L'autre miroir

Et maintenant ? C’est la fin de la saison 1 de L’autre miroir. Une saison qui m’a fait grandir, réfléchir, rire, pleurer parfois – et surtout, qui m’a permis de partager avec vous des récits sincères, imparfaits et parfois intenses.Dans cet épisode un peu particulier, je fais un petit bilan de cette première aventure, je vous partage les coulisses, ce que j’ai appris… et ce qui vous attend pour la saison 2 ! Nouveaux formats, nouveaux invités, nouvelles envies : L’autre miroir revient bientôt – et ça promet.Merci d’avoir été là.À très vite

Il s’appelait Royal.J’avais 14 ans, j’étais un peu perdue, mal dans mes baskets, et on a mis sur ma route ce jeune cheval un peu compliqué. Sensible, têtu, imprévisible… et profondément attachant. Au début, c’était dur. Il fallait qu'on apprenne à se comprendre et se faire confiance.Et puis, on a grandi ensemble, on a traversé des tempêtes. Grâce à ma coach Fanfan, grâce à lui, j’ai appris la patience, la loyauté, j'ai appris à le comprendre sans mots. Pendant 14 ans, Royal a été mon point fixe, mon ancrage. Je pouvais tout perdre, tout changer, mais il était là.Dans cet épisode, je vous raconte notre histoire. Une histoire de lien, de résilience, d’amour pur. Celle d’un cheval un peu fou, un peu bête, très drôle, et profondément unique. Celle de la rencontre qui a changé ma vie.

Un soir, entre copines, on a classé nos potes les plus "déconstruits". C’était drôle… jusqu’au moment où je me suis demandé : mais ça veut dire quoi, au juste, être un homme déconstruit ? Et surtout : faut-il vraiment déconstruire les hommes ?Dans cet épisode, je me penche sur ce terme qu’on entend partout, sans toujours le comprendre. Je parle de patriarcat, de masculinité, de pression sociale, d’éducation, mais aussi de vulnérabilité, d’émotions, et de ces contre-discours masculinistes qui gagnent du terrain.Parce que si le patriarcat nuit aux femmes, il abîme aussi les hommes. Et qu’entre la déconstruction, le rejet, et la peur de ne plus savoir "comment être un homme", il y a un vrai besoin de liberté.

Quand les violences à l’école ne sont ni visibles, ni prises au sérieux.Dans cet épisode, Sarah raconte le parcours qu’elle a dû mener pour faire entendre la souffrance de son fils, confronté à des violences morales et physiques dans son école.Entre silences institutionnels, minimisation, et doutes, elle partage comment elle a trouvé sa place de mère dans cette situation complexe — pour protéger, soutenir, et faire bouger les lignes.Un témoignage fort et nécessaire sur ce qu’on appelle “pas si grave”… mais qui blesse durablement.

Une émotion qui déborde, une remarque qui pique, une crise qui éclate… Et si derrière tout ça, il y avait simplement un besoin mal compris ? Dans cet épisode, je parle de la façon dont nos émotions nous parlent (même quand on ne veut rien entendre), et de ce que la CNV peut nous apprendre pour mieux les identifier — et les exprimer. Apprendre à écouter ses émotions, ce n’est pas juste “faire du développement personnel” : c’est se faire du bien, et en faire aux autres. Parce qu’un besoin exprimé clairement, c’est une crise évitée (et souvent une relation apaisée).

En 2009, mon père Pascal a subi une crise cardiaque extrêmement grave alors qu’il était en déplacement professionnel en Angleterre.Il a frôlé la mort, vécu une expérience de mort imminente, et passé plusieurs jours dans un état de coma, où il a perçu des sensations étranges, des images, des sons qui pourraient s’apparenter à des rêves mais qui s’avèrent être troublants de réalité.En août 2010, il a eu la chance de recevoir un nouveau cœur. Un don d’un inconnu, un geste de vie. Et c'est grâce à ce don de la vie et au travail acharné des soignants que mon papa peut (entre autres) voir grandir ses enfants et petits-enfants, oeuvrer pour des causes qui lui sont chères, et témoigner pour ce podcast.Dans cet épisode, on revient ensemble sur ce qu’il a traversé, sur ce que moi j’ai ressenti en tant que fille, et, vous l'aurez compris, sur l’importance capitale du don d’organes.⚠️ Trigger warning : cet épisode évoque des sujets sensibles (arrêt cardiaque, coma, sensations liées à l’inconscience, hospitalisation, mort imminente, don d’organes). Écoutez-le à votre rythme et si vous vous y sentez prêt(e).Informations complémentaires concernant le don d'organes:Chaque jour en France, près de 15 personnes sont sauvées grâce au don d’organe. Un donneur peut sauver jusqu’à 7 vies. En 2023, 5 634 greffes ont pu être réalisées en France au bénéfice des patients en attente.Au 1er janvier 2024, 21 866 patients étaient inscrits sur la liste nationale d’attente pour une greffe, tous organes confondus.Alors que 93 % des Français pensent qu’il est important que leurs proches connaissent leur position sur le don d’organes et de tissus, moins de 1 sur 2 en parle.Deux à trois personnes meurent chaque jour en France faute d’organes.Pour tout savoir sur le don d’organes, rendez-vous sur le site https://www.dondorganes.fr/Lien vers le site de la Fédération des Associations pour le Don d'Organes et de Tissus humains (ADOT): https://www.france-adot.org/tout-savoir-sur-le-don/don-organe/

Créer un podcast, c’est excitant. Mais c’est aussi angoissant, parfois décourageant, souvent bancal. Dans cet épisode, je vous parle d’un moment de creux. De cette impression de ne rien maîtriser, de douter de tout, de chercher l'inspiration et de ne pas la trouver. Mais aussi de ce que ça m’apprend, en fait, de passer par là.Un épisode sincère, un peu flou (comme moi en ce moment), mais peut-être aussi nécessaire.

Aujourd’hui, je vous parle de cette drôle de tranche de vie où on se sent parfois “trop jeune pour être vieille, trop vieille pour être jeune”. Un épisode où je navigue entre nostalgie, changements d’amitiés, nouvelles envies et fausses pressions. C’est pas toujours clair, parfois un peu déroutant, mais c’est aussi une période où l’on commence à mieux se connaître et à choisir ce qui nous fait vraiment du bien. Un épisode plus intime, à la croisée des bilans de vie et des soirées qu’on décline sans culpabiliser (ou presque). Bonne écoute !

Travailler pour des événements de luxe, porter de jolies tenues, accueillir des invités prestigieux... Sur le papier, ça fait rêver. Mais derrière les paillettes, il y a aussi la précarité, les exigences absurdes, et des scènes parfois franchement lunaires. Dans cet épisode, je vous emmène dans les coulisses (pas toujours très glamour) de mon expérience en tant qu’hôtesse d’accueil. Entre avantages, galères et anecdotes à peine croyables, préparez-vous à découvrir l’envers du décor.