On n'a rien à cacher !

"Ma mère a eu une maladie psychologique qui s'est déclarée lorsque j'étais au lycée. Elle a dû être internée en psychiatrie et ça a créé pas mal de bazar dans toute notre famille."À l’occasion de la journée internationale de la santé mentale, notre équipe a choisi d’interroger Nathan qui a vu sa mère partir, du jour au lendemain, en hôpital psychiatrique.Dans ce podcast, Nathan nous explique non seulement les répercussions que cette épreuve a eu sur lui et sur toute sa famille mais aussi comment il a pu se reconstruire.Un récit empreint d'humilité et d'authenticité.Découvrez son interview dans un nouvel épisode du podcast "On n'a rien à cacher" proposé par le collectif ResKP

Dans le cadre de la Journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues, célébrée chaque année le 26 juin depuis 1987, par l'Assemblée générale de l'ONU, nous avons décidé de donner la parole à Déborah qui a été victime d'abus et consommatrice d'héroïne pendant de nombreuses années. Aujourd'hui libre de cette addiction, Déborah a accepté de nous raconter comment elle s'en est sortie. Découvrez son interview dans un nouvel épisode du podcast "On n'a rien à cacher" proposé par le collectif ResKP

À l’occasion de Pessah, la pâque juive, notre équipe a choisi d’interroger Pascale sur son parcours de juive messianique.« J’ai moi même fait mes expériences de conviction ! J'ai réalisé que Jésus est le messie et mon sauveur personnel. » Dans ce podcast inédit, Pascale nous explique la réaction de ses proches face à sa conversion, sa position face à l’antisémitisme actuel, l’évolution historique du judaïsme et la manière dont elle partage sa foi auprès de femmes juives.« À la sortie de la 2nde guerre, c’était très compliqué suite à la Shoah de partager l’évangile avec les juifs. (…) Aujourd’hui il y a plus d’ouverture. »Un récit de vie inédit, riche et passionné.Un podcast du collectif ResKP#pessah #reskp #onnarienacacher #juifpourjesus #juif #juifmessianique

D’après un récent rapport de l’UNICEF, le nombre d’enfants handicapés dans le monde serait estimé à près de 240 millions. Au regard de ces chiffres importants, on peut se demander si tous ces enfants ont vraiment la possibilité de grandir dans un milieu adapté à leur handicap. Malheureusement la réponse est non ! En France, par exemple, 11 000 enfants en situation de handicap seraient en attente de place dans un établissement spécialisé. En attendant, ils sont répartis dans des classes dites "classiques". Le problème, d'après Henrietta Fore, Directrice générale de l’UNICEF, c'est « Qu’il s’agisse de l’accès à l’éducation ou des livres que leur entourage pourrait leur lire à la maison, les enfants handicapés sont moins souvent inclus ou entendus dans quasiment tous les domaines évalués. Ces enfants sont trop souvent laissés de côté. »C'est justement cette exclusion intolérable qui, après avoir sauté aux yeux de Sarah alors qu'elle est toute jeune éducatrice spécialisée, l'a poussée à fonder avec son mari, une maison adaptée à ces enfants et pleine d'espérance !Ne manquez pas son interview exclusive, dans le cadre de notre podcast "On n'a rien à cacher", pour un épisode spécial "Podcasthon" !Si vous désirez aider financièrement Sarah et le lieu de vie l'espérance, rendez-vous ici.

"Pour faire cesser la maltraitance infantile, parlons-en !" Les enfants sont des êtres vulnérables qui doivent être traités de façon respectueuse et équitable."Mon père ne m'aimait pas"."J'avais peur que mon père s'en prenne à ma mère""J'ai toujours pensé que j'étais de trop"."J'ai tenté 3 fois de mettre fin à mes jours.Lorsqu'elle a fêté ses 12 ans, en soufflant ses bougies, Malaurie a fait le souhait de mourir avant ses 18 ans. La raison ? Elle n'avait aucun espoir en la vie. Elle pensait que si elle n'était pas née, elle n'aurait jamais subi et vu autant de violence dans sa famille.Pendant des années, Malaurie a donc fait partie de ces dizaines de milliers d'enfants enregistrés comme étant les victimes de maltraitance infantile.Aujourd'hui c'est en tant que jeune femme restaurée que Malaurie a choisi de sortir du silence pour raconter comment elle a pu se relever et se reconstruire.Un podcast du collectif ResKP

Je me sentais très mal dans ma peau ! Je n'avais pas envie d'être une fille...Ce que je ressentais c'était que j'étais un garçon dans un corps d'une fille et je trouvais ça très très injuste...Qui suis-je ? Suis-je une fille ou bien un garçon ? Depuis 2009, le 31 mars a été désigné comme la journée internationale de la visibilité Transgenre. Parler de la question de l'identité sexuelle n'est donc plus tabou... Au contraire ! On en parle de plus en plus et même, de plus en plus tôt. D'ailleurs, une circulaire officielle du ministère de l'éducation nationale ( datant du 29 septembre 2021) relative à l'accompagnement des enfants et des adolescents transgenres (dès la primaire) précise que : La transidentité est un fait qui concerne l'institution scolaire.Anne avait justement 5 ans quand cette "crise du genre" a débuté chez elle... Et dès son plus jeune âge, cette question de l'identité sexuelle était une véritable souffrance ! Anne avait l'impression d'être née dans le mauvais corps... Aujourd'hui, Anne a trouvé son identité et a accepté d'ouvrir son coeur pour nous raconter son histoire, avec beaucoup de pudeur et de courage. Ne manquez pas son incroyable témoignage dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher".Un podcast du collectif ResKP#reskp #genre #filleougarçon #sexe

"On ne nous dit pas tout !", "Les politiques nous mentent !", "Les hommes politiques sont tous les mêmes..."N'est-ce pas le genre de remarques que nous avons déjà entendues au moment des campagnes électorales, ou que nous avons parfois pensées tout bas ?Disons-le franchement, en réalité, n'est-il pas vrai que le monde politique nous intrigue et nous fascine par ses secrets d'État et ses complots en tout genre ? Il n'y a qu'à voir le nombre de séries ou de films qui ont été réalisés à ce sujet.D'ailleurs, ne vous est-il jamais arrivé de vouloir être une petite souris pour écouter ce qui se dit dans les bureaux du Palais de l'Élysée ou dans le très célèbre salon ovale de la Maison Blanche ?Dans la soirée du 28 mai 2011, Valentin DJENONTIN-AGOSSOU a, quant à lui, été propulsé dans ce monde politique tant décrié, puisqu'en une soirée, il a été promu à la fonction de Ministre de la Culture, de l’Alphabétisation, de l’Artisanat et du Tourisme du Bénin.Aujourd'hui réfugié politique en France suite à des menaces, Valentin a accepté de nous faire part de son expérience "hors norme" et de ne rien nous cacher !Ne manquez pas cette exceptionnelle interview pleine de vérité et de transparence, dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher".Un podcast du collectif ResKP#reskp #ministre #politique #benin

L'Observatoire Nationale de la Sécurité Routière a dénombré 53 540 accidents corporels de la circulation en France métropolitaine en 2021. Bien que ce chiffre soit en baisse par rapport aux années passées (compte tenu des confinements successifs auxquels les français ont été soumis pendant la pandémie de covid), 3 219 personnes ont tout de même perdu la vie cette année-là sur les routes de France. Simon, Thibaud et Cloélia ont fait partie de ces 53 540 personnes mais, fort heureusement pour eux, bien que le choc fut extrêmement violent sur l'autoroute, aucun des trois n'y a laissé sa vie. Simon, qui était au volant cette nuit-là, a accepté de nous raconter en détails ce qui s'est réellement passé et comment ils s'en sont sortis miraculeusement...Ne manquez pas son témoignage dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher".Un podcast du collectif ResKP#reskp #accident #choc #accidentdelaroute

Guibens ne rêvait pas de devenir narcotrafiquant, mais, bien malgré lui, influencé par son entourage et déçu par la vie, il a été pris dans les mailles du filet. Il n'a finalement que 15 ans lorsqu'il commence à vendre du cannabis dans son collège, en Guyane... Fasciné par la "belle vie" des grands dealers avec lesquels il travaillait, Guibens voulait devenir le dealer le plus craint du pays...S'interdisant d'avoir peur, il prenait tous les risques.Mais aujourd'hui, Guibens n'est plus le même et c'est en prison que sa nouvelle vie a commencé. Découvrez comment le coeur de Guibens a été totalement transformé dans ce nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher" !Un podcast du collectif ResKP#reskp #drogue #narcotrafiquant #dealer #prison