Partager

cover art for NEOQUÉBEC-RADIO : KHADIJA SOW - FONDATRICE ET PROPRIÉTAIRE DE "ATELIER MARJORIE"

CYEK - LE PODCAST

NEOQUÉBEC-RADIO : KHADIJA SOW - FONDATRICE ET PROPRIÉTAIRE DE "ATELIER MARJORIE"

Saison 2, Ep. 74

Dans cette entrevue avec Cyrille Ekwalla, l'entrepreneure KHADIJA SOW partage son parcours inspirant de comptable à propriétaire de la pâtisserie ATELIER MARJORIE située sur la rue Saint-Laurent à Montréal.


Originaire du Sénégal, elle a poursuivi des études en comptabilité aux États-Unis avant de déménager à Montréal en 2020. Durant la pandémie, pour s’occuper, elle commence à explorer sa passion pour la pâtisserie, un hobby qui se transforme rapidement en une entreprise florissante grâce à l’engouement suscité sur les réseaux sociaux, notamment TikTok et Instagram.


Khadija Sow se distingue par sa spécialisation en "cake design" et des créations originales comme des gâteaux en forme de guitare, attirant une clientèle jeune et diversifiée. Sa pâtisserie, décorée dans des tons roses et offrant un espace convivial pour les événements, reflète sa personnalité féminine et raffinée. En plus de vendre des pâtisseries, elle propose des ateliers de décoration de gâteaux et des expériences culinaires pour partager son art.


Khadija Sow gère désormais une équipe de sept personnes et envisage d'agrandir l'entreprise. Malgré les stéréotypes auxquels elle fait face, elle est fière de sa réussite et souhaite inspirer d'autres jeunes femmes africaines à suivre leurs rêves.Elle envisage déjà d'agrandir son entreprise, témoignant de son succès et de son ambition, tout en conservant une approche prudente héritée de sa formation en comptabilité.


(c) Neoquébec-radio / mai 2024

More episodes

View all episodes

  • 81. NEOQUÉBEC - RADIO : THIERNO SOULEYMANE DIALLO - DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA FAAC

    21:01
    THIERNO SOULEYMANE DIALLO, Directeur Général de la nouvelle Fédération Africaine et Associations du Canada (FAAC), discute dans cet épisode de CYEK-LE PODCAST, de la mission et des objectifs de l'organisation avec Cyrille Ekwalla. La FAAC, lancée officiellement le 25 mai 2024, vise à fédérer les associations africaines au Canada pour renforcer leur impact collectif. L'objectif principal est de créer une communauté africaine forte et efficace, capable de dialoguer avec les pouvoirs publics et d'influencer les politiques.Thierno Souleymane Diallo a souligné l'importance de redonner à l'Afrique sa fierté, sa place et sa dignité, notamment par la création d'un Centre Culturel Africain. Il a également mentionné la nécessité de renforcer les liens entre le Canada et les pays africains, en servant de pont entre les gouvernements et les communautés africaines. Cette nouvelle organisation accepte à la fois des associations et des individus, cherchant à inclure toutes les régions africaines; et ses projets incluent des initiatives à court et moyen terme, telles que l'établissement d'une présence nationale dans diverses provinces canadiennes et la promotion de l'entrepreneuriat et de l'autonomisation des femmes africaines. Enfin, Thierno Souleymane Diallo a insisté sur l'importance de la participation politique pour renforcer l'influence de la communauté africaine au Canada, tout en développant des partenariats économiques et culturels.(c) Neoquébec - Mai 2024
  • 80. NEOQUÉBEC-RADIO : JOANNA CHEVALIER & HARRY JULMICE - FONDATEURS DE NEVER WAS AVERAGE

    40:01
    Dans cette interview, JOANNA CHEVALIER et HARRY JULMICE de "Never Was Average" (NWA) partagent leur engagement passionné pour le bien-être communautaire. Ils se définissent avant tout comme une compagnie de production créative, refusant les étiquettes réductrices. Leur travail s’articule autour de la notion d’authenticité, de non-conformisme et de rejet de la médiocrité. Ils insistent sur l’importance de rester fidèle à soi-même et de ne pas se laisser enfermer par les attentes sociétales. Joanna et Harry valorisent une approche inclusive et communautaire dans toutes leurs initiatives. Leur projet initial, une boutique de vêtements pour hommes, a servi de tremplin pour mieux comprendre et aborder les enjeux sociaux tels que le racisme systémique et les micros-agressions Ce parcours les a poussés à utiliser leur créativité pour proposer des solutions et créer des espaces de discussion et de réflexion au sein de la communauté. Ils ont collaboré avec des institutions comme le Musée des Beaux-Arts de Montréal pour intégrer des perspectives diverses et encourager la représentation positive des minorités. Cette collaboration visait alors à créer des dialogues autour des œuvres d’art et à rendre les musées plus inclusifs. Leur récent projet, "Créateur pas comme les autres", soutient les artistes émergents du cinéma en leur offrant des ressources, des formations et des réseaux. Ils cherchent à combler les lacunes dans l’industrie cinématographique en fournissant des outils et du soutien pour que les artistes puissent pleinement exprimer leur créativité et raconter leurs histoires. En somme, Joanna Chevalier et Harry Julmice s’efforcent de transformer leur communauté en utilisant l’art et la culture comme vecteurs de changement, tout en insistant sur la nécessité d'une approche authentique et collective pour améliorer le bien-être de chacun. Ce duo illustre son engagement infatigable pour le bien-être communautaire, cherchant toujours à inspirer et à autonomiser les autres par le biais de leur créativité et de leur dévouement à la cause collective.(c) Neoquébec - Mai 2024
  • 79. NEOQUÉBEC-RADIO : ALLEN ALEXANDRE - DIRECTEUR GÉNÉRAL DU CENTRE CULTUREL AFRO-CANADIEN DE MONTRÉAL

    36:17
    Dans cette interview, ALLEN ALEXANDRE, Fondateur et Directeur Général du Centre Culturel Afro-canadien de Montréal (CCAM), partage son parcours et la mission de l'institution qu'il dirige.Après une décennie passée en politique fédérale au sein du cabinet du Premier ministre Trudeau, où il a œuvré sur des initiatives importantes pour la communauté noire, Allen Alexandre a fondé le CCAM en 2021, qui vise à préserver et à promouvoir le patrimoine culturel et artistique des communautés noires de Montréal.À l'instar du Smithsonian National Museum of African American History and Culture à Washington et l'Institut du monde arabe à ParisAllen Alexandre explique que le CCAM n'est pas seulement un espace d'exposition, mais aussi un lieu de synergie pour la communauté noire, destiné à raconter et contrôler leur propre narratif. Inspiré par le Musée National de l'Histoire et de la Culture Afro-Américaine à Washington D.C. et l'Institut du Monde Arabe à Paris, le CCAM aspire à devenir un carrefour culturel de grande envergure.16 millions $ pour le CCAMAu micro de Cyrille Ekwalla, le Directeur Général du CCAM est revenu sur l'évenement du 16 mai dernier. Le CCAM a récemment reçu une subvention de 16 millions de dollars du gouvernement canadien pour rénover et aménager l'ancienne école des Beaux-Arts de Montréal, un projet totalisant 32 millions de dollars. Ce bâtiment sera le premier centre culturel carboneutre au Canada, témoignant de l'engagement du centre envers la durabilité.En réponse aux critiques de l'élitisme, Allen Alexandre défend la nécessité de s'entourer des meilleurs talents pour crédibiliser et réussir un projet d'une telle envergure. Il insiste sur le fait que le CECAM est inclusif et ouvert à tous, avec des espaces accessibles pour les artistes et la communauté en général.Enfin, Allen Alexandre annonce des événements à venir, tels que la Soirée Héritage, qui cette année va honorer la sénatrice Amina Gerba et un nouveau concept de bal africain en septembre, visant à célébrer et normaliser les traditions vestimentaires africaines tout au long de l'année.Pour en savoir plus : https://ccamontreal.ca(c) Neoquebec - mai 2024
  • 78. NEOQUÉBEC-RADIO : SHEENA NGALLE-MIANO, DIRECTRICE GÉNÉRALE DE VILLE DE CHELSEA (OUTAOUAIS)

    25:08
    SHEENA NAGALLE MIANO, avocate au Barreau du Québec depuis 2012 et Directrice Générale de la municipalité de CHELSEA depuis 2023, est interviewée par Cyrille Ekwalla. Elle partage son parcours inspirant, marqué par une enfance au Kenya, l'arrivée au Canada en 2007, et son cheminement dans le domaine juridique et municipal. Sa passion pour le droit lui vient de son père, avocat et a été encouragée par ses parents à poursuivre ses ambitions. Elle a commencé sa carrière dans un cabinet boutique avant de fonder son propre cabinet et de travailler dans un cabinet plus grand à Ottawa. En 2018, elle est devenue membre du Barreau du Cameroun, renforçant ainsi ses compétences internationales. En 2019, Sheena a déménagé en Outaouais et a découvert une opportunité dans l'administration municipale de Chelsea. Elle a été embauchée comme directrice du greffe, où elle a apprécié l'impact de ses actions sur une communauté entière. Elle a ensuite été promue directrice générale adjointe en 2022 et, après un départ inattendu de son prédécesseur, elle a assumé le rôle de directrice générale par intérim avant d'être confirmée à ce poste en 2023. Sheena discute de l'importance de l'implication communautaire, inspirée par ses parents, et souligne son engagement à redonner à la communauté, que ce soit à travers des initiatives locales ou des conseils informels. Elle croit fermement que l'ambition, la compétence, et un réseau solide sont cruciaux pour réussir. Elle poursuit actuellement un MBA pour continuer à se former et améliorer ses compétences. Dans l'administration municipale, Sheena Ngalle Miano, a trouvé une vocation qui allie droit, gestion, et impact communautaire. Elle décrit son rôle comme celui d'un chef d'orchestre, coordonnant les services municipaux pour réaliser la vision du conseil municipal; et insiste sur le fait que les opportunités existent dans le secteur public et encourage les jeunes, en particulier les femmes noires, à considérer cette voie. Consciente de son statut de modèle et aspirant à inspirer d'autres personnes à suivre un chemin similaire, Sheena Ngalle Miano, avocate au Barreau du Québec depuis 2012 et directrice générale de la municipalité de Chelsea depuis 2023, est interviewée par Cyrille Ekwalla. Elle partage son parcours inspirant, marqué par une enfance au Kenya, l'arrivée au Canada en 2007, et son cheminement dans le domaine juridique et municipal. Sheena est consciente de son statut de modèle et aspire à inspirer d'autres personnes à suivre un chemin similaire. Elle conclut l'interview en exprimant son optimisme pour l'avenir et son désir de continuer à progresser et à influencer positivement sa communauté.(c) Neoquébec - mai 2024
  • 77. NEOQUÉBEC - RADIO : HAROUN BOUAZZI, DÉPUTÉ DE MAURICE RICHARD (QS)

    27:34
    Cette interview correspondant à nouvel éposode de CYEK-LE PODCAST met en lumière le dévouement de HAROUN BOUAZZI envers ses convictions, son travail législatif, et son activisme pour les droits des Palestiniens, tout en restant fermement engagé dans les causes sociales et environnementales.L'entretien de Haroun BOUAZZI, Député de la cirocnscription de Maurice Richard pour Québec solidaire, avec Cyrille EKWALLA a porté essentiellement sur deux points principaux : son bilan à mi-parcours en tant que député et sa position sur le conflit israélo-palestinien. Haroun Bouazzi a décrit ses nombreuses responsabilités en tant que porte-parole de Québec solidaire en économie, innovation, énergie, cybersécurité, finance, et partagé ses expériences avant son élection, notamment son travail dans la société civile et ses combats contre le racisme et l'islamophobie, socle de son engagement en politique active.. Interrogé sur ce qui l'a surpris lors de son entrée du Parlement, Haroun Bouazzi a exprimé sa surprise face aux pratiques de certains journalistes parlementaires, qu'il critique pour leur recherche de sensationnalisme au détriment de discussions de fond; ce qui à ses yeux ne valorise pas le travail des députés, et par là-même, renforce la perception de "députés connectés de la réalité quotidienne ".En matière de législation, il a mis en avant quelques réussites , qui sont ;a ses yeux, une victoire pour les citoyennes et citoyens, à savoir un projet de loi pour limiter les augmentations des tarifs d'Hydro-Québec et les défis rencontrés en termes de gouvernance. Autre victoire notable mentionnée est l'abolition de la pénalité sur les retraites pour les personnes en invalidité, impactant positivement 77 000 personnes. Sur le conflit israélo-palestinien, Haroun Bouazzi a condamné fermement les actions israéliennes et dénoncé l'hypocrisie des institutions internationales. Il a plaidé pour des actions concrètes, telles que le désinvestissement des fonds publics québécois (Caisse de Dépôt et la SAQ, entre autres) des entreprises complices de l'occupation israélienne, et a exprimé son soutien au mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Il a critiqué les réponses tardives et insuffisantes des leaders politiques comme les premiers ministres François Legault et Justin Trudeau, soulignant l'importance des symboles tout en insistant sur la nécessité d'actions concrètes pour mettre fin aux injustices subies par les Palestiniens.L'entretien s'est terminé sur le regard du député Bouazzi sur la crise que traverse son parti politique, Québec Solidaire ! Même si il a insisté sur l'importance de la collaboration avec les mouvements sociaux et de la solidarité interne au sein de Québec solidaire. Il a réitéré son engagement envers des politiques publiques justes et son rôle actif dans les luttes pour l'équité et la justice sociale.(c) Neoquébec Radio / Mai 2020 
  • 76. NEOQUÉBEC-RADIO : FABRICE NGUENA - AUTEUR DE L'ESSAI : AFROQUEER

    24:11
    Cette interview de FABRICE NGUENA par Cyrille Ekwalla, dans le cadre de l'émission radio de Neoquébec, à quelques jours de la Journée Internationale contre l'homophobie et la transphobie, nous offre un regard profond sur le parcours de l'auteur et militant. Fabrice Nguena, montréalais depuis 2007, présente son livre "AFROQUEER - 25 VOIX ENGAGÉES" publié chez Écosociété, une œuvre unique qui regroupe 25 portraits de personnes noires et queer vivant dans l’espace francophone, couvrant des régions telles que la France, la Belgique, les Antilles et l’Afrique subsaharienne.Fabrice NGUENA explique que l'idée de ce livre est née de son désir de "donner une voix aux personnes souvent invisibilisées et marginalisées dans la société". En tant que militant des droits humains et LGBTQ+, il a voulu créer un ouvrage qui non seulement raconte les histoires de ces individus, mais qui sert également d’outil pour déconstruire les préjugés et promouvoir la compréhension et l'acceptation.Le récit comme acte militantDans l'interview, il souligne l'importance de représenter une diversité d'expériences et de parcours. Les 25 portraits incluent des personnes de tous âges et de diverses professions, allant d'universitaires à des artistes, en passant par des sportifs. Fabrice Nguena insiste sur le fait que chaque récit est un acte militant, une forme de résistance et de résilience face aux discriminations multiples que ces personnes subissent, non seulement en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, mais aussi en raison de leur race.Il est également important de noter la perspective historique et sociologique que Fabrice apporte. Il mentionne comment les colonisateurs et les religions monothéistes ont introduit l'homophobie en Afrique, un continent où, avant leur arrivée, de nombreuses sociétés vivaient de manière inclusive. Cette réflexion vise à déconstruire le mythe selon lequel l'homosexualité serait un phénomène importé par les colons.L'auteur - lui-même militant - termine en exprimant sa satisfaction quant à l'accueil reçu par son livre, particulièrement de la part de la communauté afro queer. Il espère que son livre AFROQUEER servira de source d'inspiration et de modèle pour les jeunes générations, tout en aidant à promouvoir la justice et le respect des différences dans la société.En somme, "AFROQUEER" est plus qu’un livre de portraits ; c’est un manifeste pour la reconnaissance et la célébration de la diversité au sein de la communauté noire francophone et queer.(c) NEOQUÉBEC-RADIO - MAI 2024
  • 75. NEOQUÉBEC-RADIO : ED VERTUS - VP INNOVATION SOCIALE & TECHNOLGIE DU GROUPE 3737

    24:24
    Dans cet épisode de CYEK-LE PODCAST, nous accueillons ED D. VERTUS, vice-président Innovation sociale et Technologie du Groupe 3737. Ed Vertus y parle parle de l'Initiative pour l'appui aux communautés noires du Canada (IACNC), une initiative lancée en 2020 par le gouvernement fédéral pour combler le déficit de financement des organismes dirigés par des Noirs, et pour lequel l'incubateur et accélérateur d'entreprises, Groupe 3737, joue un rôle crucial en accompagnant et finançant ces organismes au Québec.Ed Vertus explique que l'initiative a connu trois appels à projets, permettant de financer 346 organisations à ce jour, avec des montants allant de 45 000 à 125 000 dollars. Le financement vise à "renforcer la capacité organisationnelle et à améliorer l'accès aux ressources, capitaux et réseaux". Malgré le succès de l'initiative, le vp Innovation sociale et Technologie du Groupe 3737 souligne que la demande dépasse largement l'offre, avec 208 organisations toujours en attente de financement, et insiste sur l'importance de prolonger et d'augmenter le financement pour assurer un impact durable.Happening OBNL 3737Le Groupe 3737 organise également un Happening OBNL 3737, une sorte de congrès annuel pour promouvoir l'initiative et favoriser les échanges entre les acteurs de l'écosystème des OBNL. Ce congrès, prévu pour les 16, 17 et 18 juillet, sera une occasion de démontrer l'impact des investissements et de renforcer les liens avec les partenaires financiers et gouvernementaux.Dans cet épisode, ED Vertus aborde également un débat important concernant la place des OBNL dans les communautés noires et la société québécoise en général. Contrairement à certaines critiques affirmant que les OBNL n'enrichissent pas les communautés, il soutient que ces organismes sont des vecteurs de développement économique et social. Ils créent des emplois, offrent des services essentiels, et aident le gouvernement à mieux servir la population. Pour Ed Vertus, les OBNL, y compris ceux axés sur l'économie sociale, jouent un rôle crucial en comblant les lacunes laissées par le secteur privé et en soutenant les groupes marginalisés.En conclusion, Ed Vertus exprime sa satisfaction quant aux progrès réalisés, tout en reconnaissant que des améliorations sont encore nécessaires. Il souligne l'importance de continuer à soutenir et à développer ces initiatives pour assurer un avenir équitable et prospère pour toutes les communautés.(c) NEOQUÉBEC RADIO - Mai 2024
  • 73. NEOQUÉBEC-RADIO : SELMA RÉGRAGUI - ENTREPRENEURE / RÉSEAU DES COMPÉTENCES MAROCAINES

    24:57
    Dans cet épisode de CYEK LE PODCAST, Cyrille Ekwalla s'entretient avec SELMA RÉGRAGUI, une communicatrice et entrepreneure d'origine marocaine installée au Canada depuis 2010.Native de Rabat, Selma Régragui est arrivée avec sa famille dans l'espoir de nouvelles aventures. Elle a fondé l'agence de communication A2CCOM, spécialisée dans le conseil et le marketing. Grâce à sa formation en journalisme, elle a créé le projet Positiva Morocco, qui mettait en lumière les compétences marocaines du monde entier.L'une des réalisations phares de Selma Régragui depuis peu est le Conseil National de l'Insertion des Compétences Marocaines du Monde, qu'elle a fondé en 2020. Ce réseau vise à regrouper et connecter les compétences marocaines à travers le monde pour contribuer au développement du Maroc. Malgré les défis de la pandémie, l'organisation a vu ses membres augmenter à 95 000 personnes. Un succès qui continue de surprendre cette femme au dynamisme contagieux. Ambitieuse, Selma Régragui est également à l'origine de l'organisme Women in Black, qui offre aux femmes entrepreneures un espace pour s'exprimer et tisser des réseaux. Elle soutient les initiatives économiques solidaires au sein de sa communauté, à l’instar de « Les entreprises solidaires », un autre de ses projets, favorisent la coopération entre les entrepreneurs pour créer un environnement économique circulaire. On découvre au fil de cet entretien que Selma Régragui est animée par un fort désir d'aider les autres, nourrie par un sentiment de solidarité et de partage. Elle attribue ce dynamisme à sa culture marocaine, qui l'inspire à travailler pour sa communauté et à rendre au Maroc ce qu'elle estime avoir reçu.(c) Neoquébec-radio / mai 2024