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Thune

Femmes & argent : comment ne plus se faire biaiser ? Avec Héloïse Bolle

Vous connaissez peut-être déjà Héloïse Bolle grâce à son compte Instagram Oseille et Compagnie ou à ses essais, Les bons comptes font les bons amants (éditions Cherche-Midi) et Aux thunes citoyennes (éditions Alisio).

Cette gestionnaire de patrimoine d'un genre nouveau reçoit une majorité de femmes dans son cabinet parisien. Aux premières loges pour constater des inégalités "ordinaires", elle l'est aussi pour dispenser des conseils pratiques et éclairés.

Avec elle, nous allons parler des femmes et de leur argent. Pourquoi ont-elles tendances à s’oublier dès qu’il s’agit de thune ? A quel moment décrochent-elles ? Comment ne pas être le pigeon de son couple ? Faut-il se marier même si cette idée nous donne de l’urticaire ? Pourquoi, penser "séparation" alors qu’on vient de se mettre en ménage, ne fait pas d'elles des êtres sans foi ni loi ?

Ecoutez cet épisode en entier, il regorge de conseils qui vous donneront à réfléchir... pour, enfin, ne plus jamais vous faire enthuner.



Crédit photo : Frédérique Toulet

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  • BONUS // Drag queen : paye ton Uber !

    01:48|
    Les drags, comme les femmes, ne peuvent circuler en ville sans se faire harceler, et ça, ça a aussi un coût ! Voici un petit bonus du dernier épisode. Bonne écoute
  • 143. Thune & drag queens : sous les paillettes, le stress !

    01:12:07||Ep. 143
    Vous vous rappelez, les JO ? Et cette cérémonie d'ouverture complètement folle, sous une pluie battante avec des êtres pailletés et déjantés au genre incertain qui dansaient autour de Philippe Katherine en schtroumpf ? Alors moi, il y en avait plusieurs que j'avais reconnus dans la troupe parce qu'il se trouve que je fais partie des + de 500 000 télespectateurices de "Drag race France". Vous savez, cette émission de France télévision qui est un peu le "top chef" des drag queens. Entre ça et les spectacle de drags dans les cabarets parisiens qui se donnent à guichet fermé, il faut reconnaître que le drag est clairement tendance. Mais avec mon regard "thune", je me suis forcément demandé : d'où sortent ces talents et ces tenues et ces perruques et cet art du make up qui nous séduisent et nous amusent ? Et combien ça coûte en faux-cils et faux seins pour arriver à des résultats aussi bluffants ?Grâce à Minima Gesté, la plus parisienne des drags toulousaines, je vous propose d'aller regarder dans le décolleté de ces créatures nocturnes, là ou elles rangent leur portefeuille bien sûr. Mais ne vous attendez pas à un entretien gentillet entre métier passion et clubbing, Ah non, contre toute attente, le drag nous fait basculer dans un monde ultra libéral, très compétitif, où seules les meilleures business girls gagnent. Et à notre époque où le CDI bat de l'aile, où le monde professionnel nous incite de moins en moins à faire carrière dans une boîte, et de plus en plus à être notre propre patron, ou notre propre micro-patron, et aussi peut-être notre propre produit, et notre propre attachée de presse, et notre propre comptable.. eh bien le parcours de Minima Gesté résonne comme une trajectoire finalement beaucoup plus classique qu'on ne l'attendait.Vous allez voir, à la fin de cet entretien, vous réaliserez qu'on est très nombreux, nombreuses en réalité, chacun dans nos domaines, à nous battre pour survivreéconomiquement comme autant de petites drags sans perruques et sans make up.La masterclass de la win à paillettes, c'est tout de suite, bonne écoute !
  • EXTRAIT - épisode 143 // "Le côté "Ecole de commerce" du drag"

    01:42|
    Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi !
  • 142. Mamans solos : bienvenue dans la famille “mono-pas-rentable”

    45:22||Ep. 142
    Elles sont nombreuses les femmes seules à élever leurs enfants : plus d'un million et demi en France.On les voit peu, on les entend peu, et pour cause : les mère solo sont pressées. Elles ont des courses à faire, des dîners à préparer, des enfants à emmener chez le médecin. Bref, la mère solo est quelquefois (souvent) au bout du rouleauMais dans cet épisode de Thune, on ne va pas uniquement parler de sa charge mentale. Avec Johanna Luyssen, journaliste et autrice de l’essai “Mères solo, le combat invisible” (éditions Payot) on va surtout essayer de comprendre ce qui pêche dans le système et pourquoi chez les mères, "célibataire" rime trop fréquemment avec "précaire".Crédit photo ©Marie Rouge.Si vous le pouvez, merci de soutenir Thune sur Tipeee. Pour que le projet continue, en toute indépendance.
  • 141. Merci patron ! (2/2) Le fabuleux destin d'un ouvrier Michelin

    33:14||Ep. 141
    Je vous avais promis une surprise à la fin du dernier épisode, et la voici ! Jean-Michel Frixon a franchi une barrière invisible le jour où il a décidé de raconter sa vie d'ouvrier dans un livre. Cela lui a ouvert les portes d'une seconde carrière. Aujourd'hui, les grands patrons lui demandent conseil et pour certains, c'est la première fois qu'ils échangent vraiment avec un "col bleu" tout droit sorti des usines. Est-ce que ça l'a rendu riche ? Est-ce qu'il a du mal à quitter "sa place" ? En tout cas, il a enfin l'impression d'avoir "de la valeur", et depuis, tout est possible. Bonne écoute !Si vous le pouvez, merci de soutenir Thune sur Tipeee. Pour que le projet continue, en toute indépendance.
  • 140. Merci Patron ! (1/2) A l'usine, on gagne "sa vie"

    48:00||Ep. 140
    Ca veut dire quoi "gagner sa vie" ? Un coach thune que j'avais interviewé au tout début de notre podcast (épisode #30) m'avait dit d'un ton empreint de sagesse "mais c'est une illusion de croire qu'on gagne sa vie, puisque sa vie, on l'a déjà !". Sur le moment j'avais trouvé ça smart, et c'est vrai que dans de nombreuses discussions autour de l'argent, j'avais gardé sa petite remarque en tête.Et puis, pour ce nouvel épisode, j'ai interviewé Jean-Michel Frixon. Son CV tient en une très grosse ligne : "ouvrier Michelin pendant 43 ans". Il est rentré dans l'entreprise en 1977 (quand je suis née !) et il en est sorti en 2019. Michelin, les 3/8, la production, la chaîne, c'est devenu... sa vie. Et s'il y est retourné tous les jours, c'est uniquement pour la gagner. Et, vous allez l'entendre, lorsqu'il a frôlé le licenciement, sa vie, il a bien cru la perdre, et c'était vrai.Dans notre podcast, chaque semaine, on interroge de quoi la thune est le nom dans nos existences. Mais aujourd'hui, on revient aux basics : la thune, c'est ce qui te permet de payer ton loyer, de te nourrir, et de nourrir tes enfants. La thune, c'est la base, nécessaire si ce n'est suffisante. Et quand on est rappelé constamment au fait que l'argent prend une telle place dans notre existence, il nous façonne avec précision, jusqu'au plus profond de notre identité. Bonne écoute !Si vous le pouvez, merci de soutenir Thune sur Tipeee. Pour que le projet continue, en toute indépendance.
  • EXTRAIT - épisode 140 // "Ce regard de mépris, quand on est ouvrier, oui, je l'ai senti bien sûr"

    01:03|
    Voici un court extrait de l'épisode qui sort ce jeudi !
  • 139. Combien gagnent les influenceurs (pour de vrai) ? Épisode 2/2

    32:58||Ep. 139
    Dans ce second épisode consacré aux influenceurs et autres créateurs de contenus, nous sommes toujours avec Émilie Le Guiniec. Au programmes, des chiffres - même si vous le comprendrez, les fourchettes sont très larges - puis des digressions sur la recherche d'authenticité tellement prisée des annonceurs, la santé mentale, et il sera aussi question d'ascenseur social.Si vous le pouvez, merci de soutenir Thune sur Tipeee. Pour que le projet continue, en toute indépendance.