Subversives

Vous êtes là. Mais vous rêvez de partir. De quitter la pièce. De vous soustraire à l’échange.Et pourtant, vous restez. Par politesse. Par peur. Par habitude.Dans cet épisode, nous vous proposons d'explorer l’art de disparaître sans bruit.De s’éclipser sans s’excuser. De préserver son intégrité tout en restant civilisée.Car parfois, la subversion commence par une fugue intérieure. Une porte qu’on ferme en soi, les yeux ouverts.

Manger. Boire. Jouer.Trois verbes simples. Trois gestes fondateurs.Et pourtant, dans le monde du travail, ils deviennent des codes, des seuils, des portes d’entrée.Dans cet épisode, nous vous invitons à les réinterpréter pour reprendre la main sur votre trajectoire.

Une manière de rester visible, même quand le savoir nous échappe.Dans cet épisode, nous vous invitons à explorer l’art du bluff comme une subversion douce, une liberté à saisir, une audace à incarner.

Talons aiguilles ou pieds nus, ce qui compte, c’est la liberté de mouvement. Dans cet épisode, nous explorons le corps comme territoire intime et politique. Une réflexion sur les normes, les apparences, et l’art de marcher dans le monde sans perdre son ancrage.

Vous vous sentez parfois en décalage, comme un pingouin au Sahara ? Cet épisode vous invite à explorer ce flou entre ce que vous êtes et ce que vous montrez. Une plongée dans l’art de la posture, de l’alignement, et de la subversion douce. Pour celles et ceux qui veulent cesser de se perdre dans les regards des autres.

Distraire n’est pas fuir. C’est maîtriser l’art de la diversion.Il y a des moments où on n’a juste pas envie. Pas envie d’être là, d’écouter, de répondre, de jouer le jeu.Ce nouvel épisode parle de cette élégante technique : détourner les regards, déplacer les sujets, esquiver avec panache. Pas pour manipuler, mais pour respirer.Réunions qui traînent, conversations creuses, pressions déguisées ? Il est temps d’apprendre l’art du nuage cognitif. Une brume savamment orchestrée pour se préserver… sans disparaître.

Cet épisode explore la délicate mécanique de la déception : celle qu’on ressent, celle qu’on inspire. Il aborde ces instants inconfortables où l’on se sent inadéquat, face à des attentes non comblées ou des jugements silencieux. Comment trouver l’équilibre entre nos propres choix et le regard des autres ? Faut-il systématiquement répondre aux projections qu’on nous impose ? Et à quel moment devient-il nécessaire d'établir des limites claires pour ne pas se perdre soi-même ?À travers des situations concrètes – familiales, sociales, professionnelles – on décortique le malaise de ne pas être à la hauteur, le poids du désaveu, et cette quête de repères dans un univers où tout semble fluctuer. C’est une invitation à reconnaître sa vulnérabilité, à se réconcilier avec l’imperfection, et à choisir ses combats avec discernement.