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Choses à Savoir TECH

World of Warcraft arrive sur Waze ?

Une collaboration inattendue vient d’émerger : Waze, l'application de navigation bien connue, fait équipe avec l’univers du jeu vidéo *World of Warcraft*. Après avoir proposé des voix d’acteurs et des accents régionaux, Waze plonge désormais ses utilisateurs dans le monde fantastique du célèbre jeu de Blizzard, apportant une touche de magie à vos trajets, même dans les embouteillages.


Imaginez-vous bloqué dans le trafic, lorsque retentit la voix puissante de Thrall, le légendaire orc du *World of Warcraft*. Incarné par Chris Metzen, designer chez Blizzard, Thrall, personnage iconique depuis son apparition dans *Warcraft III: Reign of Chaos* en 2002, vous guide à travers la ville avec sagesse et humour. Pris dans un embouteillage ? Thrall vous rassure : « Respirez profondément, ce n’est pas la fin du monde. » Besoin de faire un demi-tour stratégique ? Il vous félicite pour votre « manœuvre astucieuse pour semer vos poursuivants. » Une façon ludique et originale de rendre les trajets quotidiens plus divertissants pour les fans de la saga.


Pour profiter de cette nouveauté, il suffit de mettre à jour votre application Waze. Une fois fait, vous pourrez activer la voix de Thrall directement depuis le menu principal ou via une fenêtre pop-up qui vous proposera d’écouter une démo. « On y va, sans faire de quartier ! » lance Thrall dans cette courte présentation. Pour compléter l’immersion, Waze vous permet même de remplacer votre voiture virtuelle par le prestigieux Drake Rouge, une monture célèbre du jeu. Si cette fonctionnalité reste avant tout un gadget, elle apporte une touche de fun qui plaira à coup sûr aux fans de *World of Warcraft*, rendant chaque déplacement un peu plus épique.

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  • Que vaut le nouveau navigateur Arc Search ?

    01:52|
    Si vous ne connaissez pas encore Arc Browser, vous pourriez bien être surpris. Ce navigateur, encore relativement jeune, se distingue par son ambition de réinventer l'expérience classique du web. Conçu à l'origine pour macOS avant d'être étendu à iOS et Windows, Arc a récemment connu une refonte mobile qui en fait plus qu'un simple compagnon de navigation. Désormais, il s'agit d'un véritable assistant de recherche personnalisé, et cette version est enfin disponible sur Android.C'est via son compte Threads que *The Browser Company* a annoncé le lancement de la bêta ouverte d'Arc pour Android. Pour y accéder, il suffit de rechercher "Arc Search" sur le Play Store et de s'inscrire au programme de test. Mais attention, Arc Search n'est pas un navigateur traditionnel. Depuis sa refonte en janvier dernier sur iOS, il s'appuie sur l'intelligence artificielle pour combiner un moteur de recherche classique et un agrégateur d'informations intelligent. Concrètement, l'interface mobile d'Arc est épurée, avec une page d'accueil quasi vierge ne comportant que deux icônes : les paramètres et une option de recherche. En saisissant un mot-clé, l'utilisateur a le choix entre effectuer une simple recherche Google ou utiliser la fonction « Browse for me ». Cette dernière compile diverses informations provenant de plusieurs sources en ligne pour offrir une réponse directe et synthétique à la requête, un peu à la manière des agents conversationnels.En plus de cette fonctionnalité phare, Arc propose des outils pratiques comme un mode incognito intégré, des options de traduction, ou encore des paramètres de zoom et d'affichage simplifiés. L'objectif est clair : réduire au maximum les interactions inutiles et offrir une navigation plus intuitive et efficace, tout en s'adaptant aux besoins de l'utilisateur.
  • Epic Games en guerre contre Samsung et Google ?

    02:04|
    Epic Games repart à l’assaut juridique, cette fois contre Samsung et Google, accusés de pratiques anticoncurrentielles pour verrouiller le marché des applications mobiles sur les appareils Samsung. La cible principale de cette offensive ? L’Auto Blocker, une fonctionnalité de sécurité introduite par Samsung en octobre 2023, est désormais activée par défaut depuis juillet 2024. Cette fonctionnalité empêche l'installation d'applications en dehors des plateformes Google Play Store et Samsung Galaxy Store, un coup dur pour des acteurs comme Epic qui comptent sur le "sideloading" pour diffuser leurs applications.À l'origine facultatif, l'Auto Blocker visait à renforcer la sécurité en bloquant les menaces comme le phishing. Cependant, sa généralisation n'a pas été du goût d'Epic. Selon la société, il faudrait désormais passer par 21 étapes pour installer une application externe sur un appareil Samsung. Epic estime que ce dispositif favorise Google, compromettant ainsi le verdict d’un procès antérieur où Epic avait remporté une bataille contre la firme de Mountain View. Tim Sweeney, PDG d’Epic Games, n’hésite pas à parler de "collusion" entre Google et Samsung, bien qu'il admette n'avoir aucune preuve directe pour l'instant. Il espère toutefois que des éléments incriminants émergeront au cours de la procédure judiciaire. Google a rapidement réagi, rejetant les accusations et qualifiant cette action de « sans fondement et dangereuse ». Le géant rappelle que les fabricants d’appareils Android sont libres de développer des systèmes de sécurité adaptés à leurs utilisateurs.Samsung, de son côté, a défendu l'Auto Blocker, affirmant que cette option reste désactivable par les utilisateurs à tout moment. Mais pour Epic, ce n'est pas suffisant. La bataille judiciaire s'annonce longue, alors que Samsung a déjà exprimé son intention de contester vigoureusement ces accusations.
  • Nintendo fait disparaître un émulateur Switch ?

    02:10|
    Selon *The Verge*, Nintendo aurait proposé un accord à « gdkchan », créateur de l’émulateur Ryujinx, pour cesser son développement et supprimer tous les éléments liés au projet. Résultat : la page de téléchargement de Ryujinx est vide, son dépôt GitHub a disparu, et ses réseaux sociaux ont fait leurs adieux. « Hier, gdkchan a été contacté par Nintendo et on lui a proposé de stopper le projet et de supprimer toute l’organisation », explique un développeur et modérateur sur le Discord officiel de Ryujinx. « L’organisation a été supprimée, il semble donc que l’accord ait été accepté. »Cette fermeture soudaine soulève des questions sur l’avenir de l’émulation et la préservation des jeux vidéo. Ryujinx, perçu comme intouchable, notamment en raison de la localisation supposée de son développeur principal au Brésil, a finalement cédé face à la pression de Nintendo. Ce retrait n’est probablement pas anodin : Ryujinx avait récemment attiré l’attention en permettant de jouer à *The Legend of Zelda: Echoes of Wisdom* sur PC, avec des performances parfois supérieures à celles de la Switch. La fermeture de Ryujinx met également fin à des projets prometteurs, notamment un portage iOS fonctionnel et une version Android presque prête. Des améliorations de performances et de compatibilité étaient également en développement. « Nous avons toujours privilégié la perfection plutôt que la rapidité », déclare un membre de l’équipe.Nintendo semble aussi étendre son combat contre l’émulation à d’autres créateurs de contenu. Le YouTubeur RetroGameCorps a vu sa chaîne menacée après plusieurs plaintes pour atteinte aux droits d’auteur. Son tort ? Avoir montré des jeux Nintendo comme *Zelda Wind Waker HD* sur différents supports. Même si le code source de Ryujinx circule déjà sur Reddit, Nintendo semble déterminé à poursuivre toute tentative de relancer le projet.
  • Comment la CNIL veut renforcer votre vie privée sur smartphone ?

    01:49|
    Les Français passent en moyenne 3h30 par jour sur leur smartphone et téléchargent une trentaine d’applications par an. Face à cette utilisation massive, la CNIL, autorité française de protection des données personnelles, a publié de nouvelles recommandations pour garantir la conformité des applications mobiles au RGPD. Un coup de semonce pour les développeurs ? Pas forcément. Ces directives, issues d’une concertation approfondie, visent plutôt à guider les professionnels vers des pratiques plus respectueuses de la vie privée.La CNIL clarifie les responsabilités de chaque acteur de la chaîne : éditeurs, développeurs, fournisseurs de SDK, systèmes d’exploitation et magasins d’applications. L’objectif est d’apporter une sécurité juridique dans un secteur en pleine mutation. Transparence et simplicité sont les maîtres-mots : les utilisateurs doivent recevoir des informations claires sur l’usage de leurs données, et les applications devront justifier les permissions demandées. Le consentement libre et éclairé est également au centre des préoccupations. Fini les « dark patterns » et autres ruses qui poussent les utilisateurs à accepter des conditions sans réellement comprendre ce à quoi ils consentent. La CNIL insiste sur le fait qu’il doit être aussi simple de refuser que d’accepter les conditions.Ces recommandations ne sont pas figées. La CNIL distingue entre obligations fermes et bonnes pratiques, offrant ainsi une flexibilité aux professionnels pour s’adapter. Un plan d’accompagnement est également prévu, avec des webinaires et des ressources pédagogiques. Mais attention, dès le printemps 2025, une campagne de contrôles spécifiques sera lancée pour s’assurer de la bonne application de ces nouvelles règles. Le secteur mobile est en perpétuelle évolution, et la CNIL entend bien veiller à ce que l’innovation ne se fasse pas au détriment de la protection des données. 
  • OpenAI : finalement, Apple n’investira pas ?

    01:55|
    OpenAI, leader de l'intelligence artificielle, continue d'innover, mais ses dépenses colossales en font également une entreprise coûteuse à maintenir à flot. Pour soutenir son développement, la firme californienne cherche à lever 6,5 milliards de dollars. Pourtant, un acteur de poids vient de se retirer de cette opération : Apple.Selon le *Wall Street Journal*, Apple, qui figurait parmi les investisseurs pressentis, a finalement décidé de ne pas participer à cette levée de fonds. Ce retrait intervient alors que les négociations devaient se conclure cette semaine. Si Apple avait confirmé son engagement, cela aurait marqué l'un de ses rares investissements dans une entreprise de la Silicon Valley. Malgré ce désistement, d'autres géants de la tech, tels que Nvidia et Microsoft, restent engagés dans l'opération. Microsoft, en particulier, va injecter 1 milliard de dollars supplémentaire dans OpenAI, renforçant ainsi son investissement déjà massif de 13 milliards de dollars.La décision d'Apple soulève des questions, notamment en raison des récentes démissions au sein d'OpenAI. La semaine dernière, Mira Murati, directrice technique en poste depuis 2018, a annoncé son départ, suivie de Barret Zoph, vice-président de la recherche, et Bob McGrew, directeur de la recherche. Ces départs pourraient avoir refroidi la firme à la pomme, qui préfère peut-être attendre avant de s'impliquer davantage. Néanmoins, OpenAI poursuit sa course en tête dans le secteur de l'intelligence artificielle, soutenue par des partenariats solides, malgré les turbulences internes et le retrait d'Apple. Cette levée de fonds devrait jouer un rôle crucial pour l'avenir de l'entreprise et le développement de ses technologies.
  • Donald Trump paye sa campagne présidentielle en crypto ?

    01:57|
    Donald Trump a fait des cryptomonnaies un sujet central de sa campagne électorale pour 2024. Récemment, il a affirmé vouloir faire des États-Unis la « capitale mondiale du Bitcoin et des cryptomonnaies », marquant ainsi son positionnement en tant que candidat pro-crypto. Mais il vient de franchir une étape historique dans le monde des actifs numériques.À un mois et demi de l'élection présidentielle, la course entre Kamala Harris et Donald Trump s'intensifie. Les candidats multiplient les apparitions publiques pour séduire les électeurs. Hier, le candidat républicain a fait parler de lui en se rendant dans un bar new-yorkais, le PubKey, où il a offert des burgers et des bières aux clients. La particularité ? Ce bar accepte les paiements en Bitcoin, et Trump a profité de l’occasion pour régler la note en cryptomonnaie.Ce geste fait de Donald Trump le premier président ou ancien président des États-Unis à réaliser une transaction en Bitcoin. Un coup médiatique qui renforce encore son image de fervent défenseur des cryptomonnaies, un positionnement stratégique alors que le secteur attire de plus en plus de partisans. Dans le cadre de sa campagne, Trump a aussi annoncé qu’en cas de victoire, il limogerait Gary Gensler, le président de la Securities and Exchange Commission (SEC), considéré comme un obstacle majeur par l’industrie des cryptos en raison de ses régulations strictes. En s’affichant comme un allié des cryptomonnaies, Trump espère capter l’attention des électeurs sensibles à cette révolution financière.  Cette stratégie s’inscrit dans une volonté d’attirer un électorat en quête de modernité, tout en renforçant son engagement à alléger les régulations pesant sur les actifs numériques.
  • Tor est-il sous surveillance ?

    02:05|
    C’est une simple rumeur lancée sur Reddit qui s’est avérée être bien réelle. En janvier, un internaute anonyme révélait, documents judiciaires à l'appui, que plusieurs pays, dont l'Allemagne, les États-Unis, le Brésil et la Grande-Bretagne, avaient coordonné une opération de surveillance sur le réseau Tor. Baptisée « Liberty Lane », cette offensive visait à identifier des utilisateurs ciblés. Mais derrière cette opération se cache une stratégie bien plus vaste de désanonymisation, suggérant que la police allemande aurait percé les secrets de Tor bien avant.Après deux ans d’enquête, des journalistes des chaînes allemandes Panorama et STRG_F ont dévoilé des méthodes inédites d'infiltration du réseau. Selon leur investigation, les autorités auraient utilisé des attaques de « timing » pour lever l'anonymat de certains internautes. En analysant les données échangées sur le réseau Tor, ils ont réussi à remonter jusqu’aux adresses IP réelles de certains utilisateurs, un exploit que la communauté cybersécurité jugeait complexe à réaliser.Le réseau Tor, conçu pour protéger l'anonymat, semble aujourd’hui vulnérable. La stagnation du nombre de nœuds, donc de serveurs permettant d’anonymiser l’origine des connexions, et bien ce nombre stagne entre 7 000 et 8 000, et le manque de diversité des opérateurs accentuent les risques. Selon Panorama, les dix plus grands gestionnaires de nœuds représenteraient à eux seuls près de 50% des relais de sortie, ce qui compromet la sécurité du réseau. Le Projet Tor a réagi en rassurant sur l’intégrité du réseau, tout en reconnaissant les failles pointées par l’enquête. Il a lancé un appel à sa communauté pour renforcer la diversité des nœuds et a insisté sur la mise à jour du navigateur Tor comme mesure essentielle de protection. La bataille pour l’anonymat en ligne est loin d’être terminée.
  • Telegram : accès libre aux IP et numéros de téléphone pour les autorités ?

    01:49|
    Le patron de Telegram, Pavel Durov, semble avoir opéré un tournant radical depuis qu'il est sous la supervision de la justice française et interdit de quitter le territoire. Connu pour sa résistance aux autorités, il coopère désormais pleinement avec les demandes légales. Ce changement de cap a été officialisé directement via l'application de messagerie, qui compte près d'un milliard d'utilisateurs.Dans un message publié sur son canal personnel, Durov a annoncé une mise à jour importante des conditions d'utilisation et de la politique de confidentialité de Telegram. « Nous avons précisé que les adresses IP et les numéros de téléphone de ceux qui enfreignent nos règles peuvent être divulgués aux autorités compétentes en réponse à des demandes légales valides », a-t-il expliqué. Jusqu'à présent, Telegram ne partageait ces informations qu'en cas de dossiers liés au terrorisme, rendant cette nouvelle politique significative.Telegram s'est également attaqué à sa réputation de plateforme facilitant l'accès à des services illégaux, souvent comparée au dark web. La fonction de recherche a été revue, avec le soutien d'une équipe de modérateurs et de l'intelligence artificielle. Durov a affirmé que « tous les contenus problématiques identifiés dans la fonction de recherche ne sont plus accessibles ». De plus, les utilisateurs auront désormais la possibilité de signaler tout contenu illégal, facilitant son retrait. Ce revirement marque une nouvelle ère pour Telegram, qui cherche à se distancier de son image de plateforme permissive face aux activités illégales. Reste à voir comment cette nouvelle politique impactera l'utilisation de l'application à l’échelle mondiale.