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Van Gogh thérapie

4. Une éternelle fin 

Saison 1, Ep. 4

En mai 1890, Vincent n’en peut plus de son enfermement à Saint-Rémy. Il se croit atteint d’une maladie du Midi. On lui recommande un certain docteur Gachet qui soignerait le « mal nerveux » dans le village d’Auvers-sur-Oise, non loin de Paris et de son frère Théo. Pendant deux mois, Vincent peint avec une incroyable frénésie : un peu plus de 70 tableaux en 70 jours… Tout vibre d’une ardeur inédite sous l’impulsion de sa gigantesque existence. Fin juillet, journées d’intense soleil, le peintre continue de batailler avec le paysage. Vincent va réaliser ces jours-là certains de ses plus grands chefs-d’œuvre ! Mais à quel prix ?


Un podcast imaginé par Beaux Arts Magazine


Réalisation : Théo Boulenger

Écriture : Stéphane Lambert

Production : Beaux Arts Magazine

Interprétation : Stéphane Lambert et Alec van der Horst

Enregistrement : Studio 4allmedia

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  • 1. 1. Une locomotive à peindre

    14:31
    À Auvers-sur-Oise, le fantôme de Van Gogh se devine à chaque coin de rue… Avant de se tirer une balle dans la poitrine le 27 juillet 1890, à l’âge de 37 ans, le peintre a réalisé plus d’un tableau par jour. Pourquoi, malgré cette fièvre créatrice, la mort a-t-elle pris le dessus ? Au départ pourtant, rien ne semblait dysfonctionner. Un frère aimant, des études de théologie, une carrière prometteuse chez son oncle marchand d’art, une jeune femme dont il est épris… Mais comment tisser un lien avec les autres ? Vincent est continuellement travaillé par l’angoisse. À 27 ans, l’art va lui apparaître comme l’unique moyen de survivre.Un podcast imaginé par Beaux Arts MagazineRéalisation : Théo BoulengerÉcriture : Stéphane LambertProduction : Beaux Arts MagazineInterprétation : Stéphane Lambert et Alec van der HorstEnregistrement : Studio 4allmedia
  • 2. 2. La nostalgie de la vraie vie

    15:38
    Entre 1886 et 1888, Vincent se plonge dans le tumulte de Paris et s’enthousiasme pour l’impressionnisme. Mais dans la capitale, le terrain est miné pour une sensibilité à vif comme la sienne. L’effervescence de la ville épuise ses nerfs. Direction Arles ! Là-bas, le peintre est envoûté par la lumière du Midi, la couleur jaune aiguise son élan mystique. Il rêve d’une harmonie nouvelle, de construire une communauté d’artistes avec son ami Paul Gauguin. Hélas, ce projet se solde par une crise : Vincent se coupe l’oreille la veille de Noël 1888. Est-il en train de perdre la raison ?Un podcast imaginé par Beaux Arts MagazineRéalisation : Théo BoulengerÉcriture : Stéphane LambertProduction : Beaux Arts MagazineInterprétation : Stéphane Lambert et Alec van der HorstEnregistrement : Studio 4allmedia
  • 3. 3. Le métier de dément

    14:24
    Mai 1889 : épouvanté par ses crises d’hallucinations, Van Gogh demande lui-même son internement à l’asile Saint-Paul de Mausole à Saint-Rémy-de-Provence. Vincent vacille. Au point de perdre pied. La maladie devient la porte d’entrée d’une vie monacale et l’ardeur au travail, le meilleur contrepoison. L’année 1890 commence malgré tout avec quelques raisons d’espérer : à son neveu, Vincent, qui vient de naître, il dédie un "Amandier en fleurs" qui deviendra culte ; au même moment, la revue Le Mercure de France publie un premier article sur sa peinture et, pour la première fois, l’une de ses œuvres est achetée par une collectionneuse, Anna Boch.Un podcast imaginé par Beaux Arts MagazineRéalisation : Théo BoulengerÉcriture : Stéphane LambertProduction : Beaux Arts MagazineInterprétation : Stéphane Lambert et Alec van der HorstEnregistrement : Studio 4allmedia