Un épisode et j'arrête

Cette semaine, dans Un Épisode et J'arrête, on remonte le temps jusqu'en 2004, pour retrouver Susan, Bree, Gaby, Lynette et Eddie. Et oui, les Desperate Housewives fêtent leurs vingt ans cette année. L'occasion de revenir sur cette série culte en compagnie de Marion Olité, journaliste indépendante pour Madmoizelle et Slate, Margaux Baralon, journaliste indépendante, Florian Ques, journaliste culture chez Têtu, ainsi que Salammbô Marie, journaliste séries chez Numerama. Bonne écoute !Épisode enregistré en public le samedi 12 octobre 2024, lors du festival PodParis.Organisatrice du festival PodParis, l'association Badgeek a pour but de soutenir les créateurices et les auditeurices de podcasts.Nous proposons des services d'aide et d'accompagnements, une plateforme d'hébergement de podcasts, ainsi qu'un festival gratuit et ouvert à toustes. Tous les outils développés au sein de BadGeek ont été conçus dans l'idée d'être utiles à toute la communauté. Vous pouvez être de celleux qui font perdurer cette aventure en faisant un don à notre association. Depuis 11 ans, nous œuvrons pour rendre accessible notre médium à toustes. https://www.podrennes.fr/

Cette semaine, dans Un Épisode et j'arrête, on fête le mois d'octobre, Halloween et la "spooky season" en vous parlant des sorcières, vampires et autres loups-garous ! Alors que la série Marvel, Agatha All Along, cartonne sur Disney+, on prend des nouvelles des créatures de la nuit qui hantent le petit écran. Marion Olité, journaliste indépendante pour Madmoizelle et Trois Couleurs, Florian Ques, journaliste culture chez Têtu, Marine Pérot, journaliste indépendante pour Les Numériques et créatrice du podcast Once Upon a TV Time, ainsi que Delphine Rivet, journaliste culture chez Konbini, ont donc enfilé leurs plus beaux looks gothiques pour vous parler de cette chère Agatha Harkness. Bonne écoute !

Être un agent du prestigieux MI5 britannique n’est pas toujours très reluisant : la preuve avec Slow Horses, dont la quatrième saison vient de s’achever sur Apple TV+. Adaptée des romans de Mick Herron, la série dépeint le quotidien à la fois pathétique et loufoque d’espion·ne·s du renseignement intérieur mis·e·s au placard, sous la houlette d’un boss aussi crasseux que sarcastique, Jackson Lamb (joué Gary Oldman). Un bijou télévisuel à l’intrigue bien ficelée et à l’écriture soignée, qui ravira les fans de workplace comedies et de thrillers d’espionnage.

Golden Globes et Emmy Awards aux États-Unis, BAFTA au Royaume-Uni : les récompenses attribuées aux séries existent dans de nombreux pays… sauf en France – hormis les prix ACS ! Pourtant, ces récompenses permettent d’apporter une certaine forme de reconnaissance critique, qui peut être un véritable booster pour la série ou le·la gagnant·e ! Mon Petit Renne, par exemple, a été un succès d’audience incontestable (et inattendu) pour Netflix, mais en remportant l’Emmy Awards 2024 de la meilleure minisérie, elle se voit adoubée par la profession.Dans cet épisode, l’ACS tente de comprendre pourquoi la France ne remet plus de prix aux séries depuis 20 ans, en compagnie de deux invités nommés aux prochains prix ACS (et plusieurs fois vainqueurs des éditions précédentes) : Noé Debré, créateur et co-scénariste de Parlement (france.tv) et Antony Cordier, réalisateur d’Ovni(s) (Canal+) et co-réalisateur d’Irrésistible (Disney+).

Après le bilan des séries 2023/2024 made in ACS et une pause estivale bien méritée, le podcast reprend du service avec un épisode dédié aux fictions de la rentrée ! Parmi elles : Industry, souvent décrite comme une héritière de Succession au parcours pour le moins étonnant, puisque la fiction britannique n’a rencontré le succès qu’au cours de sa 3e saison. L’épisode fait également la lumière sur la nouvelle série Marvel Agatha All Along, spin-off de WandaVision avec la merveilleuse Kathryn Hahn dans le rôle-titre. Dans un registre plus sinistre, l’ACS évoque la fiction d’anthologie de Ryan Murphy Monster, qui, après être revenue sur l’histoire glaçante du tueur en série Jeffrey Dahmer, racontera dans sa saison 2 l’histoire des parenticides frères Menendez. Une rentrée séries pour le moins… éclectique !

Avec la fin de la grève des scénaristes américain·e·s – et peut-être même de la « peak TV » selon certain·e·s – cette année 2023-2024 a repris en douceur. Mais que reste-t-il de la création originale, alors qu’aux États-Unis, les sociétés de production et plateformes de streaming ne jurent plus que par la fameuse « IP » (intellectual property) ? Ces séries adaptées de franchises ou d’œuvres pré-existantes dont le succès a été maintes fois éprouvé sont omniprésentes : l’univers Star Wars ou X-Men, les jeux vidéo à succès («Fallout», «The Last of Us»), les romans («Ripley», «Shogūn», «Fellow Travelers») ou les films («Mr and Mrs Smith»)… Pour ce dernier épisode de la saison, l’ACS fait le point sur l’année sérielle qui vient de s’écouler et révèle ses coups de cœur.

Max est – enfin – arrivée en France, le 11 juin dernier. Franchises cultes, films et docus : la plateforme au catalogue alléchant, qui regroupe toutes les séries HBO, promet aussi du sport, notamment certaines épreuves des JO. Alors, que vaut Max ? Est-ce une sérieuse rivale dans l’écosystème ultra-concurrentiel de la VOD ?

Becoming Karl Lagerfeld, The New Look, Cristóbal Balenciaga, La Maison : ces derniers mois, les séries se sont intéressées à la vie des « grands » couturiers et designers du 20e siècle. Des biopics plus ou moins classiques, plus ou moins réussis, où il s’agit non seulement lever le voile sur des personnalités mystérieuses, mais aussi de découvrir une époque via le prisme de la mode. L’ACS fait le point sur ces productions haute-couture avec François Siméon, chef tailleur sur The New Look.

Desperate Housewives, Veronica Mars, Lost… et bien d’autres : nombre de séries cultes ont fait leurs débuts en 2004, il y a tout juste vingt ans. Dans ce nouveau numéro d’Un épisode et j’arrête, l’ACS revient sur ces pépites dont le nom vous dit forcément quelque chose, et qui font encore parler d’elles. Ont-elles bien ou mal vieilli ? Comment ont-elles inspiré les générations suivantes de showrunners ? Qui sont leurs héritières ?