Nota Bene

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Tout le monde connaît le naufrage du Titanic en 1912… Mais ce que peu de gens savent, c’est qu’un autre drame, tout aussi terrible a eu lieu à peine deux ans après en 1914… Placé dans l’ombre du Titanic, l’Empress of Ireland a presque été oublié de tous. Alors c’est l’occasion d’en parler !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour, et bienvenue dans ce nouvel entretien historique !Lancelot, Gauvain, Perceval, Bohort… Vous avez certainement déjà entendu parler de ces chevaliers de la Table Ronde dans les mythes arthuriens ! Mais il y en a un dont vous ne connaissez sûrement même pas le nom : Ségurant le Brun, le chevalier au dragon. Et pour cause, sa trace a été perdue il y a des siècles, jusqu’à ce qu’Emanuele Arioli la retrouve récemment au détour d’un manuscrit. Mais alors, qui est ce Ségurant, et pourquoi l’a t-on oublié ? C’est ce que je vous propose de découvrir en compagnie du fameux Emanuele, un historien médiéviste spécialiste de la légende arthurienne, de philologie romane et italienne, et des transferts culturels entre France et Italie au Moyen Âge. Il va nous expliquer comment il a pu assembler toutes les pièces de ce puzzle depuis plus de dix ans, et vous l’avez l’entendre, c’est passionnant. Alors je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! J’ai reçu récemment en entretien Emanuele Arioli, un historien médiéviste et archiviste paléographe spécialiste des mythes arthuriens. Il nous a raconté une découverte absolument fabuleuse qu’il a faite : il a retrouvé la trace d’un chevalier de la Table Ronde totalement effacé des mémoires depuis des siècles, Ségurant le Brun, le chevalier au dragon. Qui est Ségurant et pourquoi l’a t-on oublié, vous le découvrirez d’ici quelques jours quand l’entretien entier sera disponible sur le podcast. Pour aujourd’hui, Emanuele nous parle plutôt des coulisses de la recherche historique : comment a été perçue sa découverte par la communauté scientifique ? L'a-t-elle bien reçu, cela a-t-il été plutôt rapide, ou au contraire plutôt long et compliqué ? Quelles en ont été les différentes étapes ? Et au final, qu'a-t-il ressenti ? Je lui cède la parole pour qu’il nous en dise un peu plus. Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Ah, le quartier de la gare ! Dans pas mal de grandes villes, ça rime avec des trottoirs sales où courent les voyageurs en retard. Des cafés, pour les autres voyageurs, ceux dont le train est en retard… Des bancs, des pigeons, une fontaine et…un sex-shop ! Eh oui quand il n'est pas sur internet, le bon vieux sex-shop à l’ancienne, avec ses néons biens vifs, est souvent près de la gare. Me demandez pas pourquoi : c’est un mystère…Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Citez moi un, rien qu’un seul naufrage célèbre, je vous écoute ! Enfin non, puisque je ne vous entends pas, mais bien souvent le premier nom qui surgit est : le Titanic, qui a sombré en 1912. Mais saviez vous que la White Star Line, la compagnie maritime britannique qui possédait le Titanic, a connu un autre drame à peine trois ans plus tôt, en 1909 ? Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour, et bienvenue dans ce nouvel entretien historique en partenariat avec le musée du Louvre Lens ! J’y ai reçu Hélène Bouillon, qui est la Directrice de la conservation, des expositions et des éditions du Louvre Lens, mais également spécialiste des animaux fantastiques dans les civilisations de l’Égypte et du Proche-Orient ancien. En plus de tout ça, elle a récemment été la commissaire d’exposition de l’exposition du musée sur les animaux fantastiques, qui est visitable jusqu’au 15 janvier 2024. Cet entretien a donc été l’occasion d’en apprendre davantage sur les coulisses de la conception de cette exposition, mais également d’en savoir plus sur les animaux fantastiques eux-mêmes ! Car si on en retrouve beaucoup dans la fiction d’aujourd’hui avec des œuvres comme Le Seigneur des Anneaux ou Harry Potter, ils ne datent pas d’hier : on en trouve en effet dès 3000 ans avant notre ère dans les mythologies mésopotamiennes et égyptiennes, et les premières traces remontent même à la Préhistoire… Je vous propose donc de partir pour un périple fabuleux, qui nous fera partir de la Mésopotamie et de l’Égypte du IVe millénaire avant notre ère, et qui nous fera passer par l’Égypte, le monde gréco-romain ancien, sans oublier le Moyen Âge et ses récits, l’Époque moderne, jusqu’à aujourd’hui avec la fantasy ! Alors je vous souhaite un bon voyage et une bonne écoute sur Nota Bene !Un grand merci au Louvre Lens d'avoir été notre partenaire pour cet épisode ! L'exposition sur les animaux fantastiques est visitable jusqu'au 15 janvier 2024, pour en savoir plus c'est par ici :- La page de l'exposition : https://bit.ly/expoanimauxfantastiques_NB- Les prochaines animations du musée : https://bit.ly/agendaautomnelouvrelens_NB

Mes chers camarades, bien le bonjour ! J’ai reçu il y a quelques temps Hélène Bouillon, commissaire de l’exposition temporaire sur les animaux fantastiques du Louvre Lens, avec qui cet entretien est en partenariat. Ça a été l’occasion de parler de ces êtres imaginaires sous toutes leurs coutures, et ce à travers toute l’histoire de l’humanité, des débuts de l’Antiquité jusqu’à nos jours. Mais vous en saurez plus quand l’entretien sera disponible en intégralité d’ici quelques jours ! En attendant se pose tout de même une question, celle de l’origine géographique des animaux fantastiques : car si on en retrouve beaucoup à certains endroits et à certaines époques, comme dans la mythologie grecque ou dans les récits médiévaux, en trouve-t-on dans d’autres régions du monde ? C’est ce que je vous laisse découvrir en compagnie d’Hélène, qui vous répondra avec notamment un exemple, celui du dragon ! Bonne écoute !Un grand merci au Louvre Lens d'avoir été notre partenaire pour cet épisode ! L'exposition sur les animaux fantastiques est visitable jusqu'au 15 janvier 2024, pour en savoir plus c'est par ici : - La page de l'exposition : https://bit.ly/expoanimauxfantastiques_NB - Les prochaines animations du musée : https://bit.ly/agendaautomnelouvrelens_NB

Mes chers camarades, bien le bonjour !Centaures à torses humains, hippocampes à queues de poissons, pégases à aile d’aigles, et bien sûr licorne à corne torsadée : nous connaissons bien tous ces chevaux fantastiques. Comment expliquer leur présence dans notre histoire ? Pourquoi certaines sociétés ont développé, à travers le temps, une véritable fascination pour les chevaux, au point d’en faire des êtres magiques et merveilleux, compagnons ou ennemis de l’être humain ? J’en vois déjà me répliquer que c’est le chien qui est le meilleur ami de l’homme. Je suis d’accord mais… combien de légendes pourriez vous me citer, qui incluent un héros et son chien ? Ou son chat ? Étrangement, ces animaux qu’on côtoie aujourd’hui, tous les jours, ne sont pas si courants que ça dans les récits du passé. Alors que le cheval, pardon, mais y’en a une quantité absolument fabuleuse ! Alors, d’où vient cet engouement ?Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Dans cette mini-série, nous explorons tous ces dragons qui, dans les mythologies grecque, japonaise, babylonienne et scandinave, crachaient du sang noir, du venin, de l’eau ou des vapeurs fétides. Eh oui, le dragon était parfois une créature de l’eau et de la terre des profondeurs : il ne crachait pas de feu, et n’avait pas d’ailes pour voler dans les airs ! Et on finit justement cette série en beauté, avec Tiamat, la mère, la reine, la déesse, de tous les dragons !Bonne écoute !