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Thune

Thune au grand froid : faut-il s'expatrier au Canada ?

Ep. 118

Julien Redelsperger est parti il y a plus de 10 ans au Canada, à Ottawa plus précisément. Et il n'est pas le seul. Plus de 100 000 français, en quête de grand air, de nature, de dynamisme et de cette fameuse "qualité de vie" si fantasmée se sont installés dans le pays.

Mais qu’en est-il de l’argent au Canada ? Dans ce Thune Opérator par -20°, on va parler erreurs de débutant, salaires et coût de la vie et trucs et astuces de l’expatrié.

Un épisode boîte à outil pour celles et ceux qui se demandent comment se joue l'argent chez ce peuple 'trop sympa".


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  • 131. Vivre de son humour (et avec un TDAH). Avec Olivia Moore

    59:53
    Il y a 13 ans, après un burn-out, Olivia Moore est devenue humoriste. Son métier, son gagne-pain, c'est la scène.Dans cet épisode, on va parler de son rapport compliqué à l'argent (merci les parents), d'indépendance financière, du modèle économique de l'humour, de l'impact du TDAH sur les finances. Et puis, comme Olivia est engagée, elle a beaucoup réfléchi à sa position - d'où elle vient, d'où elle parle - et à ce que son rapport à l'argent raconte.Un épisode dense et une parole clairvoyante.
  • SUPER BONUS // Vous croyez avoir des "problèmes de tréso" ? Ecoutez ça !

    02:06
    Quand on a parlé avec Hélène, vigneronne du Bordelais, de ses paiements à 30 / 60 / 90 jours, il y a un truc auquel on n'avait pas du tout pensé... Bonne écoute !
  • BONUS // "Mon conjoint doit subvenir à nos besoins"

    06:23
    Pour prolonger la dégustation, pardon, la discussion avec Hélène, savourez ces confidences sur la thune dans son couple... vous vous y retrouverez peut-être ! Bonne écoute !
  • 130. A Bordeaux, une vigneronne... vraiment dans le rouge

    01:00:10
    Sacrée période n'est-ce pas ? J'avais enregistré cet épisode très "terroir", très "trésor français" bien avant cette séquence nationale si étrange et perturbante. Je l'aime bien cet épisode, déjà parce qu'il nous emmène à la campagne, et aussi parce que dans le parcours d'Hélène, on voit bien cette France aux prises avec un monde qui bouge. C'est la trame de son histoire de thune : elle a grandi dans un domaine splendide, qui s'est un peu reposé sur son glorieux passé. Elle s'est d'abord éloignée de ce monde qui refusait de changer, elle a vu d'autres pays, d'autres cultures. Mais finalement, elle est revenue et aujourd'hui, elle se bat. Pour faire vivre la tradition, ne faut-il pas la réinventer ? Et pour en vivre, ne faut-il pas s'ouvrir aux autres ? Bonne réflexion, et à votre santé !PS : on ne fait pas de pub sur Thune comme vous le savez, et surtout pas pour e l'alcool, mais j'ai goûté le nectar du domaine de Ponty, et c'est un véritable régal. Alors je vous mets quand même le lien vers son site là --> https://vignoblesponty.com/
  • EXTRAIT // Comment ne pas se faire avoir en achetant du vin ?

    01:49
    Un court extrait "bien arrosé" de l'épisode qui sort jeudi.
  • 130. Avocat.e.s : la robe fait-elle la fortune ?

    34:40
    Virginie a toujours voulu être avocate ; ça vient des séries judiciaires qu'elle regardait avec sa mère quand elle était gamine. Son rêve, c'était de défendre la veuve et l'orphelin, pas de rouler en décapotable avec une montre hors de prix à son poignet.Aujourd'hui, les clichés sur les avocats qui roulent sur l'or, elle en a sa claque. Parce que dans sa profession, il y en a pas mal qui galèrent et même qui abandonnent à force de se faire des nœuds au bide en pensant à leurs charges.En plus, Virginie est avocate en Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de France : ses clients, c'est souvent des gens qui galèrent. Alors comment leur faire comprendre le montant de ses honoraires, la valeur de son travail ? 
  • Bonus : l'interview Thune Express d'Ariel Wizman

    03:04
    Notre questionnaire de fin top chrono
  • 129. Y a-t-il du blé après la télé ? On parle thune avec Ariel Wizman

    56:14
    Entre le début des années 90 et la fin des années 2010, Ariel Wizman a démontré qu’être soi-même pouvait être un métier. Sa signature, un mélange de désinvolture intello, de culture et de goût pour la fête, l'a propulsé comme personnage à part dans l'audiovisuel français.Pourtant, en 2020, il raccroche le micro et se lance dans le commerce, en lançant en France la franchise chinoise Miniso.Que raconte ce virage business ? Y a t-il un moment où être soi ne suffit plus à faire vendre ? Les médias sont-ils out et les entrepreneurs au top de la vague ? Comment le rapport à l'argent change t-il quand on n'est plus le salarié, mais le patron ? Et puis l'argent, quand on en a, on en fait quoi ?Merci à Ariel Wizman pour sa participation.