hôpital Charial à Francheville) pour abriter des sans-abri. Ou le Grand Plateau à Villeurbanne, tiers-lieu dédié aux acteurs des mobilités actives.Le dernier en date, c'est l'Etape 22D à deux pas du Grand Plateau, pour accueillir 80 entreprises de toutes tailles : de l'infographiste à l'unité de production...

Les deuxièmes journées métropolitaines de l’Economie Sociale et Solidaire, se sont tenus aux Subsistances ce mardi 14 mai. Plus de 300 participants étaient au rendez-vous. Tous étaient concernés par la même question : est ce que l’économie sociale et solidaire peut devenir un point de bascule de l’économie ?Pour y répondre, des ateliers de fictions, table ronde et échanges constructifs étaient au programme de la journée. Maëva Martel s'est rendue sur place...Ecoutez le podcastL’économie sociale et solidaire : futur point de bascule de l’économie ? Mardi 14 mai, les deuxièmes journées métropolitaines de l’Economie Sociale etSolidaire ont eu lieu à Lyon. Plus de 300 participants étaient au rendez-vous. Car oui, l'ESS commence à peser dans l'économie...Le saviez-vous ? L’Economie Sociale et Solidaire produit 10% du PIB national. Mais concrètement, l’ESS, qu’est ce que c’est ? Emeline Baume, vice-présidente de la Métropole de Lyon chargée de l’économie, nous l’explique. “L'économie sociale et solidaire est un mode d’entreprendre qui inclut un principe démocratique. Une organisation de l’ESS décide aussi d’avoir une lucrativité limitée ou pas de lucrativité. Le chiffre d’affaires est donc versé à son outil de travail. L’ESS répond aussi à un besoin du territoire. Ce sont des entrepreneurs qui ont observé un manque et qui décident d’y remédier de manière collective”.Pour soutenir ces ESS, le KIIF, une alliance de 10 incubateurs, porte ces nombreux projets partout en France. Pour Léna Geitner, déléguée générale du KIIF, cette grande alliance ne peut que développer l'ESS. “On dit souvent que les innovations se lancent en grappes. Quand un projet naît à Lyon, un projet similaire naîtra à Bordeaux, car les besoins sont les mêmes. Comme les incubateurs sont connectés, ils peuvent transmettre les bonnes pratiques d’un projet à un autre”.A Lyon, Ronalpia fait partie de ces 10 incubateurs. Créé il y a 10 ans, il propose 12 programmes gratuits pour accompagner au mieux les futurs acteurs, de l’entraide, et du réseau dans la métropole lyonnaise. Depuis, de nombreux projets ont vu le jour. Josepha Poret, déléguée de Ronalpia, se souvient. “On a accompagné Andiamo qui a créé le premier Google Maps / Waze pour les personnes à mobilité réduite. Il y a aussi des projets comme l’Atelier Emmaüs qui est une belle structure d’insertion qui accompagne des personnes fragilisées dans les métiers de la menuiserie pour créer de l’emploi et aussi leur redonnerconfiance” raconte-t-elle.Les participants ont beaucoup appris, et projettent de belles perspectives pour l’avenir. Cette journée est donc bel et bien porteuse d’espoir pour le futur de l’ESS. De nouvelles idées fusent et pourraient créer ce point de bascule économique. Maintenant, place au changement...