Les Déviations
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#2 Charlotte, une vie d’entrepreneur en fauteuil roulant
[EPISODE 2]
Charlotte a 4 ans quand les médecins lui diagnostiquent une leucémie. C’est un choc pour sa famille, très proche d’elle. Elle s’accroche malgré tout, mais une mauvaise réaction à la chimiothérapie la paralyse complètement. Elle parvient à battre la maladie mais ne récupère pas la sensibilité nécessaire aux jambes pour pouvoir rester debout. Elle sort donc de l’hôpital à 6 ans, guérie mais handicapée, en fauteuil roulant.
C’est alors le démarrage d’une vie un peu particulière, en fauteuil. Grâce à une famille aimante, Charlotte traverse son enfance sans difficultés. Elle étudie dans un établissement médicalisé, qui accueille un mix d’enfants handicapés et d’enfants valides.
A l’adolescence, les premières frustrations dues au fauteuil commencent à émerger. A 18 ans pile, elle passe le permis ce qui lui permet de gagner en indépendance et de sortir avec ses amis.
Après une première année de médecine, elle s’oriente finalement vers une École de commerce et décroche ensuite un poste de RH dans une filiale de l’aéronautique.
Un poste très confortable dans une entreprise agréable.
Mais un jour, 4 garçons viennent la solliciter pour prendre part à leur projet d’innovation. Il s’agit d’améliorer la vie des personnes à mobilité réduite en créant un système de trottinette électrique.
Charlotte accepte et les aide à réaliser leur projet. Elle prend rapidement la décision de démissionner de son poste pour se lancer avec eux dans l’entreprenariat. Ils créent ensemble Omni, qui a pour but de développer le projet de trottinette.
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2. #2 Nadège, d’une vie d’expat à une vie de village
25:54[ Episode 2 ]Quand on lui demande d’où elle vient, Nadège Gomila est incapable de donner une réponse simple et rapide. Son père, au gré de ses opportunités professionnelles, a en effet fait voyager sa petite famille.Née en France, Nadège déménage à 3 ans en Espagne, puis au Maroc à 11 ans, en Argentine à 14 ans, puis au Portugal à 18 ans, revient en France pour commencer Sciences Po, passe 1 an au Mexique dans le cadre de ses études, débute sa première expérience professionnelle en Australie, revient en France pour repartir en Espagne.Chez Nadège, le changement, c’est un mode de vie. Son corps et son esprit se sont adaptés à ces cycles de 3 ans devenus réguliers.Très vite, Nadège se passionne pour les parfums. Sans se poser de questions, elle débute sa carrière professionnelle dans une grande maison de luxe en parfumerie, et déménage en Australie. À ce moment précis, Nadège estime avoir « le meilleur job de la terre ».Elle y restera 3 ans avant de revenir en Europe, en France d’abord, puis en Espagne. Elle débute alors une nouvelle mission dans une autre maison de parfums mais commence rapidement à réfléchir à la suite. Le poste est sympa, la rémunération est intéressante mais le sens n’y est pas. Après un bilan de compétences, Nadège démissionne, et décide de stopper l’expatriation. Elle pose ses valises en Dordogne, pour se lancer dans l’entrepreneuriat. Son idée : créer un programme d’accompagnement collectif à la reconversion professionnelle et qui permette de prendre un vrai temps de pause pour réfléchir à soi et à la suite, mêlant le digital et une semaine en immersion dans un château.Depuis, Nadège a lancé le programme Bloomencia et ne regrette pas une seconde son choix.Si le programme de Nadège vous tente, n’hésitez pas à lui adresser un petit message !1. #1 Nadège, d’une vie d’expat à une vie de village
26:42[ Episode 1 ]Quand on lui demande d’où elle vient, Nadège Gomila est incapable de donner une réponse simple et rapide. Son père, au gré de ses opportunités professionnelles, a en effet fait voyager sa petite famille.Née en France, Nadège déménage à 3 ans en Espagne, puis au Maroc à 11 ans, en Argentine à 14 ans, puis au Portugal à 18 ans, revient en France pour commencer Sciences Po, passe 1 an au Mexique dans le cadre de ses études, débute sa première expérience professionnelle en Australie, revient en France pour repartir en Espagne.Chez Nadège, le changement, c’est un mode de vie. Son corps et son esprit se sont adaptés à ces cycles de 3 ans devenus réguliers.Très vite, Nadège se passionne pour les parfums. Sans se poser de questions, elle débute sa carrière professionnelle dans une grande maison de luxe en parfumerie, et déménage en Australie. À ce moment précis, Nadège estime avoir « le meilleur job de la terre ».Elle y restera 3 ans avant de revenir en Europe, en France d’abord, puis en Espagne. Elle débute alors une nouvelle mission dans une autre maison de parfums mais commence rapidement à réfléchir à la suite. Le poste est sympa, la rémunération est intéressante mais le sens n’y est pas. Après un bilan de compétences, Nadège démissionne, et décide de stopper l’expatriation. Elle pose ses valises en Dordogne, pour se lancer dans l’entrepreneuriat. Son idée : créer un programme d’accompagnement collectif à la reconversion professionnelle et qui permette de prendre un vrai temps de pause pour réfléchir à soi et à la suite, mêlant le digital et une semaine en immersion dans un château.Depuis, Nadège a lancé le programme Bloomencia et ne regrette pas une seconde son choix.Si le programme de Nadège vous tente, n’hésitez pas à lui adresser un petit message !2. #2 Mahi Traoré, mieux comprendre pour mieux transmettre
32:26[ Episode 2 ]Mahi Traoré, mieux comprendre pour mieux transmettrePour fêter la mise en kiosque et en librairie de notre magazine, nous sommes heureux de vous présenter le parcours de Mahi Traoré.Née à Bamako, elle arrive sur le sol français à 7 ans, suite au divorce de sa mère.Elle passe alors d’une enfance aisée au Mali à un appartement de 50m carrés en banlieue parisienne, avec sa mère et ses quatre frères et sœurs. Le déracinement est brutal.Cependant, Mahi découvre la bienveillance de l’école française. Très vite, elle s’accroche à l’enseignement. L’école devient alors son refuge, et la bibliothèque, sa maison.Après un aller-retour au Mali, en pleine période de troubles, Mahi revient en France pour poursuivre ses études et franchir les portes de la Sorbonne. Désirant s’installer définitivement à Paris, elle veut comprendre et s’imprégner de l’histoire de France. Ses choix d’enseignements seront alors guidés par l’envie d’assimiler la culture française.Assez naturellement, ses études littéraires l’amènent à s’orienter professionnellement vers le monde de l’enseignement. Elle obtient le concours de Conseillère Principale d’Education puis celui de Proviseure.Aujourd’hui, Mahi est à la tête du Lycée polyvalent Lucas de Nehou, des métiers des arts du verre et des structures verrières, à Paris, un lycée professionnel qui s’attache à développer les compétences manuelles des élèves : « ces jeunes qui ont en eux des pépites, des compétences qui demandent juste à être polissées».Pour fêter la mise en kiosque et en librairie de notre magazine, nous sommes heureux de vous présenter le parcours de Mahi TRAORE.Née à Bamako, elle arrive sur le sol français à 7 ans, suite au divorce de sa mère.Elle passe alors d’une enfance aisée au Mali à un appartement de 50m carrés en banlieue parisienne, avec sa mère et ses quatre frères et sœurs. Le déracinement est brutal.Cependant, Mahi découvre la bienveillance de l’école française. Très vite, elle s’accroche à l’enseignement. L’école devient alors son refuge, et la bibliothèque, sa maison.Après un aller-retour au Mali, en pleine période de troubles, Mahi revient en France pour poursuivre ses études et franchir les portes de la Sorbonne. Désirant s’installer définitivement à Paris, elle veut comprendre et s’imprégner de l’histoire de France. Ses choix d’enseignements seront alors guidés par l’envie d’assimiler la culture française.Assez naturellement, ses études littéraires l’amènent à s’orienter professionnellement vers le monde de l’enseignement. Elle obtient le concours de Conseillère Principale d’Education puis celui de Proviseure.Aujourd’hui, Mahi est à la tête du Lycée polyvalent Lucas de Nehou, des métiers des arts du verre et des structures verrières, à Paris, un lycée professionnel qui s’attache à développer les compétences manuelles des élèves : « ces jeunes qui ont en eux des pépites, des compétences qui demandent juste à être polissées».1. #1 Mahi Traoré, mieux comprendre pour mieux transmettre
34:16[ Episode 1 ]Mahi Traoré, mieux comprendre pour mieux transmettrePour fêter la mise en kiosque et en librairie de notre magazine, nous sommes heureux de vous présenter le parcours de Mahi TRAORE.Née à Bamako, elle arrive sur le sol français à 7 ans, suite au divorce de sa mère. Elle passe alors d’une enfance aisée au Mali à un appartement de 50m carrés en banlieue parisienne, avec sa mère et ses quatre frères et sœurs. Le déracinement est brutal. Cependant, Mahi découvre la bienveillance de l’école française. Très vite, elle s’accroche à l’enseignement. L’école devient alors son refuge, et la bibliothèque, sa maison. Après un aller-retour au Mali, en pleine période de troubles, Mahi revient en France pour poursuivre ses études et franchir les portes de la Sorbonne. Désirant s’installer définitivement à Paris, elle veut comprendre et s’imprégner de l’histoire de France. Ses choix d’enseignements seront alors guidés par l’envie d’assimiler la culture française. Assez naturellement, ses études littéraires l’amènent à s’orienter professionnellement vers le monde de l’enseignement. Elle obtient le concours de Conseillère Principale d’Education puis celui de Proviseure. Aujourd’hui, Mahi est à la tête du Lycée polyvalent Lucas de Nehou, des métiers des arts du verre et des structures verrières, à Paris, un lycée professionnel qui s’attache à développer les compétences manuelles des élèves : « ces jeunes qui ont en eux des pépites, des compétences qui demandent juste à être polissées».Pour fêter la mise en kiosque et en librairie de notre magazine, nous sommes heureux de vous présenter le parcours de Mahi TRAORE.Née à Bamako, elle arrive sur le sol français à 7 ans, suite au divorce de sa mère. Elle passe alors d’une enfance aisée au Mali à un appartement de 50m carrés en banlieue parisienne, avec sa mère et ses quatre frères et sœurs. Le déracinement est brutal. Cependant, Mahi découvre la bienveillance de l’école française. Très vite, elle s’accroche à l’enseignement. L’école devient alors son refuge, et la bibliothèque, sa maison. Après un aller-retour au Mali, en pleine période de troubles, Mahi revient en France pour poursuivre ses études et franchir les portes de la Sorbonne. Désirant s’installer définitivement à Paris, elle veut comprendre et s’imprégner de l’histoire de France. Ses choix d’enseignements seront alors guidés par l’envie d’assimiler la culture française. Assez naturellement, ses études littéraires l’amènent à s’orienter professionnellement vers le monde de l’enseignement. Elle obtient le concours de Conseillère Principale d’Education puis celui de Proviseure. Aujourd’hui, Mahi est à la tête du Lycée polyvalent Lucas de Nehou, des métiers des arts du verre et des structures verrières, à Paris, un lycée professionnel qui s’attache à développer les compétences manuelles des élèves : « ces jeunes qui ont en eux des pépites, des compétences qui demandent juste à être polissées».Corinne Descours : abandonner le culte de la perfection
30:34Corinne fait partie de ces femmes qui impressionne et dont on se souvient. Femme de caractère, passionnée par la chose publique et la politique, Corinne se lance dans une carrière de communicante pour « murmurer dans l'oreille des dirigeants ». Corinne est aussi une femme et une mère : divorcée puis remariée, mère de 4 enfants, Corinne s'est arrêtée de travailler 6 ans pour prendre soin d'eux, notamment de son 2ème enfant handicapé, qui demandait une attention et des soins particuliers. Mais Corinne n'est pas du genre à supporter l'inactivité longtemps, elle brûle d'envie de retourner à son poste de Directrice de Communication.Elle aura de nouvelles expériences encore passionnantes mais finira par tomber sur une entreprise « compliquée » où le Président lui annonce d'emblée qu'il est normal de faire un burn-out avec lui (!).Corinne, qui avait toujours tout mené de front, vacille, elle perd pied, et glisse progressivement vers le burn-out, inéluctable, qui la met à terre. S'ensuit un long travail de réparation, de prise de conscience de ce qui est bon, ou mauvais pour elle. Ce travail d'introspection se fait notamment grâce à l'aide du parcours Chance, partenaire des Déviations et de cette vidéo.Corinne nous raconte aujourd'hui, avec toute l'énergie et la fougue qui la caractérise, son nouveau projet de rachat et de rénovation de maisons de Provence que vous pouvez découvrir sur @votremaisoncosy2. #2 Marie da Prato, il suffit d'une rencontre pour changer sa vie
28:08[EPISODE 2]La vie fait parfois bien les choses et il aura suffi d’une rencontre pour que Marie prenne son destin en main. Un soir de Juin, alors qu’elle est en plein deuil de son père, Marie décide d’assister à un festival de cinéma où sont invités de grands acteurs français. Après la séance de cinéma, Marie sort et prolonge la soirée en allant marcher dans son quartier préféré de Paris : l’Odéon-St Germain. En marchant, elle aperçoit sur le trottoir d'en face un des acteurs présents auparavant dans la salle. Marie décide d’aller lui parler pour le féliciter du film qu’elle avait adoré. A sa grande surprise, il lui répond et continue même volontiers l’échange. Ils marchent ensemble jusqu’à ce que ce grand acteur demande à Marie une question pourtant anodine : « Que faites-vous dans la vie ? ». Marie, prise de panique, lui répond spontanément : « Je travaille dans le Digital mais mon rêve, c’est de travailler dans le vin ». Il se trouve que cet acteur est un passionné de vin et qu’un de ses meilleurs amis est vice-sommelier du monde. Les petites étoiles s’étaient rassemblées au-dessus de Marie ce soir-là… Après cette rencontre, Marie décide de tout quitter pour travailler dans le vin. Elle se fait aider par Transitions Pro Île-de-France afin d’entamer une formation dans le vin et les spiritueux. Son diplôme en poche, elle trouve un local et est aujourd’hui caviste dans le 13ème arrondissement de Paris.1. #1 Marie da Prato, il suffit d'une rencontre pour changer sa vie
27:12[EPISODE 1]La vie fait parfois bien les choses et il aura suffi d’une rencontre pour que Marie prenne son destin en main. Un soir de Juin, alors qu’elle est en plein deuil de son père, Marie décide d’assister à un festival de cinéma où sont invités de grands acteurs français. Après la séance de cinéma, Marie sort et prolonge la soirée en allant marcher dans son quartier préféré de Paris : l’Odéon-St Germain. En marchant, elle aperçoit sur le trottoir d'en face un des acteurs présents auparavant dans la salle. Marie décide d’aller lui parler pour le féliciter du film qu’elle avait adoré. A sa grande surprise, il lui répond et continue même volontiers l’échange. Ils marchent ensemble jusqu’à ce que ce grand acteur demande à Marie une question pourtant anodine : « Que faites-vous dans la vie ? ». Marie, prise de panique, lui répond spontanément : « Je travaille dans le Digital mais mon rêve, c’est de travailler dans le vin ». Il se trouve que cet acteur est un passionné de vin et qu’un de ses meilleurs amis est vice-sommelier du monde. Les petites étoiles s’étaient rassemblées au-dessus de Marie ce soir-là… Après cette rencontre, Marie décide de tout quitter pour travailler dans le vin. Elle se fait aider par Transitions Pro Île-de-France afin d’entamer une formation dans le vin et les spiritueux. Son diplôme en poche, elle trouve un local et est aujourd’hui caviste dans le 13ème arrondissement de Paris.Charlène Geffroy, pourquoi devient-on nomade ?
35:36Est-ce parce qu'on est particulièrement sensible à l'ambiance et à l'énergie des lieux ? Est-ce parce qu'on ne veut plus se laisser enfermer dans une vie dont on n'a pas envie ?Le parcours de Charlene Geffroy y est une bonne illustration du processus qui mène quelques-uns d'entre nous à parcourir le monde tout en travaillant. Fille unique, Charlène grandit dans un petit village normand. Elle s'y ennuie beaucoup et rêve de fête, de paillettes et de l'hyperactivité des grandes villes. Elle fait ses études sans conviction jusqu'à entendre parler de la vie londonienne et de son ambiance électrique. Elle décide rapidement de traverser la Manche pour en faire l'expérience. Elle débarque non loin de Piccadilly Circus. Sa foule grouillante et ses écrans lumineux l'accueillent. L'énergie de la ville l'emplit instantanément. Commence alors l'une des périodes les plus épanouissantes de sa vie.N'ayant pas d'argent, elle commence au bas de l'échelle. Elle sera serveuse dans un café londonien, avant de gravir les échelons jusqu'à décrocher le poste de ses rêves. Pendant ses 10 ans à Londres, sa vie sera une fête. Elle y découvre une mentalité, un esprit de liberté qu'elle n'avait pas côtoyé jusque-là. Là-bas, personne ne subit son sort professionnel. Si un job vous ennuie, vous le quittez. Aussi simplement que ça.Des raisons personnelles l'obligent à rentrer en France. Elle y retrouve le rythme plus lent et l'ambiance convenue d'une capitale où tous les gens qu'elle fréquente se ressemblent. Elle s'ennuie à nouveau.Son emploi, pourtant prestigieux et bien payé, l'intéresse peu. Elle ne voit pas l'utilité de ce qu'elle fait. Elle tente alors de trouver une respiration par une vie sociale intense après 19 heures. Mais cela ne lui suffit pas. Consciente qu'elle se laisse enfermer dans une vie qui ne lui plaît pas, elle se souvient de ce qui l'avait marquée à Londres.Au fond d'elle, elle est convaincue que sa baisse d'énergie est due à son inadéquation avec Paris et son rythme.La crise sanitaire est, pour elle, un déclencheur. Elle pose un congé sabbatique, lance son activité professionnelle et entame sa vie de nomade. Ce sentiment de liberté lui plaît. Au gré de ses envies, Charlène voyage de régions en régions en alliant travail et découverte.Aujourd'hui, Charlène aide les gens à reprendre le contrôle de leur vie personnelle et professionnelle. Elle s'inspire, pour cela, de l'esprit de liberté qu'elle cultive depuis son séjour anglais. Pour elle, ne plus subir est une décision, un état d'esprit qu'elle transmet à ses clients. Si son aventure ou ses conseils vous tentent, posez-lui des questions. Elle vous répondra. Il vous suffit d'écrire à Charlene Geffroy.Sara, une reconversion en professeure de mathématiques réussie
45:22Il y a des reconversions qui sentent bon l'engagement sociétal. C'est pour cela que Les Déviations ont décidé de soutenir Le choix de l'école. Vous pourrez découvrir, dans notre magazine à quel point cette association fait un travail incroyable (en savoir plus ici : bit.ly/3JQ4tBo).Au moment où de nombreuses voix s'élèvent pour dire que rien ne va plus dans notre système d'éducation, certains, certaines décident d'abandonner leur carrière précédente pour devenir prof. Sara, parce qu'elle voulait être plus utile pour les autres, fait partie de ces nouveaux hussards de la République. Elle a cessé d'être contrôleuse de gestion pour être prof de math dans une REP. Pas simple, mais cela la passionne.