LYON DEMAIN Gérald BOUCHON

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce vendredi 19 décembre 2025Le Crif Auvergne-Rhône-Alpes organisait hier soir son traditionnel dîner, en présence du ministre de la Justice, Gérald Darmanin et du maire de Lyon, Grégory DoucetLe volet mobilité du contrat de plan État-Région 2023-2027 enfin adopté par le Conseil Régional... 1,4 milliard d’euros dont 502 M€... pour la route. Un surinvestissement routier dénoncé par la gaucheLe maire divers droite de Meyzieu, Christophe Quiniou, officialise sa candidature aux prochaines élections municipales. "Pour accompagner ses projets jusqu’au bout" Des agents de la police municipale de Lyon devraient manifester, mercredi devant la mairie centrale, à l’appel du syndicat FO Ville de Lyon.519 127, c'est la population de la ville de Lyon. Laquelle reste la 3ème ville de France selon les chiffres du dernier recensementPlus de 400 agriculteurs ont défilé hier après midi entre la place Jean-Macé et la Préfecture du Rhône. Aux côtés d'élus, essentiellement de gauche. Concernant la gestion de la crise de la dermatose nodulaire, la Confédération Paysanne souhaite des abattages ciblés et le recours à la vaccination.Fermeture de l’usine Blédina à Villefranche : Danone rappelle les mesures prévues dans le cadre du plan social, destiné à proposer un nouvel emploi aux 117 salariés concernés.Charly, Irigny, Vernaison et Saint-Genis-Laval avaient lancé un appel à manifestation d'interet pour un service de vélos à assistance électrique en libre service. La marque suédoise VOI a été retenueL’église Saint-Bernard fermée depuis une vingtaine d’années pour des raisons de sécurité, désacralisée en 2016 va renaître d'ici 2029....Une chorale lyonnaise, Dream Factory, sera ce soir à l’honneur sur France 3 dans le cadre de sa participation à l’émission « La meilleure chorale de France ». Un reportage de Louis DemeursNotre invitée : la cheffe de chœur, Léopoldine AngotLes vacances de Noël commencent ce week-end... Ce vendredi est classé rouge en Auvergne-Rhône-Alpes dans le sens des départs. Tirage au sort de la phase finale de la Ligue des champions féminine : les filles de l'OL retrouveront en quarts de finale le vainqueur du barrage entre Wolfsbourg et la Juventus de Turin

L’association Alynea Samu social alerte sur la situation des 14 000 sans domicile fixe dans la Métropole de Lyon. Dans la continuité de leur action l’écrit du cœur où 14 000 cartons avaient été déposés sur la place des Terreaux, Alynea a souhaité amplifier le message compte tenu de la chute des températures. Nous sommes allés à leur rencontre pour évoquer le sujet du sans-abrisme.Ecoutez le podcastAlynea est une association réunissant plus de 230 salariés et 80 bénévoles sur la Métropole de Lyon. Ce qui en fait une force majeure dans l’aide aux sans-abri. A Lyon, ils sont plus de 14 000 soit l’équivalent de la population de Brignais. En 2024, l’association a rencontré 2876 personnes différentes dont 141 enfants qui vivent à la rue. Un chiffre impressionnant qui est en hausse depuis dix ans comme l’explique Maud Bigot, directrice opérationnelle du Samu Social. « On note une augmentation de 50% du nombre de personnes différentes rencontrées par les équipes du Samu Social. Cette augmentation est liée à une question structurelle. Aujourd’hui, le logement n’est pas abordable. On manque de logements abordables sur la Métropole de Lyon. Les pouvoirs publics ont investi de manière assez conséquente dans l’hébergement. Le nombre de places est à un niveau historiquement haut. Mais les gens qui sont aujourd’hui en hébergement, ils ne sortent plus vers le logement. » Une crise du logement dans laquelle beaucoup de compteurs sont dans le rouge. Un manque de logements sociaux mais surtout un manque de logements à loyers abordables. Ces derniers doivent permettre aux personnes de pouvoir se loger et quitter les logements sociaux définitivement afin de laisser leur place. Maud Bigot nous explique que nous pourrions tirer les enseignements d’un pays européen. « La Finlande a fait la démonstration qu’en investissant massivement dans le logement et en particulier dans le logement social, on diminue le sans-abrisme. Ils l’ont diminué par quatre. Ils ont même diminué après les places d’hébergement. L’hébergement, c’est ce qui doit servir en urgence. […] Si’il y a des logements abordables en nombre suffisant, on pourra diminuer l’hébergement. Mais les solutions de crise, d’urgence, ne doivent pas être des solutions structurelles. » Alynea vient en aide aux sans-abri de plusieurs manières. Les équipes vont à la rencontre des personnes dans la rue à la suite des signalement faits au 115. Elles se déplacent avec un/e infirmier/e et un travailleur social. Ce qui permet de faire un diagnostic de la situation et d’orienter la prise en charge de la personne. Philippe Imbert, directeur général, a cependant tenu à alerter les Lyonnaises et Lyonnais sur le besoin de financements. « Nous avons besoin de la solidarité de tous les Lyonnais, de toutes les Lyonnaises pour réussir à faire fonctionner notre association. Le Samu Social rencontre des personnes qui sont à la rue chaque nuit. Nous avons besoin de couvertures, nous avons besoin de pouvoir leur donner de l’alimentation, un café. […] Aujourd’hui, nos budgets ne sont pas suffisants pour faire fonctionner l’association. Et c’est pour cela qu’on en appelle à la solidarité de nos concitoyens. » Nous avons rencontré des personnes qui ont bénéficié de l’aide d’Alynea. Kamel Millet, 55 ans, était à la rue depuis de nombreuses années et avait la nécessité d’entamer un parcours de soins. Il n’a jamais abandonné l’idée de s’en sortir et il a été orienté vers une antenne d’Alynea qui lui a prêté main-forte. « A chaque fois qu’il y a eu la possibilité, ils m’ont accompagné. […] C’est là que l’intervention d’Alynea est assez intéressante […] On trouve un logement, mais si derrière il n’y a pas un accompagnement, les gens sortent du logement. Ils n’en ont pas pris possession et justement cette transition-là, elle permet de faire cela. » Alynea lance un appel aux dons et à la solidarité lyonnaise, à l’heure où le sans-abrisme progresse et tue. 855 personnes en sont décédées en 2024 en France.

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce jeudi 18 décembre 2025Chauffeurs VTC en colère : les chauffeurs indépendants annoncent des opérations pour alerter la population à partir de ce vendredi à LyonUne trentaine de lycéens de Juliette-Récamier ont tenter de bloquer les accès à l’établissement. pour s'élever contre l'idée d'un service national militaire volontaire. Les viticulteurs du Rhône en colère à Villefranche-sur-Saône : les Jeunes agriculteurs ont été reçus en sous-préfecture. Ils ont également affiché leur soutien aux éleveurs touchés par la dermatose nodulaire.On connait l'origine de l'explosion à Trévoux (Ain), qui a tué deux enfants de 3 et 5 ans, lundi. L’occupante de l’appartement entièrement détruit par l’explosion. a volontairement mis fin à ses jours en ouvrant le gaz L’association Alynea Samu social alerte sur la situation des 14 000 sans domicile fixe dans la Métropole de Lyon. Un reportage de Louis DemeursNos invités : Maud Bigot, directrice opérationnelle du Samu Social, Philippe Imbert, directeur général d'Alynea et Kamel Millet, 55 ans, sans-abri sorti de la rue par AlyneaUn moyen économique, écologique et convivial pour rejoindre les pistes de ski cet hiver...BlaBlaCar met en place ne liaison directe depuis Lyon, pour rejoindre la vallée de la Tarentaise en bus à moins de 20 euros.L’Asvel Féminin obtient la révision des modalités financières de la convention d’occupation du Palais des Sports de GerlandBasket : l'Asvel renoue avec la victoire en Euroligue face au Bayern MunichFootball : OL Lyonnes valide sa qualification en quart de finale de la Ligue des champions, en s'imposant face à l'Atlético Madrid

La Friperie du Foyer Notre-Dame des Sans Abri a ouvert ses portes à Villeurbanne, dans un espace de 60m2. L’association lyonnaise, connue pour ses actions d’accueil et d’accompagnement des sans-domicile fixe, inaugure ce magasin différent des Bric à Brac. Nous avons pu aller rencontrer les bénévoles qui gèrent le magasin. Ecoutez le podcastDans les anciens locaux du Progrès à Villeurbanne, seuls subsistent les murs. A la place des bureaux de rédacteurs et des imprimantes, des porte-manteaux, des étagères, des cintres... La nouvelle Friperie du Foyer Notre-Dame des Sans-abri y a élu domicile. Et s’y sent déjà comme chez elle. Habitués des Bric à Brac, les clients vont pouvoir découvrir cette friperie et sa sélection de vêtements. Marie-Claude Pezant, responsable du magasin, nous détaille le projet : « Notre centre de tri textile qui fonctionne avec des salariés en insertion nous sélectionne les meilleures pièces pour qu’on les vende dans les friperies. ». Des prix relativement bas pour des vêtements de seconde main haut-de-gamme et un réassortiment régulier assureront la continuité du magasin. Mais alors quels sont les projets pour les fonds récoltés par la Friperie de Villeurbanne ? « Tous nos fonds, sans exception, partent au Foyer et servent à créer de nouveaux centres d’hébergement, à créer de nouveaux postes pour accompagner ces gens qu’on réinsère, beaucoup d’éducateurs. Il faut beaucoup de monde pour pouvoir faire tourner tous ces centres. » Du côté de la clientèle, la Friperie est une nouveauté qu’ils s’empressent de découvrir. Les jeunes, les familles mais aussi les moins jeunes se sont emparés des lieux. Une friperie qui tente de se faire un nom en profitant de la force de l’association. La cliente rencontrée a souhaité exprimer sa satisfaction par rapport au magasin : « [Je connaissais] les friperies non, mais l’association oui. C’est accueillant, c’est très propre, c’est lumineux, il y a toutes les conditions pour que je rentre » La Friperie va tenter de suivre le succès des Bric à Brac, implantés un peu partout dans Lyon. Un concept nouveau pour le Foyer Notre-Dame des Sans-Abri et un véritable défi pour ses bénévoles qui tiennent le magasin. Une friperie qui permet de donner plus de sens à notre consommation et que l’on peut retrouver au 149 cours Emile Zola à Villeurbanne.

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce mercredi 17 décembre 2025Un corps découvert dans les décombres au lendemain de l'explosion mortelle à Trévoux. Deux frères âgés de 3 et 5 ans avaient été découverts par les sauveteurs peu de temps après la déflagration.L'affaire de la sextape à Saint-Etienne : l’ex-maire Gael Perdriau convoqué, hier par la procureure de la République pour connaître la date de son incarcération. Aucune info n'a filtré...Nouvelle audience au tribunal des activités économiques de Lyon pour ACI Group. La période d’observation de la holding est prolongée jusqu’au 4 février. Une des filiales reprise...Véronique Déchamps (LR), maire sortante de La Mulatière, brigue un second mandat. Le maire écologiste de Lyon, Grégory Doucet, sera en meeting le 17 janvier au Sucre« Une véritable forêt urbaine à Lyon de plusieurs centaines d’hectares pensée comme un équipement climatique à part entière et non comme un symbole ». C’est la promesse de Jean-Michel Aulas, candidat à la mairie de LyonLa friperie du Foyer Notre-Dame des Sans-Abri a ouvert ses portes à Villeurbanne. Plus quali qu'un Bric à Brac...Un reportage de Louis DemeursNotre invitée :  Marie-Claude Pezant, responsable de La FriperieUne opération d'arrachage d'un foyer de Myriophylle Hétérophylle. Une plante aquatique exotique invasive, identifiée à Saint-Germain-au-Mont-d’Or. Plante connue pour sa croissance exponentielle, représentant une menace écologique sérieuse. Introduite en Europe dans les années 40 pour l'ornementation d'aquariums et de bassins,Le journaliste Paul Gasnier décroche le prix Goncourt des détenus avec La Collision (éd. Gallimard), le récit de la mort de sa mère dans un accident de vélo provoqué par un jeune qui faisait une roue arrière à moto, au pied des pentes de la Croix-Rousse, rue Romarin. Dans son livre, le journaliste de Quotidien raconte l'accident mortel de sa mère en 2012 à Lyon. Mais tente surtout de comprendre comment un tel événement a été rendu possible...

Georges Képénékian, candidat annoncé depuis 1 an à la mairie de Lyon, a officiellement lancé sa seconde étape de campagne. Il a souhaité présenter son équipe rapprochée pour cette campagne. Il en a aussi profité pour développer ses projets et sa vision pour la ville de Lyon. Porté par une envie de proposer une voie alternative au duel Aulas-Doucet annoncé, Georges Képénékian est déterminé à peser dans le débat pour la mairie de Lyon. Ecoutez le podcastGeorges Képénékian a été le premier à annoncer sa candidature pour la mairie de Lyon, en janvier 2025. Durant cette période d’un an, il a eu le temps d’œuvrer pour son projet. Malgré les propositions récentes reçues par les camps Aulas et Doucet, il a souhaité faire cavalier seul afin d’aller au bout de ses idées. Il nous a expliqué tout le travail entrepris et ce pourquoi il se présentait : « Le cheminement, il est simple, c’est parti d’un constat. J’ai passé bientôt six ans dans l’opposition, quelque chose ne marche pas dans la pratique. […] Ca part du constat que les choses se dégradent et que l’exécutif qui pratique la verticalité pose finalement des problèmes dans le rapport à la ville. »Le candidat "Lyon Quelle Energie !"pourra profiter de son expérience en tant que maire de Lyon durant près de 16 mois, du temps où Gérard Collomb était ministre de l’Intérieur. Une expérience qui sera la bienvenue face à la ferveur publique qui semble porter Jean-Michel Aulas dans les sondages à 47% au premier tour, contre 7% pour Georges Képénékian. Ce dernier reste cependant ancré à son idée de proposer une autre utilisation de la démocratie à Lyon : « L’autre méthode (c’est), plus aucun problème, vu la complexité des problèmes ne peut être réglé par une seule personne, un seul parti, ce n’est plus possible. Vous avez besoin de converger. Lyon est une ville de confluence, une ville où on a toujours cherché à parler avec tout le monde. Y compris les extrêmes, pour essayer d’élaborer quelque chose qui serait sinon la solution idéale, qui n’existe pas. Elle n’existe que dans les discours politique de l’ancien monde. » Le candidat a été rejoint par Alexandre Chevalier (Place Publique), adjoint à la mairie de Lyon et conseiller à la mairie du 4ème arrondissement. Une annonce faite à la surprise générale. L’intéressé a souhaité expliquer ce choix controversé. Un choix régi par le jeu des alliances, auquel ne devrait pas participer sa désormais tête de liste.« J’avais besoin de clarté, notamment sur les orientations à l’entre-deux tours. D’un côté effectivement Grégory Doucet n’est toujours pas très clair sur une alliance au deuxième tour avec la LFI (La France Insoumise). Et par contre Georges l’est, très clair... C’est-à-dire que lui va refuser toute alliance avec LFI. Je n’avais pas envie de devoir faire toute une campagne et de devoir me retirer après à l’entre-deux tours. »Parmi les projets de Georges Képénékian, le logement, les sécurités alimentaires et du travail, les polices de proximité et les caméras de surveillance ou encore l’énergie et son utilisation plus vertueuse. Des idées qui seront présentées avec plus de clarté le 15 janvier à l’occasion d’un meeting, lors de la présentation de la liste des personnes engagées aux côtés de Georges Képénékian.

ECOUTEZ LE 1/4H LYONNAIS Toute l'actualité de ce mardi 16 décembre 2025Explosion dans un immeuble à Trévoux: deux enfants décédés, une trentaine de victimes, blessées ou choquées. Le ministre de l'Intérieur sur place...Les syndicats agricoles appellent à de nouvelles mobilisations cette semaine, à la veille des fêtes de fin d’année. Vendredi, la Confédération paysanne appelle à une « grande marche funèbre » au départ de la place Jean Macé à Lyon Les Assisatants d'Education dénoncent leurs conditions de travail, de contrat, de salaire. Ce mardi, ils et elles manifesteront devant le rectorat de Lyon, pour manifester, à l’appel de la CGT Educ’Action. Le budget de la Métropole de Lyon au menu de l’assemblée plénière ce lundi (la dernière avant les élections de mars 2026). Budget largement contesté par le groupe d’opposition "Grand cœur lyonnais"Georges Képénékian, candidat annoncé depuis 1 an à la mairie de Lyon, a officiellement lancé sa campagne. En appuyant sur la méthode...Un reportage de Louis DemeursNos invités : Georges Képénékian et Alexandre Chevalier qui a rejoint la liste "Quelle Energie !" et exclu de Place PubliqueLutte Ouvrière présentera une liste aux élections municipales 2026 à Lyon. Mais pas dans tous les arrondissements. La liste lyonnaise sera conduite par Delphine Briday, infirmière à LyonMartin Sotton est de retour. Il sera tête de liste aux prochaines élections municipales à Thizy les Bourgs. Après sa condamnation en 2023...La Région Auvergne-Rhône-Alpes lance une concertation publique jusqu’au 14 janvier sur le tramway Crémieu-Lyon par Meyzieu. Un atelier interactif. ce soir à Pusignan

Cédric van Styvendael briguera à nouveau la mairie de Villeurbanne en 2026. Pour rappel Cédric van Styvendael avait été élu en 2020 au second tour face à Prosper Kabalo qui représentait, à l'époque La République En Marche. Pour cette campagne comme pour la première, Cédric van Styvendael a rassemblé la gauche. « Engagés pour Villeurbanne », c'est le nom de sa liste. Ecoutez le podcastC’est officiel depuis peu, Cédric van Styvendael veut rempiler. Le socialiste sera bien candidat à l’élection municipale de Villeurbanne. A l’occasion de l’inauguration de son local de campagne rue Paul Verlaine, le désormais candidat a pu nous recevoir et répondre à nos questions. Alors que son premier mandat touche à sa fin, il est l’heure du bilan pour le maire sortant : « Ça a été un mandat dans lequel on a dû rattraper vingt ans de retard en matière d’investissements. Notamment en matière de transports en commun, en matière aussi d’infrastructures. Cette ville, elle grandit, elle a besoin d’investir. Et donc je veux remercier toutes les Villeurbannaises et les Villeurbannais... On a mis le bazar dans la ville mais c’est pour la bonne cause. »Une volonté d’agir vite et de rattraper un supposé retard accumulé pendant 20 ans au niveau des infrastructures. Une volonté renforcée par les chiffres, 300 millions d’euros d’investissements pendant tout le mandat et notamment dans des secteurs clés comme l’éducation ou la transition écologique. Une volonté de continuer dans cette voie pour le maire sortant, mais aussi de développer de nouveaux projets.« Il y aura un axe extrêmement fort sur la propreté. Ce n’était pas facile d’engager cette question là sur le premier mandat parce qu’il y avait des chantiers de partout. Pour autant on a des chiffres de satisfaction […] ils étaient 50% en 2020 à être satisfaits de la propreté. Ils sont 65% aujourd’hui mais le niveau moyen de la métropole c’est 78%. Donc il reste encore 15 points à aller chercher en matière de satisfaction de propreté. ». Un ensemble de mesures et de projets importants visera à améliorer le quotidien des Villeurbannais et Villeurbannaises. La propreté de la ville notamment ayant été la cible de nombreuses critiques ces dernières années. Le projet de second mandat porte sur quatre grands axes. La sécurité, le pouvoir d’achat, la propreté donc, et les deux âges les plus importants de la vie. Les 1000 premiers jours de l'enfant et les seniors. Des projets mûrement réfléchis par Cedric van Styvendael au moment de songer à sa candidature. « Ce qui a fini de me convaincre sur le fait que je pouvais me représenter c’est qu’on a obtenu des résultats... Je ne dis pas que tout est parfait. J’ai toujours essayé de tenir une position très humble. Mais ce que je dis c’est qu’on a obtenu des résultats. Si je me présente, c’est pour obtenir d’autres résultats pour cette ville ». Pour la prochaine étape de la campagne de la gauche rassemblée, rendez-vous le 15 janvier pour un meeting où des annonces plus précises seront faites sur le programme de la liste « Engagés pour Villeurbanne ».