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Amis proches


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  • 41. Je vais fêter mes 25 ans (et j’adore vieillir)

    36:16||Saison 1, Ep. 41
    Aujourd’hui, petite réflexion pré-anniversaire les amis proches : je fête mes 25 ans la semaine prochaine et franchement, j’adore vieillir. J’ai l’impression que plus ma DLC approche, plus je m’aligne. Comme si je débloquais, chaque année, des mises à jour internes que personne n’avait jugé utile de m’envoyer avant 🧘🏻Et pour être honnête, je me suis toujours sentie particulièrement connectée aux adultes ou aux personnes plus âgées que moi. Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais avec eux, tout a toujours mieux glissé. Ils comprennent ma manière de penser sans sourciller, je comprends la leur sans effort.Pas besoin de m’adapter, pas besoin d’en faire trop : comme si mes neurones avaient été livrés avec dix ans d’avance. Je me suis souvent dit que j’étais probablement une vieille âme coincée dans un corps de junior 👵🏻Et maintenant, à l’approche de mes 25 ans, j’ai cette sensation que tout commence (enfin) à faire sens. Comme si la personne que j’étais déjà à l’intérieur, un peu trop posée, un peu trop réfléchie pour son âge, était en train de rattraper son apparence extérieure. C’est un peu comme si je n’étais maintenant plus obligée d’enfiler un costume trop grand dans une pièce dont je ne connaissais pas le script.Bref, dans cet épisode, je vous partage tout ça et tant d’autres raisons qui font que, même si je ne suis pas une grande fan de célébrer mon anniversaire (car pitié, l’attention sur moi help), prendre de l’âge me remplit vraiment de joie.Sans compter sur le fait que je suis née en décembre, aka le mois où tout le monde a déjà explosé son PEL en cadeaux, dindes farcies et secret santa approximatifs. Mais bon… c’est ainsi, les amis proches : année après année, ma destinée est de faire joyeusement chier tout le monde avec mon anniversaire mal placé 🎄🎂

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  • 40. Je finis toujours par déborder (de ce que je tais)

    20:53||Saison 1, Ep. 40
    Aujourd’hui, on part sur une récente petite tempête émotionnelle. Ces jours à fleur de peau sans trop comprendre ce qui coince. Jusqu’à ce que tu cherches à en parler et que tout lâche d’un coup. Comme si ton corps te rappelait joyeusement que le silence, bah ça finit (toujours) par peser.Parce que oui, poser des mots sur des maux, c’est pas ma spécialité. Je suis (souvent) celle qui écoute. Celle à qui on se confie facilement, parce qu’on sent que je vais comprendre, que je ne vais pas juger. Et j’aime ça, sincèrement. Mais à force d’être celle qui reçoit, j’en oublie de déposer. Du coup, je stocke. J’empile les émotions, les non-dits, les trucs pas digérés, jusqu’à ce qu’un jour… eh bien, ça fuit ⛲️Et justement, les phrases qu’on m’a le plus dites dans ma vie, c’est sûrement : « victo, t’es tellement mystérieuse » ou « j’arrive pas à te cerner » Et, c’est vrai : je parle beaucoup, mais souvent en surface. Je raconte plein de choses, mais peu de moi. Je fais parler les autres, pour ne pas qu’on creuse chez moi. J’ai cette profondeur bien planquée, et j’ai du mal à laisser les gens y descendre. Un peu comme si je montrais une immense bibliothèque en disant : « Admire tous ces livres » sans jamais laisser personne en ouvrir un seul 📚Et je me demande souvent d’où vient cette carapace. Peut-être parce que le monde adore la surface, les échanges rapides, les discussions légères, les émotions polies. Alors forcément, la profondeur que j’ai besoin de partager devient un peu décalée, presque inconfortable. Et moi, je me retrouve là, avec mille choses à dire… mais la gorge serrée dès qu’il faudrait vraiment les dire.Bref les amis proches, on parle un peu de tout ça aujourd’hui. Vous étiez ma petite soupape de décompression du jour et j’espère que vous trouverez, vous aussi, un endroit ou une personne vider un peu votre sac avant que ça déborde. Parce que franchement, mieux vaut une petite fuite bien placée qu’un tsunami émotionnel 🫶🏻On se retrouve très vite, d'ici là, on se retrouve sur les comptes @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !
  • 39. Le retour des pépites de mon appli notes (c’est toujours n’importe quoi)

    31:53||Saison 1, Ep. 39
    Aujourd'hui, on replonge ensemble dans les abîmes délicieux de mon appli notes, cette caverne d’Ali Baba numérique qui n’a décidément rien perdu de sa superbe.Si vous avez écouté le premier épisode il y a un an, vous savez déjà que cette appli n’est pas qu’un simple refuge de post-it numériques pour moi mais un véritable fourre-tout prêt à capturer la moindre pensée fugace (et parfois mon meilleur psy, aussi) 🎢Et en un an, le bazar s’est enrichi de nouvelles pépites : des listes qui n’ont aucun sens mais qui racontent tout de moi, des pensées griffonnées pendant mes (giga) marches régénératrices, des envies matérielles bien (trop) chères, des expressions entendues ici et là qui mériteraient presque un t-shirt, et bien d’autres clowneries de ma vie intérieure, qui oscillent entre le génie et le grand n’importe quoi.Bref les amis proches, n’hésitez pas vous aussi à m’envoyer vos pépites de notes, je promets de ne juger que très affectueusement 🙂‍↕️ D'ici là, on se retrouve sur les comptes @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !
  • 38. J'ai peur mais j'y vais (mais j'ai peur quand même)

    26:09||Saison 1, Ep. 38
    Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler d’une opportunité récente que j’ai acceptée, une envie qui mijotait en moi depuis des années, et qui s’est spontanément présentée il y a quelques jours. Mais avant d’y dire oui, j’ai (plusieurs fois) voulu y dire non 🧑🏻‍🦯Car c’est drôle mais on me colle souvent l’étiquette de celle qui fonce, qui saute sur toutes les opportunités, qui avance sans peur et qui est à 100% sûre d’elle même. Mais en réalité, je suis surtout une (giga) anxieuse de nature, et une grande peureuse devant la nouveauté lol.Et avant, cette peur me contrôlait complètement. J’avais dix mille envies en tête, mais je disais non à beaucoup (trop) de choses. Résultat : je regardais les trains passer depuis le quai en me disant « un jour peut-être » sauf que « un jour peut-être » ça n’arrive jamais si on ne monte jamais dans le train.Aujourd’hui encore, j’ai (souvent) peur, mais je ne laisse plus cette émotion décider pour moi. Car là où avant je disais non parce que c’était trop gros, trop risqué, ou que je ne me sentais pas prête, aujourd’hui j’apprends à dire oui (même avec les joues qui virent au rouge tomate quand je me sens dépassée lol 🍅)Bref, dans cet épisode, je vous raconte comment je suis passée de « je laisse la peur décider pour moi » à « je l’embarque avec moi mais c’est moi qui la gère » et pourquoi, pour moi, oser malgré la trouille reste la meilleure façon de se challenger, de s’accomplir et de se sentir aligné avec la vie que l’on a envie de se créer.En tout cas les amis proches, j’espère que vous trouvez, vous aussi, au quotidien, le courage de dire oui à ce qui vous attire malgré la peur (même si votre premier réflexe est de fuir en courant). Parce qu’au final, mieux vaut trembler en essayant que regretter de n’avoir rien tenté 🫶🏻
  • 37. Je m'en fous complet (mais genre vraiment complet)

    42:37||Saison 1, Ep. 37
    Aujourd’hui, on s’attaque à la trend du moment « je m’en fous de ». Tous ces trucs que tout le monde prend giga au sérieux mais que toi, tu ignores autant que les gens d’assos qui t’arrêtent dans la rue (enfer sur terre)Parce que moi perso, je m’en fous de manger tous les jours la même chose, je m’en fous que mes potes mettent deux semaines à me répondre (car moi aussi parfois je disparais dans le néant), je m’en fous que les gens me voient me trimballer dans la rue avec mon PQ acheté au Carrefour du coin, ou je m’en fous également complet de ne pas avoir de culture cinématographique (ici on ponce juste youtube) 🧘🏻Bref dans cet épisode, je vous partage la liste de toutes ces choses dont je ne me soucie absolument pas. Résultat : moins de charge mentale, plus de paix intérieure et un quotidien qui ressemble un peu moins au bulletin météo terrifiant du moment 💨Sur ce les amis proches, j’espère que votre liste de « je m’en fous de » est aussi longue que la file d’attente à la Poste un lundi matin, parce qu’au final plus on laisse tomber ce qui ne compte pas, plus on laisse de la place à ce qui compte vraiment 🧚🏼 Bref, bon épisode et pn se retrouve sur @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !
  • 36. Ayooo c'est la rentrée (déménagement, nouveau taf et clowneries en vrac)

    41:30||Saison 1, Ep. 36
    Ayooo les amis proches !! Après une petite pause estivale (et des heures de bronzette intensive), me revoilà avec l’épisode update de rentrée. Et laissez-moi vous dire que ces derniers mois ont été un rollercoaster émotionnel 🎢Entre la perte de mon boulot (ptdr), le déménagement dans mon appartement de rêve (mais j'enregistre toujours dans mon lit hein), le début imminent de mon nouveau travail, un tournage TV trop chouette à venir et une ribambelle de clowneries (car ici on fait clairement concurrence au cirque Pinder), il s’en est passé des choses.Alors préparez vous un pichet de thé (ou continuez à bosser en douce, je juge pas) parce que le résumé sonore de mes derniers mois est sacrément folklorique, mais clown aguerri que je suis retombe toujours sur ses pattes 🧘🏻J’espère en tout cas que vous allez bien, que l'été a apporté de jolies choses dans vos vies (et pas juste des coups de soleil). De mon côté, je vous laisse avec cette mise à jour de vie de rentrée et je retourne ausculter tous les sites de déco comme si ma vie en dépendait. Sur ce, on se retrouve sur @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !
  • 35. Vos préjugés sur moi (eh bah y'a du vrai hein)

    32:23||Saison 1, Ep. 35
    Aujourd’hui, on parle du regard des autres. Ce truc qu’on prétend ignorer mais qui colle à la peau. Un peu comme une vieille étiquette sur un pot de confiture : t’as beau gratter, tremper, frotter avec le produit miracle recommandé par une douzaine de TikTok... y’a toujours un petit bout qui reste 🧘🏻Parce que ouais : accorder trop d’importance à ce que pensent les autres, c’est un aller direct vers une version de soi-même… tiède, lisse, fade. Comme un café réchauffé au micro-ondes. Ça a encore vaguement un goût, mais ça fait pas vibrer hein (ouais je me suis mise à boire du café y'a 3 mois et je me la joue barista, y'a quoi ?)Car moi la première j’ai été otage du regard des autres. Longtemps même. Résultat : je jouais à la poupée russe, emboîtant couche après couche ce que les autres voulaient, jusqu’à oublier qui j’étais vraiment en dessous 🪆Mais dans cet épisode, je vous partage comment j’ai déplacé le projecteur de “ce que les autres attendent” à “ce qui me fait vraiment kiffer” (boomeuse purée), comment j’ai choisi l’authenticité plutôt que l’approbation, et surtout comment la vie est bien plus légère quand on arrête de faire du « paraître » un job à temps pleinEt puis aussi (surtout) je réponds à vos préjugés croustillants délicatement déposés dans la boîte à questions. C’était savoureux. Un peu piquant, parfois. Mais hyper intéressant à déconstruire ☕️Alors en attendant le prochain épisode, les amis proches, n’oubliez pas : Le regard des autres, c’est comme les pubs YouTube. T’es pas obligé de les zapper… mais franchement, ça fait vachement du bien quand tu le fais.Sur ce, on se retrouve sur @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !