Nota Bene

Mes chers camarades, bien le bonjour !Aujourd'hui, je voulais vous donner mon ressenti sur Gladiator 2, qui vient de sortir dans les salles. Mon avis honnête, parce qu'en réalité, j'avais pas mal de préjugés à son sujet, notamment au vu de mon passif avec Ridley Scott et son dernier film, Napoléon. Donc dans cet épisode, je vais tenter de vous donner un avis éclairé sur ce que vaut ce film. Est-ce que ça vaut le coup de se déplacer en salle ou pas ? Est-ce qu'historiquement, c'est fiable ou pas ? Et est-ce que c'est grave ? Je réponds à tout ça !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Vous le connaissez, le coup des affaires judiciaires qui durent des éternités et des procédures pénales qui prennent des plombes, des mois, voire des années ? Pour le record historique, je penche pour Jeanne d’Arc. En effet, son épopée militaire n’a duré que 2 ans, mais ses aventures juridiques se sont étalées sur… presque 500 ans ! D’un côté, c’est bien la même institution, l’Église, qui juge la même personne, Jeanne. Deux fois pour la condamner en 1431, puis pour la réhabiliter de 1455 à 1456, et enfin pour la béatifier, puis la canoniser, entre 1894 et 1920. Les procès se répondent les uns aux autres, et tous ensemble ils participent à la construction de la légende de Jeanne d’Arc, hérétique un jour et sainte le lendemain. Mais pris à part, chacun nous en apprend aussi beaucoup sur le contexte de sa propre époque. Du coup, faut qu’on en parle !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Vous connaissez les “bullshit jobs”, ces boulots peu intéressants, aux tâches répétitives, parfois même inutiles et vides de sens ? J’espère que vous n'êtes pas directement concerné, et si c’est le cas, laissez vous consoler : le “bullshit job” c’est peut-être le mal du siècle, mais autrefois certains emplois relevaient carrément de l’enfer sur terre ! Accrochez-vous, car aujourd’hui on découvre le métier de chasseur de mini-vampires. On parle pas de Van Helsing, mais de ramasseurs, et surtout ramasseuses, de sangsues !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Pensez-vous qu’il y ait déjà eu des sociétés secrètes en Chine ? Eh bien oui ! Des groupes de ce genre ont bien existé dans l’histoire chinoise, et ce pendant très longtemps, certains ayant même pu parfois y jouer un rôle majeur. Ça a par exemple été le cas à la fin du 19e et au début du 20e siècles, quand l’Empire des Qing s’est écroulé et qu’il a été remplacé par la République de Chine. Alors que sont ces sociétés secrètes, qu’ont-elles fait, et dans quel contexte sont-elles venues s’intégrer ? Eh bien pour le savoir, j’ai reçu Thomas Aerts, qui en est spécialiste ! Il a notamment beaucoup travaillé sur la Bande Verte, un groupe de Shangaï. Bref, il est temps d’y aller, je vous souhaite donc une bonne écoute sur Nota Bene !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Si je vous parle de société secrète, vous allez peut-être penser à certains groupes comme la Mafia italienne ou encore les Yakuzas japonais. Mais figurez vous qu’il y en a aussi eu dans l’histoire chinoise, et on en a parlé dans un nouvel entretien historique en compagnie de Thomas Aerts, qui en est spécialiste ! Vous pourrez l’écouter en entier sur le podcast d’ici quelques jours. Mais en attendant, je vous propose de commencer directement par du concret, avec l’exemple d’une société que Thomas a particulièrement étudiée : la Bande Verte de Shanghai ! Quelle est cette société, son histoire, dans quel contexte s’est-elle formée, et comment fonctionne-t-elle ? C’est ce que Thomas va nous dire dans un instant, alors bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Jéricho, Alep, Damas… Un jour, il faudra que je fasse un top des plus vieilles villes du monde ! En tout cas, c’est sûr que quand on entend “villes antiques”, tout de suite on pense Proche-Orient, Moyen-Orient, Méditerranée… Et c’est assez vrai. Un coin paumé, comme par exemple une petite île au fond du Pacifique, on ne s’attend pas à y trouver quoi que ce soit ! D’ailleurs, on a toujours pensé que les premiers vrais centres urbains du Pacifique ne sont apparus que très tard, vers l'an 1000. Sauf qu’en 2024, des archéologues ont publié les résultats de la découverte des vestiges sur l’île de Tongatapu, le Royaume des Tongas. Et les centres urbains auraient en réalité…700 ans de plus que prévu ! Alors je vous propose de partir à la découverte de cette île polynésienne pas comme les autres !Bonne écoute !

Mes chers camarades, bien le bonjour !Qui dirige le monde ? Beyoncé répond : les filles ! Eh bien elle ne serait pas d’accord avec l’explorateur anglais du 17e siècle, Sir Walter Raleigh. Pour lui, « celui qui commande les mers, commande le commerce ; et celui qui commande le commerce du monde, commande les richesses du monde, et par conséquent le monde lui-même ». C’est moins drôle, n’empêche que c’est assez vrai, et c’est sur ça que l’Empire britannique va axer toute sa politique pendant des siècles ! Tout repose sur la Royal Navy. Alors pourquoi pas l’étudier, mais pour changer, à travers un film ? Master & Commander, a été écrit par John Collee et réalisé par Peter Weir à partir de plusieurs romans de Patrick O ‘Brian, qui lui s’inspirait de l’Histoire, la vraie ! Alors, est-ce que le film colle au contexte, à la réalité quotidienne, voire aux personnages et évènements de l’époque ? C'est ce qu'on va voir aujourd'hui, alors bonne écoute !

Comme vous le savez sans doute, l’élection présidentielle américaine approche, alors j’ai pensé que ça serait pas mal de vous en faire rapidement l’histoire ! Oui, parce que cette élection présidentielle ne fonctionne pas comme la nôtre. En France, depuis 1965, le président est élu au suffrage universel direct : le candidat ou la candidate qui recueille plus de 50% des suffrages exprimés a la majorité absolue, et gagne. Mais aux États-Unis, c’est très différent ! Alors, d'où ça vient ?

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Je continue la série sur les bandits, ces hors-la-loi rejetés dans les marge de la société par l’État de droit. Leur astuce pour réintégrer le tissu social ? Faire plaisir à la population, offrir à boire, à manger aux plus pauvres… Ou même, parfois, embrasser une véritable cause politique, contre l’État, mais au service du peuple. Et dans cette catégorie, la reine est sans aucun doute Maria Oliverio, une redoutable combattante du 19e siècle…Bonne écoute !