Vivre à 26 dans une maison

Étudiante, Lola est passée par l’étape de la chambre de 9m2 du CROUS. Mais l’expérience de la solitude ne lui a pas plu. Elle a d’abord rejoint une colocation de 13 personnes, avant de doubler la mise : aujourd’hui, Lola vit avec 26 autres personnes dans un ancien hôtel. Forcément, elle a pas mal d’anecdotes à raconter.

Ma coloc XXL

Quand elle est arrivée en France, Yasmine a passé quatre ans dans un hôtel social, avec sa mère, son frère et sa sœur.

Quand elle est arrivée en France, Yasmine a passé quatre ans dans un hôtel social, avec sa mère, son frère et sa sœur. Parfois, elle aimerait oublier cette période. Pendant longtemps, elle a eu honte de sa situation, qu’elle cachait à ses copines du collège. Maintenant qu’elle habite dans un logement décent, elle est prête à en parler. Illustration © Léa Ciesco (<a href="https://www.instagram.com/oscael__/" rel="noopener noreferrer" target="_blank">@oscael_</a>) // Musique Kiala OgawaJournaliste : Perrine Bontemps

Vivre à l’hôtel, c’était « la honte » 

Un quart des élèves en situation de handicap n'ont pas de place à l'école à la rentrée. Plus jeune, Julien a été pris en charge par des établissements spécialisés, censés l’aider à s’insérer. Mais il a eu l’impression d’être coupé du monde.

En cette rentrée 2023, un quart des élèves en situation de handicap n'ont pas de place à l'école. Plus jeune, Julien a été pris en charge par des établissements spécialisés, censés l’aider à s’insérer. Mais il a eu l’impression d’être coupé du monde.

Handicap : vivre dans une bulle

Julie, rédactrice en cheffe de la ZEP, et Ariane, lycéenne, étaient invitées sur France Info pour parler du lycée Rabelais. Pendant six mois, les journalistes de la ZEP ont accompagné des jeunes de cet établissement du 18ème arrondissement de Paris dans l'élaboration de leurs récits. Résultat : leurs témoignages sont disponibles dans un supplément du journal Libération, paru le 15 septembre.

La ZEP s'invite chez France Info

Être élève au lycée français de Tanger, ça veut dire être tiraillé entre deux, voire trois langues différentes. De quoi avoir l’impression de perdre son identité ou sa culture, comme le racontent Mamoun, Narjis et Baptiste.

Être élève au lycée français de Tanger, ça veut dire être tiraillé entre deux, voire trois langues différentes :-l’arabe de tous les jours, qu’on parle à l’épicerie du coin-l’arabe littéraire, qu’on peut apprendre en cours-et le français qu’on entend partout, dans les couloirs du lycée et ceux de la maison De quoi avoir l’impression de perdre son identité ou sa culture, comme le racontent Mamoun, Narjis et Baptiste. Illustration © Léa Ciesco (<a href="https://www.instagram.com/oscael__/" rel="noopener noreferrer" target="_blank">@oscael_</a>) // Musique Kiala OgawaJournalistes : Aïda Amara et Elliot Clarke

Lycée français de Tanger : on parle quelle langue ?

Vivre au Maroc et être scolarisé au lycée français, c'est parfois le grand écart, quelle que soit sa nationalité. Fatine, Yara et Manon nous racontent.

Cette année, on fait notre rentrée au Maroc, et pas n'importe où : dans le plus vieux lycée français du pays, le lycée Regnault de Tanger. Deux journalistes de la ZEP, Aïda Amara et Elliot Clarke sont parti·es en immersion pendant deux semaines dans cet établissement d’excellence. Il a ouvert ses portes en 1913, et depuis 110 ans, il accueille chaque année 600 élèves, des jeunes Marocains et Français, de la sixième à la terminale. C'est une institution prestigieuse, par laquelle sont passés plusieurs ministres marocains, l’écrivain et lauréat du prix Goncourt Tahar Benjelloun, ou encore Jean-Luc Mélenchon. Mais vivre au Maroc et être scolarisé au lycée français, c'est parfois le grand écart, quelle que soit sa nationalité. Fatine, Yara et Manon nous racontent. Illustration © Léa Ciesco (<a href="https://www.instagram.com/oscael__/" rel="noopener noreferrer" target="_blank">@oscael_</a>) // Musique Kiala OgawaJournalistes : Aïda Amara et Elliot Clarke

La ZEP fait sa rentrée au lycée français de Tanger !

Oumaïma a lancé son activité autour des cheveux, en collaboration avec une amie de sa sœur. Elles ont commencé avec leur propre matériel et un peu d’argent. 

« Le premier employeur de la Seine-Saint-Denis », c’est « le trafic de drogues ». Voilà la phrase prononcée ce mardi 4 juillet par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux chez nos confrères de France Inter. Depuis, il a présenté ses excuses, mais les réactions outrées sont nombreuses. Nous ici à la ZEP, on voudrait juste présenter quelqu’un à M. Roux de Bézieux : Oumaïma, 18 ans, lycéenne à Noisy-le-Sec, dans le département de la Seine-Saint-Denis. Lui qui aime beaucoup les gens qui se lancent et qui montent leur entreprise en toute légalité, on s’est dit qu’elle pourrait lui plaire.&nbsp;Oumaïma a lancé son business autour des cheveux, en collaboration avec une amie de sa sœur. Elles ont commencé avec leur propre matériel et un peu d’argent. Rapidement, en voyant leur business décoller, elles ont décidé de trouver un fournisseur et d’engager une nouvelle employée. Aujourd’hui, Oumaïma souhaite se lancer seule dans un nouveau projet. Illustration © Léa Ciesco (<a href="https://www.instagram.com/oscael__/" rel="noopener noreferrer" target="_blank">@oscael_</a>) // Musique Kiala OgawaJournalistes : Maël Le Diraison et Perrine Bontemps

À 18 ans, à la tête de son business en Seine-Saint-Denis

Sarah, Léna, Shisko et Essil nous racontent ce moment, à l'adolescence, où l'on se rend compte que l'on n'est plus un enfant.

Sarah, Léna, Shisko et Essil nous racontent ce moment, à l'adolescence, où l'on se rend compte que l'on n'est plus un enfant. Illustration © Léa Ciesco (<a href="https://www.instagram.com/oscael__/" rel="noopener noreferrer" target="_blank">@oscael_</a>) // Musique Kiala OgawaJournalistes : Catherine de Coppet et Léa Mehrhardt

Comment j'ai grandi

Rim et Eline sont tiraillées depuis toujours entre deux pays. Leur double culture attise la curiosité, mais aussi les remarques déplacées.

Rim et Eline sont tiraillées depuis toujours entre deux pays. Leur double culture attise la curiosité, mais aussi les remarques déplacées. Illustration © Léa Ciesco (@oscael_) // Musique Kiala OgawaJournaliste : Lucas Martin-Brodzicki

Double culture : arrêtez de nous demander de choisir

Le média qui mixe la parole des jeunes pour une meilleure écoute de notre époque.

Bienvenue sur le podcast de la ZEP, le média qui mixe la parole des jeunes pour une meilleure écoute de notre époque.

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