ULTRA TALK by Arnaud Manzanini

ls arrivent à Chantilly quelques heures avant le départ de Race Across Paris.Gwen et Adrien forment un duo atypique : habitués des événements, parfois bénévoles, parfois participants, ils connaissent aussi bien l’envers du décor que la ligne de départ.Cette édition est particulière. Pour la première fois, ils s’élancent en duo sur 300 km, non pas pour performer à tout prix, mais pour partager. Partager l’effort, la nuit, la traversée de Paris au coucher du soleil, les silences comme les moments de fierté. Leur stratégie ? Presque aucune. S’adapter, se relayer, accepter les différences de rythme… et sourire quand l’ego s’invite dans l’aventure.À travers leur témoignage, c’est l’essence même de Race Across Paris qui apparaît : un événement accessible, humain et sécurisant, où l’on vient autant pour l’expérience que pour le dépassement, où l’on ose parce qu’on se sent accompagné.Un message simple, mais puissant :👉 si tu sais rouler 100 ou 150 km, alors 200K de nuit ou 300 km sont possibles👉 seul ou à deux, ce n’est pas la performance qui compte, mais le pas que tu fais hors de ta zone de confort🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast

Marie Migo a grandi avec une raquette à la main. À 3 ans, Marie ne joue pas à la poupée.Elle joue avec une raquette.À 7 ans, elle est déjà repérée par le système fédéral.À 13 ans, elle évolue en Pro A.À 26 ans, elle décide d’arrêter.Voyager pour devenir meilleure… ou pour survivreJapon, Autriche, Croatie, Allemagne, République tchèque.Cinq pays. Douze ans. Une vie nomade.Son parcours l’emmène dans cinq pays (Japon, Autriche, Croatie, Allemagne, République tchèque). Mais à force de performer, de voyager, de “prouver”, elle perd le sens, la confiance et le sommeil. Le burn-out arrive, avec des blessures invisibles qui remontent à la surface.Les Jeux Olympiques de Tokyo, qu’elle frôle sans être sélectionnée malgré la qualification, marquent une rupture. Elle finit par reprendre le contrôle : elle termine sa carrière à Quimper, dans un cadre plus humain, retrouve le plaisir… et décide de mettre un point final à 26 ans.Aujourd’hui, Marie écrit, parle, lance son podcast et veut transmettre : protéger les jeunes, éclairer les parents, et rappeler qu’une carrière ne vaut rien si l’humain s’effondre.PHOTO @studio_art_contrast 🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast

Ultra Talk – Quand l’ultra devient un nouveau départIl y a des interviews qui parlent de watts, de kilomètres et de dénivelé.Et puis il y a celles qui racontent pourquoi on continue à pédaler, même quand tout aurait pu s’arrêter.Pour ce premier épisode enregistré à Ribarroja de Turia, près de Valence, à l’occasion de la première édition de la Race Cross Spain, Ultra Talk accueille Guillaume Klein. Un nom bien connu dans l’univers de l’ultra-cyclisme, double finisher de la Race Across France. Mais surtout, un homme qui revient de loin.Cinq mois plus tôt, lors d’un entraînement à seulement deux kilomètres de chez lui, Guillaume chute violemment à plus de 60 km/h. Le diagnostic est lourd : fracture lombaire, fracture cervicale, poignet touché, multiples contusions. Le pronostic vital et fonctionnel est engagé. La paralysie n’était pas loin. Le vélo non plus.Corset pendant deux mois, rééducation exigeante, douleurs, doutes. Et pourtant, très vite, une idée fixe : revenir. Pas pour performer à tout prix, mais pour boucler la boucle. Pour être là.Quelques semaines seulement avant la course, Guillaume remonte sur le vélo. Un premier long effort de plus de 300 km, avec un dénivelé conséquent. Le corps se souvient, mais doit tout réapprendre. Nutrition, rythme, prudence, surtout dans les descentes nocturnes. La Race Cross Spain démarre de nuit. Symboliquement fort. Humainement intense.Dans cet épisode, Guillaume raconte sans filtre :l’accident et ce qu’il en garde en mémoire,la peur, mais aussi la lucidité face au diagnostic,l’importance du mental, indissociable du physique,le rôle clé de l’entourage, des coaches, de sa mère,et ce moment unique où le lever du soleil n’a plus la même saveur.Cette édition de la Race Cross Spain est aussi marquée par un symbole fort : pour la première fois dans l’histoire de la série, une femme remporte le 300 km. Elle aussi convalescente, elle aussi marquée par une blessure. Deux trajectoires différentes, une même leçon : l’ultra n’est pas qu’une question de performance, c’est une affaire de résilience.Ultra Talk, c’est ça.Des histoires vraies.Des parcours cabossés.Et cette conviction profonde : l’ultra-cyclisme commence souvent là où tout le reste s’arrête.🎧 Bonne écoute.🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#podcast #ultratalk

À plus de 60 km/h, Guillaume Klein chute lourdement.Fractures lombaires, cervicales, poignet brisé.Le verdict est clair : il aurait pu ne plus jamais remonter sur un vélo.Pire encore.Cinq mois plus tard, pourtant, il est là.Au départ de la première édition de la Race Across Spain, de nuit, dans les montagnes valenciennes. Pas pour prouver quelque chose. Pas pour performer à tout prix. Mais pour boucler la boucle.Dans cet épisode d’Ultra Talk, Guillaume raconte l’accident, le corset, la rééducation, les doutes, les petites victoires invisibles. Les 10 000 pas comme premier objectif. Le retour progressif à l’effort. Le soutien de sa mère, de ses coaches, de la communauté ultra. Et cette idée obsédante : revenir sur une ligne de départ.Il parle aussi de cette course de 300 km, plus dure que toutes celles qu’il avait déjà connues. La peur dans les descentes nocturnes. La prudence. Le lever de soleil vécu autrement. Et ce sentiment rare, puissant, presque silencieux : être exactement à sa place.Cet épisode n’est pas une histoire de performance.C’est une histoire de résilience.De lien entre le corps et l’esprit.Et de ce que l’ultra-cyclisme révèle quand tout vacille.🎙️ Ultra Talk – L’ultra commence parfois là où tout aurait pu s’arrêter.🎧 Épisode disponible dès demain 🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !

Elle mesure 1m60.Et pourtant, elle affronte des vagues de plus de 12 mètres.Dans cet épisode d’Ultra Talk, Arnaud Manzanini reçoit Sarah Hauser, windsurfeuse professionnelle française installée à Maui, à l’autre bout du monde. Une athlète hors normes, mais surtout une femme qui a fait un choix radical : quitter une trajectoire toute tracée pour suivre une intuition plus forte que la peur.Ingénieure diplômée, promise à une carrière stable, Sarah décide à 23 ans de tout quitter pour Hawaii. Aucun réseau. Aucun plan B. Juste une obsession : vivre de sa passion pour l’océan et les vagues.Dix ans plus tard, elle entre dans l’histoire en surfant la plus grande vague jamais ridée par une femme en windsurf, validée par le Guinness World Records.Dans cette conversation fleuve et sincère, Sarah raconte :son enfance en Nouvelle-Calédonie et sa connexion viscérale à la mer,les années d’études vécues comme une mise en pause de soi,l’arrivée à Hawaii sans contacts, sans sécurité financière,la construction patiente d’une carrière d’athlète-entrepreneure,la réalité des grosses vagues : la peur, la préparation, l’équipe, la respiration,et ce moment suspendu, à Jaws, où l’on se retrouve face à une puissance qui dépasse l’humain.On y parle aussi de mental, d’hypnose, de résilience, de place des femmes dans les sports extrêmes, et de transmission, à travers son engagement associatif Women on Water, au Pérou.Cet épisode n’est pas seulement l’histoire d’un record.C’est une réflexion profonde sur l’alignement, le courage, la patience, et le prix réel des rêves que l’on choisit de suivre.🎙️ Ultra Talk – Quand l’aventure commence là où le confort s’arrête.🎧 Épisode disponible dès maintenant.🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast #Bikepacking #Aventure #Solidarité #ReliefExplore #AmériqueDuSud #Vélo #Humanitaire #Expédition

Nicolas Châtelet : premier vainqueur de la Race Across Spain – l’épisode qui marque l’histoirePour cette première édition de la Race Across Spain, un nom restera à jamais gravé : Nicolas Châtelet, premier à franchir la ligne d’arrivée après 1 000 km, deux nuits glaciales, une hydratation mise à mal et un duel passionnant face à des cadors de l’ultra-distance.Dans cet épisode enregistré à chaud, quelques minutes seulement après son arrivée au lever du soleil près de Valencia, Nicolas raconte son effort sans filtre. Fatigue, lucidité vacillante, gestion du sommeil, stratégie watt par watt, erreurs, surprises… mais aussi ce qui fait la beauté de l’ultra : les levers et couchers de soleil qu’on s’accorde encore le luxe d’apprécier.Un premier 1000 km, mais un plan clairDiscret au départ, Nicolas n’était pourtant pas là pour faire de la figuration.Face à des références comme Damien Villiers, William Debode ou Régis Courtaille, il venait surtout chercher une réponse : ce que disent les watts à l’entraînement peut-il tenir 1 000 km ?Pendant les 8–9 premières heures : 200 watts de moyenne.Puis la réalité du terrain a fait son travail.Notamment une erreur classique… mais lourde de conséquences : 250 km avec seulement deux bidons après avoir manqué plusieurs points d’eau en pleine nuit. Résultat : –20% de puissance, et une gestion de crise exemplaire pour tenir jusqu’au bout.Pas de lunettes, 45 minutes de sommeil, mais une lucidité totaleAutre singularité : Nicolas roule… sans lunettes.Question de confort, dit-il. Risqué ? Peut-être. Naturel pour lui ? Totalement.Côté sommeil, la règle des 4 heures obligatoires a été respectée.Mais il n'a dormi que 45 minutes, juste assez pour maintenir la lucidité et éviter de basculer du mauvais côté des deux nuits blanches. Une gestion millimétrée qu’il explique en détail, notamment son protocole caféine volontairement retenu pour maximiser l’effet au bon moment.Un parcours magnifique… et impitoyableNicolas partage aussi son regard sur le parcours :une première moitié roulante,une deuxième moitié brutale, avec des pentes à 12 %, des routes désertes, et une fatigue qui rend chaque pourcentage plus lourd que le précédent.Il envoie au passage un message de respect et de soutien à toutes celles et ceux encore sur le parcours.🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast #Bikepacking #Aventure #Solidarité #ReliefExplore #AmériqueDuSud #Vélo #Humanitaire #Expédition

Un épisode authentique, brut, avec un champion qui raconte avec simplicité ce qui fait la vérité de l’ultra : la stratégie, les erreurs, les moments de doute, les paysages, les messages des proches, et ce qu’on va chercher au fond de soi pendant 1 000 km.Tu veux comprendre ce que représente une victoire sur une première édition ?Tu veux ressentir ce que signifie arriver à l’aube après deux nuits en selle ?Cet épisode est fait pour toi.🙌 Vous aimez cet épisode ?Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast

Chaque ultra est un miroir : il te renvoie exactement qui tu es… et qui tu peux devenir. Enregistré avec Guillaume au cœur des locaux de Physio Vélo Québec, référence canadienne du positionnement cycliste, cet épisode ouvre une fenêtre rare sur les coulisses de l’ultra-distance et sur ce qui fait battre le sport d’endurance d’aujourd’hui : l’humain, la vision et la quête de sens.Guillaume guide parfaitement cet échange et m'interroge sur les origines de la Race Across Series et m vision de ce sport. Nous plongeons dans l’évolution fulgurante de l’ultra-cyclisme, dans ses enjeux de sécurité, de structuration et de démocratisation. On y découvre aussi le rôle essentiel de la biomécanique, du positionnement et de la prévention, des notions centrales pour vivre l’ultra avec plaisir et éviter les pièges qui brisent trop souvent les rêves des participants.Entre anecdotes puissantes, parcours de vie, projets d’avenir et ambition d'une série mondiale à horizon dix ans, la conversation traverse les émotions, les apprentissages et la vision d’un bâtisseur qui avance avec conviction.Un épisode vibrant, enregistré chez un acteur clé du cyclisme québécois, où se croisent passion, expertise et envie de faire grandir la communauté.👉 À écouter absolument si tu aimes le vélo, si tu veux comprendre l’ultra, ou simplement si tu cherches une dose d’inspiration authentique. Partagez-le dans vos stories ou taguez quelqu’un qui devrait l’écouter ! Chaque partage compte et nous aide à faire grandir la communauté. ❤️Chaque partage fait une énorme différence. Merci pour votre soutien !#ultratalk #podcast