Passion Vosges

La forêt vosgienne est-elle en bonne santé ? L’eau est-elle toujours une ressource abondante en montagne ? Pour répondre à ces questions à l’occasion de la sortie de notre magazine Passion Vosges dédié à la traversée du massif, nous avons retrouvé Emilie Beaulieu, enseignante-chercheuse à l’École nationale du génie de l'eau et de l'environnement de Strasbourg, sur les hauteurs d’Aubure, où les scientifiques étudient le devenir de la ressource en eau en moyenne montagne et la santé des sols et des forêts depuis 1986.

Qu’est-ce qu’une réserve naturelle ? Que peut-on y observer et quelle réglementation doit-on respecter quand on y randonne ? Pour répondre à ces questions, nous avons retrouvé Cyril Gérard, conservateur de la réserve naturelle nationale du Tanet-Gazon du Faing, sur les hauteurs d’Orbey en parcourant nous aussi une partie du GR®5 en février dernier, à l’occasion de la sortie de notre magazine Passion Vosges dédié à la traversée du massif.

Quand et pourquoi a été créé le rectangle rouge, symbole de la traversée des Vosges ? Comment et par qui sont balisés et entretenus aujourd’hui les sentiers ? Pour répondre à ces questions, nous sommes allés marcher au départ du GR®53 à Wissembourg début février en compagnie d’Alain Ferstler, président de la fédération du Club vosgien, à l’occasion de la sortie de notre magazine Passion Vosges dédié à la traversée du massif.

“Le tricot et la couture, c’est pas pour moi” : Catherine Kuster a 58 ans, et son truc à elle, c’est de restaurer un château fort. C’est ce qu’elle fait depuis 2008 en compagnie des Veilleurs de Salm, dans la vallée de la Bruche, où je l’ai retrouvée.

Les traileurs prennent-ils le temps de profiter du paysage ? Pour Anne-Lise Collet, 48 ans et adepte de trail depuis une dizaine d’années, la réponse est oui. Pour en savoir plus, on est allé courir ensemble fin février, au-dessus de chez elle à Obernai, alors qu’elle préparait son premier ultra-trail, une course de 170 kilomètres.

Si les chamois du Hohneck avaient un photographe officiel, ce serait lui. Avec sa tenue de camouflage et son téléobjectif, Eric Babilon monte les voir aussi souvent que possible dans la vallée de Munster. Une passion qui dure depuis plus de 15 ans et que j’ai pu partager avec lui durant une matinée automnale fraîche et ensoleillée, juste avant les premières chutes de neige.