Prendre l'air et la chanson

Prendre l’air et la chanson, c’est une série balado et parcours audio qui nous aidera à élucider le plus grand des mythes : Pourquoi y a-t-il autant de musicien.ne.s à Petite-Vallée? Présentée par Stéphan Côté, arrière petit-fils de Didier Lebreux, elle vous amène sur les traces de l’origine d’un village transporté par la musique au fil d’une balade formidable pour la santé du cœur, de la tête et des jambes. Bonne écoute!

Bienvenue à la Longue Pointe, là où tout a commencé. Prenez une grande bouffée d’air salin et laissez-vous transporter par la riche histoire d’un lieu mythique ayant été bercé par la musique au fil des générations. Dans ce premier épisode du balado « Prendre l’air et la chanson », on retrouve Alan Côté, Denise et Laurette Lebreux ainsi que Louis-Jean Cormier, tous.tes les quatre faisant partie de la fière et heureuse descendance de Didier Lebreux. Iels nous partagent leurs souvenirs de cet endroit rempli de vie, de résilience et de magnifiques fantômes. Un endroit où ça sent la mer à plein nez, envers et contre tout. 

Vous vous retrouvez maintenant en haut de la côte de la Longue Pointe. Profitez de la vue et laissez-vous envelopper par sa musique qui aura su en inspirer plus d’un.e au fil des années. Alors que vous continuez votre marche sur la 132 vers le havre de pêche, Andréa, Denise et Jean-Maurice Lebreux vous ouvrent la porte de leurs maisons et vous invitent à danser au son des violons. Même pas besoin d’enlever vos souliers! Cette envie effervescente de fêter et de se rassembler aura finalement donné naissance aux festivités de Petite-Vallée. Ce deuxième épisode du balado « Prendre l’air et la chanson » nous rappelle que le Festival en chanson, c’est avant tout une grande fête de famille. 

Vous voilà maintenant au havre de pêche, un lieu ayant permis à plusieurs pêcheurs d’accoster leur bâteau pour gagner leur pain au fil des époques. Rendez-vous jusqu’au gazébo alors que le troisième épisode du balado « Prendre l’air et la chanson » vous raconte l’histoire tragique des frères Lebreux, un drame nous rappelant que malgré les tristesses et ses silences, la misère ne peut venir à bout de la vie et de sa musique. Une fois vos yeux mouillés séchés par le vent, retournez sur le chemin principal, tournez à droite puis à gauche vers la rue Côté et découvrez l’importance du théâtre ainsi que du Camp chanson au sein de la communauté de Petite-Vallée en compagnie d’Andréa Lebreux, de Marc-Antoine Dufresne, de Simon Côté, des soeurs Jeanne et Mathilde Côté et de Manuel Gasse.

C’est l’heure de se rendre « dans l’fond »! Une fois arrivée au bout de la rue Côté, observez ce qui vous entoure. À votre droite : la maison de Didier Lebreux. À votre gauche : le hangar où il fabriquait ses fameux violons. Devant vous : le Mont-Didier et sa forêt. Avec un peu de chance et en fermant les yeux, vous pourrez entendre les échos d’une soirée festive. C’est qu’il y en aura eu d’la visite dans ce coin de pays-là! Dans ce quatrième épisode du balado « Prendre l’air et la chanson », Denise et Laurette vous partagent des souvenirs de la maison familiale. Peu importe l’endroit et les mouvements, une constante demeure : où c’qu’ya du Lebreux, y’a d’la musique!

Voici maintenant le temps de redescendre vers la Longue Pointe. Pour vous accompagner, le sixième et dernier épisode du balado « Prendre l’air et la chanson » revient sur la question initiale : Pourquoi y a t-il autant de musicien.ne.s à Petite-Vallée? Afin d’y répondre, on invite l’historien Pascal Alain, les sœurs Jeanne et Mathilde Côté, Denise Lebreux, Manuel Gasse, Marie-Pier Arthur et Louis-Jean Cormier. La réponse, se cache probablement dans les cuisines des maisons, celles qui ont fait tant chanter et danser le village au fil des années et c’est ce grand héritage familial transmis de générations en générations qui permet aujourd’hui de faire de Petite-Vallée un lieu de tous les possibles. 

Pour accompagner votre balade sur le chemin de la marée basse, Stéphan Côté vous raconte des histoires qui goûtent l’eau salée. Découvrez celle de son père Ti-Li ainsi que la légende petite-valléenne «  La peau de chevreuil », le tout en vous laissant charmer par l’horizon d’un fleuve qui se prend pour la mer.