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Rester Vivante(s). Le podcast pour combattre les idées reçues sur les violences dans le couple

11 épisodes pour identifier et argumenter contre les 11 principales idées reçues sur les violences au sein du couple qui freinent l’identification, la prise de conscience du danger et donc la prévention. Le podcast a été

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  • 11. Idée reçue n°11 : l'entreprise n'est pas armée pour faire face aux violences conjugales

    37:32||Saison 3, Ep. 11
    A l'occasion de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars, nous ouvrons cette saison 3 avec un épisode bouleversant enregistré chez ba&sh dans le bureau des fondatrices de la maison.Chez ba&sh, contrairement à l'idée reçue numéro 11, l'entreprise est armée pour faire face aux violences conjugales.Depuis sa création, ba&sh place les femmes au cœur de sa vision et agit concrètement pour leur émancipation.Barbara Boccara et Sharon Krief sont particulièrement impliquées sur le sujet des violences faites aux femmes, en employant 1400 personnes dont 80 % de femmes, elles ont toujours été en alerte sur ces sujets tout comme leur Directrice des Ressources Humaines Tiphaine Tenenbaum très au courant et formée à la détection des signaux faibles.Autour du micro de Julie Mamou-Mani et de Sarah Barukh, vous pourrez écouter Barbara, Sharon, Tiphaine et Ewa collaboratrice chez ba&sh, longtemps victime d’un mari violent qui l’a plus tard confrontée à une situation terrible. Elle explique comme les ressources qu’elle a pu trouver au sein de son entreprise ont été déterminantes dans sa manière d’affronter le drame et se reconstruire. Preuve de plus que la frontière entre vie privée et vie professionnelle n’existe plus quand les salariés sont en zone critique.Un épisode puissant et inspirant pour toutes les entreprises.

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  • 10. Idée reçue N°10: Quand on reste, on n’a pas le droit de se plaindre

    38:47||Saison 2, Ep. 10
    Aujourd’hui on ne doit plus demander à une femme victime de violences et d’emprise pourquoi elle n’est pas partie, car c’est encore lui faire porter le poids de la culpabilité. La question ne doit plus être pourquoi elle est restée, mais comment lui, le bourreau, a-t-il fait pour qu’elle reste ? Comme disait Simone de Beauvoir, nommer, c’est dévoiler et dévoiler c’est agir. Il faut poser des mots sur les maux, définir des termes comme le contrôle coercitif. Il est urgent et nécessaire de reconnaître cette notion dans le code pénal français, qui, pour l’instant n’existe que dans quelques cas de jurisprudence. Pour cet épisode numéro 10 consacré au contrôle coercitif, Julie Mamou-Mani est entourée d’Isabelle Drean-Rivette, magistrate et spécialisée dans cette question, d’Andreea Gruev-Vintila, docteure en psychologie et autrice du livre Le contrôle coercitif au cœur des violences conjugales ainsi que de Justine, ancienne victime de violences psychologiques et physiques de la part de son ex-conjoint. Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org 
  • 9. Idée reçue N°9 : Les victimes sont toujours issues de milieux défavorisés

    36:03||Saison 2, Ep. 9
    Idée reçue N°9 : Les victimes sont toujours issues de milieux défavorisésContrairement aux idées reçues, les violences conjugales ne sont pas un problème de classes sociales : elles concernent aussi bien les intellectuels, les beaux quartiers, les CSP+ que les milieux populaires. Les chiffres et les témoignages le prouvent, personne n’est épargné. Magistrates, actrices, cheffes d’entreprises, médecins ou cadres supérieures… aujourd’hui, elles sont de plus en plus nombreuses à oser parler ou porter plainte, malgré la loi du silence, le sentiment de honte et de culpabilité, la peur du déclassement et de l’isolement Pour déconstruire ce cliché, Julie Mamou-Mani est entourée de trois spécialistes de la question : Isabelle Rome, ancienne ministre déléguée chargée de l’égalité hommes/femmes, Hélène Romano, docteure en psychopathologie, droit privé et sciences criminelles, ainsi que Laurène Daycard, journaliste, autrice notamment de Nos absentes, À l'origine des féminicides.Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org 
  • 8. Idée reçue N°8 : Si elle me dit que ça va, je la crois ?

    37:03||Saison 2, Ep. 8
    Idée reçue N°8 : Si elle me dit que ça va, je la crois ? Dans les phénomènes d’emprise, la victime est souvent dans le déni et se raconte une belle histoire d’amour bien sûr. Et elle répète autour d’elle que tout va bien. Doit-on continuer à la croire ? Il y a pourtant des signes qui ne trompent pas et qu’il faut apprendre à décoder.Si on a des doutes sur la situation que vit notre fille, notre amie, notre collègue…. en vrai on fait quoi ? Comment ne plus se satisfaire de ses « Tout va bien » qui cachent une sombre réalité ? Comment repérer les femmes victimes de violences de la part de leur conjoint ? Pour cet épisode numéro 8 où l’on parlera de signaux faibles et d’écoute active, Julie Mamou-Mani reçoit Natacha Coudray, hypnothérapeute, fille de Nadia Guillemain morte de féminicide en 2022, Ludivine Casilli, ancienne victime, coach, thérapeute et bénévole pour l’association 125 et après, ainsi que Clémentine Lévy, formatrice à la FNSF qui sensibilise les entreprises à la détection des victimes de violences conjugales.Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org
  • 7. Idée reçue N°7 : Les violences sont toujours dues à la masculinité toxique

    35:33||Saison 2, Ep. 7
    Idée reçue N°7 : Les violences sont toujours dues à la masculinité toxiqueAu début, les futurs auteurs de violences conjugales sont souvent de beaux princes charmants, charismatiques et pleins d’attentions. Si tous les agresseurs étaient des brutes, la plupart des femmes fuiraient en courant, non ? Alors qu’est-ce qui fait qu’on est attirées par ce genre de personnalités à la masculinité dite toxique ? Y aurait-il un profil-type d’hommes violents ?  En réalité, on ne devrait pas parler d’hommes violents, mais d’hommes avec des comportements violents. Une partie d’entre eux ne jouissent pas de la souffrance qu’ils causent, mais sont le résultat d’une histoire, d’une somme de traumatismes. Dans cet épisode numéro 7 du Podcast Rester Vivante(s), on a voulu s’interroger sur cette violence. D’où vient-elle ? Et surtout comment la combattre ? Pour répondre à cette vaste question et trouver des solutions, Julie Manou-Mani est entourée d’Anne-Charlotte Jelty, une des rares expertes dans la prise en charge des auteurs de violences conjugales et Anaïs Vois, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Elles sont accompagnées d’Alexandre Ciolek, réalisateur, qui nous apporte son témoignage d’ancienne victime de violences de la part de son père lorsqu’il était enfant.Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org
  • 6. idées reçues n°6 : Les violences conjugales ne touchent pas les couples LGBT+

    33:48||Saison 2, Ep. 6
    Quand on pense violences conjugales, on pense femmes en souffrance, patriarcat, masculinité toxique, hétérosexualité et relations de domination. Si tout cela est vrai, peut-on réduire le phénomène à ces seules représentations ?La mort de Valérie Dryf, tuée par sa femme prouve le contraire. Et elle n’est pas un cas isolé. Le tabou autour des violences conjugales au sein des couples LGBT serait-il une discrimination supplémentaire ? Un schéma à déconstruire d’urgence.Pour en parler Julie Mamou-Mani est entourée de Vanessa Ricoul et Johan Cavirot l’actuelle présidente et l’ex président de l'association formidable FLAG mais aussi Maitre Anne-Sophie Laguens avocate au Barreau de Paris et Florence Dauchez journaliste et créatrice du media Visible et pour 125 et des milliers elle a écrit l’histoire de Valérie tuée par sa femme, dont la sœur ne parvenait pas à faire reconnaitre le féminicide.
  • 5. Idée reçue n°5 : tu n’avais qu’à partir !

    38:10||Saison 1, Ep. 5
    Idée reçue n°5 : tu n’avais qu’à partir ! "J’ai fui avec mon bébé dans la nuit du 5 au 6 juin 2020 pour échapper à la violence de son père. Chez mes parents, en train de chercher des réponses à toutes mes questions, je me suis interrogée sur ce qui m’avait empêchée de partir, dix ans durant. Comment avais-je pu accepter tout ça ?", raconte Sarah Baruk dans le livre 125 et des milliers. On dit toujours aux femmes de partir, on les culpabilise de rester dans une situation où elles ne sont pas respectées, on les juge de s’être laissé faire, de ne pas avoir porté plainte… Sauf que partir, ok… Mais pour aller où ? Pour faire quoi ? Avec quels amis ? Quel argent? Et avec quelle force ?Et quand on arrive enfin à partir, à se libérer de l’enfer, est-ce qu’on échappe vraiment au danger ?Julie Mamou Mani tord le cou aux idées reçues qui entourent le départ d'un foyer violent avec Karen Noblinski, avocate pénaliste, spécialisée dans le harcèlement scolaire et le cyberharcèlement, Fabienne Le Roy, présidente de Chambre et coordinatrice par intérim du Pôle VIF à la Cour d’appel de Versailles, et Sophie Huart, directrice commerciale & marketing et bénévole pour 125 et après, l’association fondée par Sarah Barukh, qui a fui un compagnon violent.Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test "suis-je victime de violences" sur www.125etapres.org