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Les Voix de la Photo

#65 Sylvie Hugues (Festival du Regard)

Saison 1, Ep. 65

Comme de nombreux interviewés à ce micro, Sylvie Hugues a plusieurs casquettes; elle est photographe, mais elle a aussi travaillé pendant 20 ans au magazine Réponses photo où elle a quitté le titre en tant que rédactrice en chef, elle est codirectrice artistique du festival du regard avec Mathilde Terraube, commissaire d’exposition, journaliste et elle a été élue en 2021 correspondante de la section photographie à l’Académie des Beaux Arts. Dans cet échange elle nous a dévoilé ses apprentissages pour comprendre l’évolution du milieu de la photographie : l’arrivée d’internet et la chute de la diffusion de la presse qui a provoqué l’écroulement des droits photo, le passage de l’analogique au numérique qui entraîne des soucis d’obsolescence technologique pour les logiciels et appareils photo, la plongée de la photographie dans le marché de l’art et la dictature des réseaux sociaux qui pousse à la reproduction d’un seul type d’images. Bonne écoute !


1’ - Qui est Sylvie Hugues ? Elle vient d’une famille ouvrière avec une vie entre l’Espagne et la France.

3’50 – Elle a commencé à faire des photos de chantier et des films d’entreprises en tant qu’intermittente du spectacle en cinéma.

5’10 – Elle a participé au magazine Réponses photo depuis le début en tant que rédactrice jusqu’en 2014 en tant que rédactrice en chef. Ils cherchaient des photographes qui savaient écrire. Les trois piliers du magazine : pratique, esthétique et technique.

12’50 – L’arrivée d’internet a provoqué une chute de diffusion de la presse qui a provoqué un écroulement des droits photo. Et en même temps que la presse était menacée, un nouvel espace s’est construit avec le marché de l’art et des photographes ont voulu intégrer cet espace.

17’ – Après son licenciement il y a eu un mouvement de solidarité dans le milieu de la photo et elle a commencé à faire des lectures de porte-folio, des formations, des collaborations avec des galeries et des suivis de projets d’artistes.

20’50 – Elle est désormais la directrice artistique du festival du regard avec Mathilde Terraube. En 2022, ce sera la 7ème édition. Un festival dans un lieu différent qui doit être remis en état tous les ans.

40’ – Une des évolutions dans le milieu de la photographie est que les photographes ont a la chance de pouvoir disposer d’une palette d’outils : photo numérique pour avoir des négatifs, tirer ses photos avec des procédés anciens et faire de l’argentique et le tirer soi-même.

50’05 – Ses conseils pour des photographes : la présentation du travail est très importante et elle insiste pour que les tirages soient présentés sous la forme de beau tirage. Il faut y aller et s’accrocher si on a la foi et qu’on est sincère. C’est difficile d’être photographe, car on se retrouve à travailler dossiers sur dossier et on doit aussi être actif sur les réseaux sociaux. Ils doivent avoir plein de talents.

55’45 – Je souhaite que les travaux des femmes et des hommes soient considérés de la même façon. On a un gros retard à rattraper car de nombreuses femmes ont été oubliées. Il y a des trous dans l’histoire de l’art.


Le LinkedIn de Sylvie Hugues : https://www.linkedin.com/in/sylvie-hugues-923b14162/

L'Instagram de Sylvie Hugues : https://www.instagram.com/sylviehugues/

Le site de Sylvie Hugues : http://www.sylviehugues.com/


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  • 100. [EXTRAIT] #100 Marine Lefort interviewée par Adrien Garcia (The Bold Way)

    07:17
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 100. #100 Marine Lefort interviewée par Adrien Garcia (The Bold Way)

    38:03
    Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 99. [EXTRAIT] #99 David Fourré (Lamaindonne)

    09:03
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’il a compris) d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !Le site de David Fourré, édition Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 99. #99 David Fourré (Lamaindonne)

    54:49
    David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !1’30 – Un amoureux des livres et en particulier des livres de littérature. Sa rencontre avec les éditions du Rouergue et Olivier Douzou.4’30 – Olivier Douzou lui apprend à considérer le livre comme un terrain de jeu. Pas des contraintes trop formelles. Tant qu’il y a du sens.7’ – La genèse de l’édition Lamaindonne.10’35 – Les étapes de création de ses livres.12’10 – Ce que j’aime ce sont les photos « sales ». Où l’on voit le regard. Il faut regarder au-delà de l’image.12’50 – Le rôle de l’éditeur est d’essayer de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’on a compris) de la série photo et de faire des choix de format/papier/mise en page/la place du texte…23’35 – « Un bon livre photo est un livre habité qui ne nous rend pas froids » On travaille avec des séries photos qui font un tout. On ne travaille pas sur une image iconique, mais sur un flux… comme dans un livre littéraire.26’40 – Très peu de gens achètent des livres photos. Mais bizarrement il y a de plus en plus de livre photos et d’éditeurs de qualité.27’40 – Les actions de l’association qui promeut le livre photo français : France Photo Book. (Travail auprès du ministère de la culture, diffusion du livre photo français à l’international….)34’15 – L’économie du livre photo : Faire des livres photo ce n’est pas rentable, car objet très cher à fabriquer (beau papier, photogravure, imprimeur cher, car cher à faire) et petit tirage, car peu d’acheteurs. Les recherches de financements sont essentielles et la plupart des régions aident les éditeurs.37’ – Un des tabous dans le livre photo : Parfois des photographes payent pour faire un livre avec un éditeur.37’50 – Une des solutions pour tirer en plus d’exemplaire : faire des livres en co-éditions avec des éditions qui ne sont pas basés en Europe.39’ – Ses projets d’éditions dans en 2024.48’48 – L’intérêt des livres photo c’est de travailler à deux : photographe et éditeur.50’ – Conseils pour des éditeurs : il ne faut pas se lancer tout de suite dans le livre photo en indépendant.Le site de Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 98. [EXTRAIT] #98 Brigitte Patient (Écoutez voir)

    05:33
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 98. #98 Brigitte Patient (Écoutez voir)

    47:09
    Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !2’08 – Son enfance dans le Berry, sa première carrière d’institutrice et sa rencontre avec la radio.6’52 – La genèse de son émission à France Inter Regardez voir de 2012 à 2019.18’35 – Les dessous de son podcast Écoutez voir produit par wave.audio.23’ – Ses projets actuels : les ateliers médias à l’école des Métiers de l’information et avec l’œil de l’esprit. Ses portraits sonores dans le cadre du travail de Mélanie Wenger à la prison de Fleury-Mérogis.29’30 – Son rôle de vice-présidente du pôle photographique « Stimultania » à Strasbourg et Givors.32’- Les évolutions : sujets de l’intelligence artificielle, le retour à des techniques anciennes et le travail de certaines personnes à montrer autant les femmes que les hommes photographes.33’ – Les évolutions dans le photojournalisme : « J’ai l’impression que la photo documentaire est en train de prendre le pas sur le photojournalisme. »44’ – Ses conseils pour s’adresser à un journaliste lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique.Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 97. #97 Valérie Fougeirol (Commissaire d'exposition)

    01:17:46
    Valérie Fougeirol a été directrice de Paris Photo et de la Galerie Magnum et dans cet entretien on est revenu sur ses apprentissages dans le milieu de la photographie mais aussi des anecdotes et certaines rencontres marquantes qu’elle a fait tout au long de sa carrière. Elle nous a aussi donné des pistes de réflexions sur la fin de la photographie avec le passage à l’image à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation. Nous avons aussi abordé comment aborder des commissaires ou des galeries si on veut montrer son travail. Bonne écoute !1:20 – Son enfance auprès d’un père distributeur de livres et ses études à l’école du Louvre.6:50 – Ses premières expériences à la Galerie Maeght et au Salon de l’édition d’art.18:30 – En 2001 elle rejoint les équipes de l’entreprise Reed exhibition (RX) à la Fiac pour monter un fichiers collectionneurs et leurs faire un parcours. Et en novembre 2001, RX rachète la foire Paris Photo et elle accepte d’être la directrice de cette jeune foire avec deux objectifs : développer le marché de la photographie et s’intéresser aux scènes étrangères.28:30 – Elle revient sur le processus de sélection depuis le comité la prospection des galeries au Printemps jusqu’à l’événement en revenant sur les choix décisifs de l’implantation des galeries sur le salon32:15 – Son travail de fond à Paris Photo : créer l’attention du public tout en étant proche des galeries pour en faire venir d’autres. Elle a quitté Paris Photo car elle ne souhaitait pas déménager la foire au Grand Palais pour ne pas perdre de sa qualité car le volume est très grand et qu’elle souhaitait passer la main après sept années.35:50 – Elle a proposé des développements à l’étranger : New York et Londres avec une édition Paris Photo à Londres en 2007.39:40 – En 2008, elle rejoint le collectif Magnum pour développer la galerie Magnum. Elle revient sur ses rencontres avec des photographes et son coup de foudre pour le travail de Robert Capa.54:30 – En 2012, elle rejoint le collectif Temple pendant un an et demi où elle participe à des éditions et des expositions et en novembre 2014, elle est la commissaire du mois de la photo.1:02:01 – Elle réalise des ateliers avec Eyes in progress en stratégie du développement du photographe auteur en milieu artistique pour aider les photographes à embarquer les outils à leurs dispositions. Mais aussi se poser des questions sur leurs identités, leurs cheminements, les aspects poétiques-politiques et le fond/la forme de leurs recherches.1:04:01 – Les trois grandes expositions américaines : Family of man – Mirrors et New Topographics.1:06:15 – « J’adore la matérialité de la photo mais on est à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation on va vers une fin de la photo. On est désormais dans l’image. Le livre fait de la résistance. »1:10:10 – « Un artiste prend des risques et il se questionne sur un chemin qui lui est propre. »1:11:10 – Ses conseils pour les photographes qui veulent rencontrer des commissaires ou des galeristes.1:14:15 – Exemple de l’expo Rubis Mécénat durant Photo Saint Germain avec deux photographes sud-africain qui ont parlé de leurs traumas.Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 96. #96 Guillaume Geneste (La chambre noire)

    28:23
    Le tireur Guillaume Geneste revient dans cet entretien sur ses expériences professionnelles avant de lancer son laboratoire La chambre noire en 1996, les évolutions dans son métier, mais aussi les relations construites dans le temps avec des photographes comme Bernard Plossu et Sabine Weiss. On a parlé de couleur de tirage et de l’importance de l’arrivée du scanner, mais aussi de ses autres projets d’écriture et des projets avec son association de tireurs. Bonne écoute !2’- L’origine de sa passion pour la photographie et sa formation4’ – Ses expériences professionnelles : avec Marc Bruhat au laboratoire Sillages, au laboratoire Contrejour et le lancement de son laboratoire en 19966’ – Les évolutions de son laboratoire et l’arrivée des deux autres salariés : Guillaume Fleureau et sa fille Chloé Geneste7’50 – Comment faire un bon tirage10’15 – Les relations construites dans le temps avec les photographes (par exemple Bernard Plossu)11’02 – « On parle de couleur en noir et blanc c’est plus jolie que le mot rendu et c’est plus large que le mot contraste ou le mot douceur qui peut être utilisé pour des raisons différentes en tirage »12’28 – Un bon tirage est un tirage qui plait au photographe et au tireur13’50 – Les deux évolutions dans son métier : la vente de tirage de collection et l’arrivée du scanner18’08 – Les évolutions dans l’édition20’20 – L’écologie dans son travail22’40 – Ses autres projets : l’écriture sur la photographie et son association de tireurs (la genèse du projet et les projets en cours)26 – Ses conseils pour les tireursSite de la chambre noire : http://www.la-chambre-noire.com/Pour suivre l'actualité du podcast et vous vous inscrire à sa newsletter : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 95. #95 Pascale Obolo (Afrikadaa, African Art Book Fair et Missread)

    01:03:36
    Dans l’entretien avec l’activiste Pascale Obolo on parle de son engagement d’écrire une histoire de l’art plus inclusive qui traverse tous ses projets professionnels : la revue d’art Afrikadaa et les deux foires African Art Book fair et Missread. On revient sur ses débuts dans le hip-hop dans les années 90 et son passage des mots aux images via des clips musicaux. Elle aborde l’évolution de la représentation des corps noirs dans la photographie et de l’importance « d’encourager les jeunes issus des minorités d’écrire leurs récits avec leurs points de vus, car l’histoire a été écrite à leurs places ». Bonne écoute !1’15 – « Je me définis avant tout comme une activiste »2’45 – Ses débuts dans le milieu hip-hop dans les années 9010’20 – Le passage des mots vers l’image en mouvement via le clip.16’30 – La genèse d’Afrikadaa et ses évolutions22’ – La création et les projets de l’African Art Book Fair 30 – La foire Missread : son rôle dans ce salon et les projets des dernières éditions.47- La représentation des corps noirs dans la photographie.50’50 – Son activation de l’exposition de la photographe Zanele Muholi à la MEP avec Marie Docher.56’40 – Ses conseils pour les photographes et les éditeursSite d'Afrikadaa : http://www.afrikadaa.com/Site d'African Art Book Fair : https://africanartbookfair.com/Site de Missread : https://missread.com/Site des Voix de la Photo : https://lesvoixdelaphoto.dorik.io/Pour suivre l'actualité du podcast vous pouvez vous inscrire à la newsletter ici : https://beacons.ai/lesvoixdelaphoto et retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto