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Les Voix de la Photo

#101 Thierry Bigaignon (Bigaignon)

Saison 1, Ep. 101

Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !


1’ – Son environnement familial, sa formation en science politique et histoire et son début de carrière professionnelle dans la communication en Angleterre et Paris.

7’ – Le début de sa galerie : « J’ai arrêté mon agence en communication car j’avais l’impression d’être le seul passionné dans la salle. J’ai décidé de créer ma galerie car dans une galerie, on parle entre passionnés. »

9’10 – Les débuts de la galerie à l’hôtel de Reitz et l’histoire de son exposition inaugurale avec Ralph Gibson.

21’30 – Son ambition : envie de se hisser au rang d’un leader. « Le propre des galeries est d’être des petites entreprises qui agissent comme des grandes. Il existe une dichotomie entre la taille des entreprises dans le marché de l’art et le marché mondial que l’on vise. »

28’- Pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain.

34’ – Une des particularités de sa galerie : une librairie curatée qui se renouvelle tous les trois mois.

44’ – Ses stratégies pour rester pertinent dans le marché de l’art : création d’une veste de galeriste et travail sur une identité olfactive diffusé dans la galerie/librairie et dans les foires.

50’30 – Les défis auxquels il fait face en tant que galeriste :

Mutation des collectionneurs : travail pour se rapprocher des collectionneurs millennials pour maintenir sa clientèle de collectionneurs.

Mutation technologique qui touche le métier de galeriste et l’art lui-même car on est dans une période de changement technologique importante et le galeriste est un passeur entre le monde de la création et les acheteurs.

Instabilité politique. Quand on veut promouvoir des artistes à l’étranger, on doit se poser la question, est-ce qu’on fait les bons choix ?

57’40 – S’il était artiste et qu’il souhaite montrer son travail à un galeriste, il essayerait de faire une liste des galeries qui correspondent à son travail, aller à toutes les expos, comprendre comment la galerie fonctionne et rencontrer les autres artistes de la galerie. Je ferai des expos collectives en centre d’art et je ferai des livres avant même d’être en galerie. Un galeriste ne va pas montrer d’artiste qui n’a jamais montré son travail.

1’00'00 – Ses conseils pour les jeunes ou futurs galeristes : C’est un métier très difficile économiquement et la passion ne suffit pas. Il faut avoir le cœur solide et le sens des responsabilités.


Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/


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  • 105. #105 Mélanie Scarciglia & Christophe Boutin (Three Star Books et Onestar Press)

    52:40
    Avec Mélanie Scarciglia et Christophe Boutin, nous avons parlé de livres d’artistes. Nous sommes revenus sur la genèse des deux maisons d’édition qu’ils ont fondées ensemble, Onestar Press et Three Star Books. En parcourant leurs projets, nous avons abordé les évolutions du milieu de l’édition, comme l’arrivée de la technologie print on demand au début des années 2000, qui leur a permis de faire de petites quantités de tirages, mais aussi les premières éditions des foires du livre d’art en 2005, telles que Printed Matter à New York, qui ont aussi accompagné le développement du marché du livre d’artiste. Dans cet entretien, nous avons parlé des multiples qu’ils ont faits : tirages, chaises, étagères, des PDF de leurs livres qui sont disponibles en libre accès et de leur processus de travail basé sur une conversation avec des artistes pouvant prendre jusqu’à 10 ans pour réaliser un ouvrage. Bonne écoute !2’30 – Mélanie Scarciglia : des études en histoire de l’art et cinéma.3’30 – Christophe Boutin : une première carrière dans la musique et en tant qu’artiste plasticien.6’ – Sa découverte du livre d’artiste : il a développé avec son ex-femme, la libraire Florence Loevy, une activité de self-éditeur.7’43 – Le premier livre d’artiste chez Onestar Press fut un livre de Christophe, puis il a travaillé avec ses amis artistes.10’ – Arrivée de la technologie d'impression à la demande qui permettait de tirer des ouvrages en petites quantités.13’ – Première diffusion de leurs livres à la foire du livre de Francfort en 2000, puis en 2005, première foire du livre d’artistes à NY, Printed Matter.15’30 – Les premiers acheteurs : un public de bibliophiles, puis les institutions principalement aux USA ont suivi et certaines personnes ont souhaité acheter tous les livres.Tous les PDF des livres sont accessibles gratuitement en ligne.19’45 – Les artistes publiés deviennent eux-mêmes des éditeurs en invitant un artiste.21’20 – Maison de livres d’artistes et de multiples : photos, collages, objets, chaises, étagères.23’15 – En 2007, création de Three Star Books : le livre n’est plus un geste, mais une vraie conversation pouvant aller de 1 à 10 ans de travail.26’40 – Leur processus de travail : on peut aller vers les artistes avec une idée technique à tester, ou la conversation peut venir des artistes eux-mêmes.32’30 – Exemple du livre d’artiste de Cyprien Gaillard au Sri Lanka.39’50 – Il s’agit de livres qui doivent être accompagnés et ils doivent expliquer comment ils sont faits pour les vendre.41’40 – Les défis pour les éditeurs de livres d’artistes : ils encouragent d’autres éditeurs à faire des livres d’artistes. Plus l’internet devient présent, plus ce type d’ouvrage devient important, car il existe un contact physique avec le regardeur et les objets.48’48 – Des conseils pour les éditeurs : il faut avoir un bon comptable et s’entourer des gens qu’on aime.Des conseils pour les artistes : si les artistes ne trouvent pas d’éditeurs qui veulent les éditer, il faut éditer soi-même. "Il est important de faire des choses qui vous ressemblent et ne pas se laisser faire par l’objet imprimé."Le site de Onestar press : https://www.onestarpress.com/Le site de Three Star Books : https://threestarbooks.com/Bénéficiez de 25% de remise sur tous les titres Onestar Press, pour des commandes supérieures à 100 euros avec le code promo : LESVOIX.Le code est valable du 26 Juin au 2 juillet.Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 104. [BEST OF] #104 Laure Bouvet (Well Done John)

    08:52
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.« Well Done John est une phrase qu’on peut dire à la fin d’un shoot pour dire « Bravo ! » Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. » Laure Bouvet est acheteuse d’art et elle accompagne des photographes dans leurs pratiques commerciales et artistiques avec sa structure Well Done John. Dans cet entretien, on a parlé de ses expériences d’acheteuse d’art chez les agences Fred & Farid et la Chose et en tant qu’indépendante, mais aussi l’évolution de son métier et de ses formations. Elle est revenue sur l’importance de développer une pratique artistique à côté de travail de commandes pour les photographes et de l’IA qui pousse les acheteuses d’art à se réinventer. Bonne écoute !Le site de Well Done John : https://welldonejohn.com/fr/Crédit photo : Ilan Deutsch @ilandeutsch. Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 104. #104 Laure Bouvet (Well Done John)

    53:16
    « Well Done John est une phrase qu’on peut dire à la fin d’un shoot pour dire « Bravo ! » Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. » Laure Bouvet est acheteuse d’art et elle accompagne des photographes dans leurs pratiques commerciales et artistiques avec sa structure Well Done John. Dans cet entretien, on a parlé de ses expériences d’acheteuse d’art chez les agences Fred & Farid et la Chose et en tant qu’indépendante, mais aussi l’évolution de son métier et de ses formations. Elle est revenue sur l’importance de développer une pratique artistique à côté de travail de commandes pour les photographes et de l’IA qui pousse les acheteuses d’art à se réinventer. Bonne écoute !1’ – Une enfance entre la musique et la littérature4’ – Sa rencontre avec les métiers de l’image en tant que TV producer puis acheteuse d’art chez l’agence de communication Fred et Farid.5’45 – Qu’est-ce que c’est le métier d’acheteur/acheteuse d’art ?9’40 – Son expérience chez Fred & Farid pendant 3 ans puis chez la Chose où elle était en charge de créer le département achat d’art et la maison de production des campagnes Print.13’22 – La genèse et les évolutions de son accompagnement pour les photographes : Well Done John.23’25 – « Well Done John est une phrase qu’on peut dire à la fin d’un shoot pour dire Bravo. Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. »24’40 – « Les photographes pensent qu’il faut montrer beaucoup d’images alors que les acheteurs d’arts viennent chercher quelque chose de précis. Ils sont obligés de passer par cette phase indispensable, mais en montrant trop d’images, ils risquent d’être dans la catégorie des photographes couteaux suisses. Il est important d’assumer une écriture quand on l’a trouvé. »31’20 – Les évolutions dans le milieu de l’achat d’art : réduction du délai de recherches de photographes et de shooting et certains briefs n’arrivent plus jusqu’au DA, car ils sont faits en agence grâce à l’IA. Réduction des budgets avec l’arrivée des banques d’images et le droit d’auteur a été mis à mal par internet et par le digital.35’ – L’IA pousse le métier d’achat d’art à se réinventer.37 – Que faire pour réussir quand on est photographe ?-       Développer son travail personnel, car le travail de commande nourrira aussi le travail artistique.-       Être déterminé et gérer son travail comme des entrepreneurs : capable d’oser démarcher, montrer son travail s’embarquer dans une série avec une écriture originale.41’ – Il est important de préserver au moins un jour pour la créativité, et pas juste pour créer, mais pour nourrir sa créativité avec d’autres arts.44’07 – Ses passions en dehors de la photographie : la musique, le cinéma, les classiques de la littérature, le yoga et ses trois enfants.46’ – Ses conseils pour les futurs acheteurs d’art : rester pédagogue malgré l’appauvrissement des images publicitaires, car les clients prennent moins de risque tout en demandant plus d’images dans des délais courts et faire son métier avec passion sans négliger le photographe au passage.Le site de Well Done John : https://welldonejohn.com/fr/Crédit photo : Ilan Deutsch @ilandeutsch. Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 103. [BEST OF] #103 François Hébel (Directeur Artistique)

    06:22
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.À travers la carrière du directeur artistique François Hébel, on parcourt l’histoire du paysage photographique français de ces quarante dernières années. François Hébel revient sur l’ensemble de sa carrière dans différentes institutions emblématiques de la photographie : directeur des rencontres de la photographie à Arles en 1986-1987 et entre 2001 et 2014, premier directeur de Magnum Photos de 1987 à 2000, mais aussi vice-président de l’agence Corbis en 2000, directeur de la fondation HCB et cofondateur de la Biennale Foto/Industria à Bologne. On a parlé d’innovation dans le milieu culturel et de comment s’entourer de la meilleure équipe pour aller au bout de nos projets. Bonne écoute !Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 103. #103 François Hébel (Directeur Artistique)

    01:00:57
    À travers la carrière du directeur artistique François Hébel, on parcourt l’histoire du paysage photographique français de ces quarante dernières années. François Hébel revient sur l’ensemble de sa carrière dans différentes institutions emblématiques de la photographie : directeur des rencontres de la photographie à Arles en 1986-1987 et entre 2001 et 2014, premier directeur de Magnum Photos de 1987 à 2000, mais aussi vice-président de l’agence Corbis en 2000, directeur de la fondation HCB et cofondateur de la Biennale Foto/Industria à Bologne. On a parlé d’innovation dans le milieu culturel et de comment s’entourer de la meilleure équipe pour aller au bout de nos projets. Bonne écoute ! 2’36 – Né dans une famille de journalistes et de comédiens. Des études en communication après un passage à la fac de médecine.4’26 – « La direction artistique c’est un métier où on passe sa vie à dire « Non » à des projets artistiques. Et quand je disais « Oui », on me disait souvent que je n’aurais pas les moyens d’aller au bout de son projet, mais je répondais au photographe que ce n’était pas leur affaire.5’18 – Son passage aux galeries photo de la Fnac dans les années 80.7’- Son premier passage aux Rencontres d’Arles dans les années 80 et ses recherches pour avoir de nouveaux lieux d’expositions.11’20 – Son rôle en tant que premier directeur de Magnum Photos alors que l’agence était en faillite potentielle. Les projets qu’il a mis en place : relancer l’actualité, numériser les fonds de Magnum, diversifier avec des projets corporates, des bourses et des éditions.18’50 – Son passage chez Corbis en tant que vice président pour fusionner toutes les rédactions en Europe et son retour aux Rencontres d’Arles de la Photographie en 2001 jusqu’en 2014.25’30 – Sa philosophie d’ajouter des projets tous les ans (prolonger la durée des rencontres jusqu’en septembre pour avoir les scolaires et mettre en place des lectures de portfolios officiellement) hérités de l’innovation qu’il avait vue à la Fnac.33’ – Ses conseils pour aller au bout des projets en ayant la meilleure équipe : Prendre des gens balaises pour les postes clefs, s’entourer de gens qui veulent piquer notre place et déléguer.35’30 – La raison qui l’a poussé à démissionner de son poste de directeur des Rencontres d’Arles et son poste à la Fondation HCB et à la Biennale de Bologne.50’ - Les évolutions dans la photo :-       Tous les 10 ans, il y a une transformation technique.-       Les lieux de débats et d’expos se sont multipliés.-       Le boom de l’édition : avant un photographe avait 3 livres dans sa carrière en 2000 exemplaire, et maintenant on peut faire son propre livre.-       Avant le tirage était la fin en soi alors que maintenant il y a plus de formats.-       Intérêt pour la photographie vernaculaire. 56’57 – « L’artiste ce n’est pas un marginal, il est au centre de la société. C’est une éponge de son temps et les opérateurs culturels doivent être perméables aux nouvelles possibilités des artistes ».57’57 – « La plupart des artistes pensent qu’ils sont les seuls à être en dehors du circuit auquel ils devraient appartenir. Ils sont parfois timides et les entreprenants ne sont pas les meilleurs. Il faut oser. On dira non souvent, car cela ne correspond pas à ce que la personne cherche à ce moment-là, mais il faut continuer. »Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 102. [BEST OF] #102 Benoit Pelletier (Process)

    05:20
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.« C’est l’écosystème qui me nourrit, ce n’est pas le magazine lui-même. » Avec l’éditeur Benoit Pelletier, je souhaitais qu’on aborde le sujet de l’écosystème qu’il a construit autour de son magazine Process. Dans cet entretien, on est revenu sur ses différents projets de directeur artistique, éditeur et photographe. Ses débuts dans le secteur de la musique classique auprès d’artistes, puis de salles de spectacles jusqu’à ses projets avec des institutions culturelles comme le Musée national de la Marine à Chaillot. Nous avons abordé la genèse de son magazine Process qui a débuté comme un hobby et a trouvé sa place au fil des numéros dans l’écosystème de la photographie. J’espère que cet épisode vous plaira et vous inspirera dans vos projets, bonne écoute !Le site de Benoit Pelletier : https://benoitpelletier.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 102. #102 Benoit Pelletier (Process)

    59:33
    « C’est l’écosystème qui me nourrit, ce n’est pas le magazine lui-même. » Avec l’éditeur Benoit Pelletier, je souhaitais qu’on aborde le sujet de l’écosystème qu’il a construit autour de son magazine Process. Dans cet entretien, on est revenu sur ses différents projets de directeur artistique, éditeur et photographe. Ses débuts dans le secteur de la musique classique auprès d’artistes, puis de salles de spectacles jusqu’à ses projets avec des institutions culturelles comme le Musée national de la Marine à Chaillot. Nous avons abordé la genèse de son magazine Process qui a débuté comme un hobby et a trouvé sa place au fil des numéros dans l’écosystème de la photographie. J’espère que cet épisode vous plaira et vous inspirera dans vos projets, bonne écoute !2’10 – Son environnement familial, ses études de droit et sa première société dans le secteur de la musique classique.6’30 – Le moment fondateur où il a fait l’identité visuelle et la photo pour la scène nationale du Manège à Reims.10’08 – Le développement de sa première structure avec jusqu’à 40 clients en même temps.12’ – Le fonctionnement des appels d’offres.15’30 – La genèse du magazine Process comme expression naturelle de ce qu’il a toujours fait : lier le fond et la forme.20’15 – La séparation avec son associé et l'évolution de ses projets en tant que Directeur Artistique.27’35 – "Le magazine a un effet vitrine qui peut donner l'envie à des personnes de nous consulter pour des projets d'éditions ou de direction artistique."28’25 – Ses projets de DA et de création de contenu pour des institutions culturels avec par exemple le Musée national de la Marine, à Chaillot.30’ – L’exemple de sa collaboration avec Taittinger avec la production de contenu en ligne.36’26 – Son écosystème : édition / DA et photographie.45’48 – Les évolutions dans l’édition photo : "Le public est de plus en plus averti et attend d’avoir un bel objet, car il n’y a pas que les images qui comptent." "La perception du prix du livre est toujours inférieure à ce qu'il coûte vraiment."55’40 – Ses conseils pour faire un magazine : "Il ne s’agit pas d’avoir une bonne idée, mais de l’insérer dans un contexte. Il faut trouver une place qui est la nôtre et se demander ce qu’on apporte."Le site de Benoit Pelletier : https://benoitpelletier.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 101. [BEST OF] #101 Thierry Bigaignon (Bigaignon)

    09:18
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto