Quand la musique est bonne

"Maison", un deuxième album puissant, intime et lumineux, où Coline Rio ouvre grand les portes de son monde intérieur.Après s’être imposée durablement dans la chanson française, Coline revient avec un opus profond qui explore nos blessures, notre capacité à nous relever, nos engagements, nos héritages et tout ce qui, au fil du temps, construit une personne.Écrit entre l’hiver et l’été 2024, nourri par des retraites artistiques et des expériences de vie intenses, l’album rassemble 12 chansons comme autant de pièces d’une maison vivante, sincère et habitée. La densité émotionnelle de sa voix, la justesse de ses mots et son regard profondément humain traversent tout le disque.On y croise les blessures qu’on apprend à transformer (Sous la peau), la reconstruction et l’amour propre (Refuge), la dépression amoureuse (Manteau chagrin), les choix et les repères de l’adulte qu’on devient (Ma maison, Lettre à soi), mais aussi la transmission familiale, l’empathie, l’engagement, la liberté d’aimer et la résistance face aux injustices. "Maison" est un lieu où l’on tombe, où l’on se relève, où l’on se retrouve.Avec une hospitalité bouleversante, Coline Rio nous invite à entrer dans cette maison intérieure qu’elle a bâtie note après note.

Pop-rock viscéral, émotions à vif et mélancolie assumée : Sacha dévoile enfin son premier EP, un projet intense où l’intime devient une force.À 26 ans, l’auteur-compositeur-interprète impose une signature singulière sur la scène pop française. Une voix reconnaissable, une écriture sensible, et cette manière rare de transformer les blessures et les doutes en mélodies qui résonnent longtemps.Depuis ses débuts précoces, de The Voice à son aventure au sein du groupe Dante, Sacha n’a cessé de tracer sa route. Aujourd’hui, avec Reptile, il ouvre un nouveau chapitre : plus libre, plus sombre, plus vrai. Aux côtés de son ami et producteur Nowan, il façonne un univers où se croisent ses influences de Bowie à Barbara, dans une pop rock immersive, organique, taillée pour le live.On y retrouve notamment “Papa”, son premier single touchant, et “Désaccords”, un titre pop-rock brûlant qui capture l’instant précis où un amour se défait : urgence, passion et fin du monde en filigrane.Reptile, c’est l’instinct, la peau qui mue, les émotions qui mordent un peu trop fort. Un premier EP brut et vibrant, que Sacha portera très bientôt sur scène, entouré de ses quatre musiciens.

Mauvaise Bouche est venue nous présenter "La vie d’adulte", un premier album aussi intime que générationnel, où chaque chanson semble dire tout haut ce qu’on pense tout bas.Mauvaise Bouche, c’est la voix et la vie d’Emma : des mélodies pop qui restent en tête, des textes sincères qui bousculent, et un franc-parler qui donne toute sa force au projet. Passée par le conservatoire, formée au classique puis au jazz, elle transforme aujourd’hui ses doutes, ses joies, ses névroses et ses peurs en chansons francophones profondément humaines.Une authenticité brute, dans la lignée des artistes qu’elle admire, à commencer par Billie Eilish.Avec La vie d’adulte, elle explore ce passage aussi brutal que poétique : quitter l’enfance, jongler avec la santé mentale, le capitalisme, le patriarcat, l’amour, la lassitude et l’espoir. L’album oscille entre introspection et respirations plus légères, dessinant un équilibre fragile mais vrai.Un récit personnel qui devient universel, parce qu’on traverse tous, un jour, ce moment où l’on se découvre adulte sans l’avoir vraiment décidé.

Porté par une voix profonde et un sens aigu de la narration, Alexandre Sookia vient du monde de la musique de film (Juste un regard, Léo Mattéï) et façonne aujourd’hui une folk pop française intime et moderne.Il vient nous présenter son premier EP : Porte BagageCe projet de six titres explore les liens qui nous construisent, les personnes qui restent, celles qui partent, et tout ce qu’on transporte malgré nous. Il y aborde la paternité (Noor Monamour), le deuil (Attends), l’amour passionnel (Peau de Miel), la mélancolie (La Lune, Mélancolie Cruelle) et l’attachement à nos bagages intérieurs (Porte Bagage).Avec une écriture fine, pudique et personnelle, Alexandre signe un EP sincère, contemplatif et profondément humain. Un projet qui dévoile une sensibilité rare, où la simplicité apparente cache une grande profondeur.

Jeremy Kapone lève le voile sur The BridgeActeur, chanteur, dessinateur, mais surtout songwriter dans l’âme, Jeremy Kapone signe avec The Bridge un EP intime et lumineux.À travers 6 titres folk-rock aux accents pop, il construit une passerelle entre mélancolie et vitalité, entre la fragilité des émotions et la puissance des grands espaces. Nourri de l’héritage des folksongs à la Neil Young, The Bridge raconte les voyages intérieurs comme les roadtrips, les quêtes de liberté comme les instants suspendus. Une musique organique, chaleureuse et solaire, qui reflète l’artiste : libre, sincère, hors des codes. The Bridge, disponible partout.À vivre aussi sur scène le 8 novembre 2025 aux Trois Baudets.

Cette semaine dans Quand la musique est bonne, Elsa reçoit Chrystelle pour parler de son premier EP "Middle".Un projet intime et puissant, où l’artiste mêle chanson française alternative et poésie des non-dits avec une sincérité bouleversante.Avec sa voix claire et ses textes sensibles, Chrystelle chante la beauté de l’ordinaire (Middle), l’impossible d’un amour (Comme un garçon), l’hommage à son père (Mon père) ou encore une conversation touchante avec son enfant intérieur (Ma fille). Entre Beyrouth et la France, entre fragilité et force, Chrystelle livre un premier EP sincère et lumineux.

Cette semaine dans Quand la musique est bonne, on reçoit Cenzo, jeune artiste originaire de Tahiti, qui vient de sortir son tout premier EP : Les papillons dorment en hiver.Arrivé en France à 18 ans sans repère, il a tout construit à force de passion, d'intuition et de travail : des scènes de Bordeaux jusqu’à la Star Academy, des morceaux écrits en solo jusqu’à l’entourage fidèle qui l’accompagne aujourd’hui. Dans cet EP intime et sincère, Cenzo explore les montagnes russes d’une rupture, les doutes, les élans, les sacrifices aussi. Entre influences pop anglo-saxonnes, variété française et mélodies lumineuses, il trace une voie singulière : la sienne.

Cette semaine dans Quand la musique est bonne, on reçoit The Doug pour parler de son EP "Grandes surfaces", un projet brut, tendre et lucide.Avec ses mots qui cognent juste, The Doug rend hommage aux lieux de nos vies de galériens : le Leader Price, le lycée bordélique, la boîte de nuit où on revient toujours, le McDo, les stades, les cinés à pas cher… Des espaces souvent moqués ou ignorés, mais où se tissent nos souvenirs, nos galères, nos joies et nos amours.Il y parle de classe sociale, de survie, de liens, sans misérabilisme ni romantisation. Juste avec sincérité. Comme il le dit lui-même : « J’essaie d’apporter une vision naturaliste à mes chansons. Je rends hommage à nos bonheurs de prolos et de laissés pour compte. »Grandes surfaces est dispo partout.