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Leurs vestiaires

Leurs vestiaires : bande annonce

Saison 1

Je m'appelle Coraline Chancibot, et voici Leurs vestiaires : le podcast qui donne la parole à ces femmes qui font des métiers masculins. Dans chaque épisode, vous découvrirez un vestiaire, un métier, une femme ou parfois deux, qui viendront vous raconter leur parcours.

Ensemble, nous parlerons de leur place dans ces métiers d'hommes. Comment le vivent-elles d'être la seule ou la première femme de leur métier ? Comment s'affirment-elles dans ces environnements masculins ? Nous parlerons d'image, de féminités mais aussi de vêtements : est-ce que c'est si anodin que ça de porter des vêtements d'hommes ?

A partir de janvier, je vous retrouve toutes les deux semaines pour découvrir une nouvelle passionnée.


Écriture et réalisation : Coraline Chancibot

Musique et mixage : Étienne Lemiere

Illustration : Julie Lagarde alias @mork_pap


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  • 10. Épisode 10 : Kim Hou, designeuse et co-fondatrice d'About a Worker

    38:37||Saison 1, Ep. 10
    Il y a des professions qui nécessitent de porter plusieurs casquettes et il y a des personnes qui ne peuvent pas se limiter à une seule activité. Kim Hou est co-fondatrice de About a worker, une entreprise qui a pour ambition de remettre les “workers”, les travailleurs et travailleuses au coeur du propos. Kim est donc designeuse, formatrice, meneuse d’ateliers, cocheffe d’entreprise et codirectrice d’une usine française à petite échelle.Dans cet épisode de Leurs Vestiaires, on va parler de vêtements de travail mais cette fois-ci de l’autre côté, du côté de celles et ceux qui les pensent, enfin plutôt qui les repensent. Pour contextualiser, moi aussi je porte plusieurs casquettes. En plus de réaliser ce podcast, je suis designeuse textile. Pour mon projet de diplôme des arts déco de Paris j’avais pensé une collection de textiles dédiés aux vêtements de travail des femmes du bâtiment. Ce projet c’était avant tout une démarche de design : d’aller vers les utilisatrices, d’écouter leurs besoins et de proposer des solutions. Et pendant mon année de diplôme j’ai découvert About a Worker et le travail de Kim Hou et de Paul Boulenger, son associé. Alors au moment de chercher des personnes à interviewer, je me suis dit pourquoi pas ...A mon micro, Kim nous a raconté les différents projets qu’elle a pu mener et ceux à venir. Ensemble, on va parler de confort visuel, d’upcycling, de production française et de vêtements de travail.Cet épisode a une autre particularité, il a été enregistré en public aux Amarres, lors de la soirée de lancement du podcast organisée en février dernier. A la fin de notre discussion, plusieurs questions ont été posées par le public pour approfondir les sujets abordées avec Kim. Bonne écoute !Pour découvrir About a Worker, je vous conseille d'aller jeter un coup d'oeil à leur site internet et leur compte Instagram. Dans l'épisode, on parle notamment du projet que Kim et Paul ont mené avec la Fondation Martell, que vous pouvez visualiser ici, et un autre dans une maison de retraite que vous pouvez retrouver ici.Pour soutenir le podcast, abonnez-vous ici et sur Instagram @leursvestiaires_podcast. Vous pouvez noter le podcast sur votre plateforme d'écoute, ça aide au référencement et donc, à donner de la visibilité à ces témoignages ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️Écriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 9. Épisode 9 : Nicolas, garde armé 🏳️‍⚧️

    48:35||Saison 1, Ep. 9
    Vous le savez, dans leurs vestiaires on parle de métiers traditionnellement masculins, aux vêtements de travail identitaires que protecteurs. Et si il y a un métier qui réuni toutes ces notions, c’est bien celui de militaire. Alors aujourd’hui, c’est Nicolas qui va vous parler de son vestiaire.Il s’est engagé à 16 ans dans la Marine Nationale, pour d’abord partir en mission en mer avant de devenir garde armé d’un hôpital militaire. C’est une fois engagé que Nicolas a fait son coming out transgenre. Il m’a donc raconté comment s’est passée cette annonce auprès de ses supérieurs, et à quel point il rêverait de porter le fameux pompon rouge des marins. Pour des raisons qualifiée comme “pratiques” par l’institution, Nicolas porte encore la tricorne, la coiffe féminine à porter en tenue de cérémonie. Pour ces mêmes raisons, il est pendant longtemps resté dans les vestiaires féminins avant de rencontrer une équipe tolérante et bienveillante qui a su l’accueillir dans les vestiaires masculins, et lui permettre de finir sa carrière militaire dans de bonnes conditions.A mon micro, Nicolas a raconté son premier tour du monde en mer, l’organisation de la vie sur un bateau et m’a appris pas mal de vocabulaire militaire.Ensemble, on va parler du fait d’être queer dans un milieu masculin, de tatouages, de tenues de cérémonie et de tête de chat ... Bonne écoute !⚠️ Attention, dans cet épisode sont racontées des scènes de transphobie. ⚠️Pour conserver son anonymat, le prénom de Nicolas a été modifié et remplacé par des "miaou" tout au long de l’épisode.Si besoin, vous pouvez retrouver une définition de la transidentité ici.Pour aller plus loin, je vous conseille de lire les rapports de L'Autre Cercle, une organisation pour l'inclusion des personnes LGBT+ dans les milieux professionnels. Leur travail passe par l'écriture de rapport, des recensements et la signature de charte pour les entreprises alliées des personnes LGBT+. Pour plus d'informations, rendez-vous sur leur site internet.Pour soutenir le podcast, abonnez-vous ici et sur Instagram @leursvestiaires_podcast. Vous pouvez noter le podcast sur votre plateforme d'écoute, ça aide au référencement et donc, à donner de la visibilité à ces témoignages ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️Ecriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 8. Épisode 8 : Hanna, ingénieure quantique

    49:07||Saison 1, Ep. 8
    Aujourd'hui, je vous invite à découvrir le parcours d'une physicienne : Hanna est ingénieure quantique. Contrairement à l'image qu'on se fait des physicien.ne.s, Hanna a mis du temps avant de découvrir ce métier passionnant. Je dis l'image qu'on se fait des physiciennes, mais vous en connaissez beaucoup vous, des physiciennes ? Une chose est sûre, le monde scientifique est un monde masculin. En tout cas c'est ce qu'on essaie de nous faire dès tout petit, je vous invite à lire les rapports sur l'orientation et l'attrait des sciences, notamment les mathématiques, des filles de la primaire au Supérieur …Au moment où on a enregistré cet épisode, Hanna était en plein questionnement face à son avenir dans la physique quantique. Elle aime profondément son métier, mais elle est aussi passionnée par beaucoup d’autres choses : le climat, l’écologie, le féminisme, le social … Mais voilà, ces causes pour lesquelles elle s’engage ne sont pas compatibles avec la physique quantique, et inversement. Comme beaucoup d’autres jeunes diplomé.e.s, comme moi, Hanna se retrouve face à un dilemme : devoir choisir entre ses engagements politiques et son avenir professionnel.Quelques semaines plus tard le premier épisode de son propre podcast, réalisé avec son amie Juliette, ingénieure agronome, sortait. Gaïardes, c’est la rencontre de ces deux ingénieures engagées et écoféministes, avec des paysannes, des maraichères ou des éleveuses de porcs …En plus de toutes ces questions, on a abordé avec Hanna le sujet de l’apparence féminine puisqu’elle s’est doucement transformée, sans s’en rendre compte, au moment de débuter sa carrière. Alors ensemble, on a parlé de physique quantique, de médiocrité, d’ongles manucurés et de remise en question … Bonne écoute.Pour retrouver Gaïardes, le podcast de Hanna et Juliette, ça se passe sur Instagram @gaiardes.le.podcast mais aussi sur toutes les plateformes d'écoute que vous pouvez retrouver ici.Pour lire le rapport de 2020 du Ministère de l'éducation nationale sur l'égalité filles-garçons dans l'enseignement, cliquez ici.Pour lire l'impact que la réforme du lycée de 2019 a eu sur la présence des filles en filières scientifiques au lycée, cliquez ici.Pour compléter le sujet je vous conseille de jeter un œil au rapport de 2023 de l'Observatoire des femmes ingénieures, que vous pouvez retrouver ici.Ecriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie LagardeRetrouvez-nous aussi sur Instagram @leursvestiaires_podcast
  • 7. Épisode 7 : Marie-Pierre, grutière

    38:10||Saison 1, Ep. 7
    Après avoir eu son propre restaurant, Marie-Pierre a décidé de changer radicalement de métier. Elle a beaucoup cherché ce qui pourrait lui plaire, mais aussi lui permettre d’avoir une vie de famille et du temps pour elle. Alors c’est en étant épaulée par une personne bienveillante lors d’un bilan de compétences qu’elle a découvert ce nouveau métier : grutière.Marie-Pierre raconte avec joie ses débuts dans le monde du BTP : elle apprend beaucoup dans ce métier qu’elle pratique depuis peu et dans lequel elle s’épanouit. Récemment, elle a reçu le Trophée Essenti’elles de l’Afpa, trophée qui récompense des femmes pour leur parcours professionnels dans des secteurs où elles sont peu représentées : elles sont moins de 5% à être grutières en France.A mon micro, Marie-Pierre décrit son métier et sa journée type sur un chantier. Ensemble, on va parler de reconversion professionnelle, de matières synthétiques et de guêpes. Le récit de Marie-Pierre est précieux, elle est l’une des seules que j’ai rencontré à n’avoir jamais été mise à l’écart parce qu’elle était une femme, à n’avoir jamais eu de commentaires ou de remarques sexistes sur sa présence dans le BTP. Elle est l’une des seules avec qui j’ai parlé qui m’a raconté la considération et le respect qui lui portent ses collègues masculins ... Bonne écoute.Pour en savoir plus sur le métier de grutier.e, cliquez-ici.Pour voir les profils félicités par l'Afpa, rendez-vous sur leur site internet. Marie-Pierre a également raconté son parcours auprès de Frédéric Potet, un journaliste du monde, l'article est à retrouver ici.Ecriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • HORS-SÉRIE : Le musée du verre de Trélon

    25:02||Saison 1
    Aujourd’hui je vous emmène avec moi visiter le musée du verre de Trélon. C’est l’un des deux sites de l’écomusée de l’Avesnois, le deuxième étant le musée du textile et de la vie sociale de Fourmies. J'ai enregistré cet épisode après celui avec Emmy et Alizée, deux souffleuses de verre qui travaillent au sein de l'atelier-musée. En arrivant dans ce lieu enrobé d'histoire, je n'avais qu'une envie : enregistrer cet espace, vous en capturer les sons. C’est Marianne qui s'est portée volontaire pour me raconter l’histoire de la verrerie et m’en apprendre plus sur la fabrication du verre, sa composition et son évolution au fil des avancées techniques. On va parler du travail des femmes et des enfants dans cet ancienne usine, mais aussi de l’arrivée du plastique qui va tout changer pour cette petite ville …Bonne écoute !Pour lire un passage du livre de Sylvie Schweitzer, Les femmes ont toujours travaillé, cliquez-ici.Pour découvrir l'écomusée de l'Avesnois, je vous conseille leur compte Instagram contenant de très belles images des verrier.e.s et du Musée du textile et de la vie sociale de Fourmies. Pour découvrir les expositions en cours et la programmation des deux musées, rendez-vous sur leur site internet.Si le métier de souffleur.euse de verre vous intéresse, je vous conseille la fiche métier de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat.Écriture, mise en musique et réalisation : Coraline ChancibotMix et générique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 6. Épisode 6 : Emmy et Alizée, souffleuses de verre

    39:48||Saison 1, Ep. 6
    Emmy et Alizée sont souffleuses de verre, un métier d'art physique mais magique qui convint de plus en plus de femmes. Pour enregistrer cet épisode, je suis allée les rejoindre dans l’atelier de verrerie dans lequel elles travaillent. Cet atelier a la particularité d’être ouvert au public puisqu’il est à l’intérieur du musée du verre de Trélon, un des deux sites de l’écomusée de l’Avesnois. Un matin, on s’est donc attablées autour des micros dans la salle de repos de l’atelier-musée et on a échangé sur ce passionnant métier de souffleuse de verre. Toutes les deux m’ont raconté ce métier physique et challengeant qu’on croit à tord être un métier masculin. On a parlé de leurs vêtements de travail qui doivent les protéger certes, mais aussi correspondre à l’identité du musée. Puisque l’atelier est ouvert au public, Emmy et Alizée doivent aussi faire preuve de pédagogie face à un public qui ne comprend pas toujours qu’elles peuvent être des femmes, travailler le verre en fusion et que ce soit leur métier à temps plein.Ah et, un épisode hors-série de la visite du musée arrive très prochainement ...Bonne écoute.Pour découvrir l'écomusée de l'Avesnois, je vous conseille leur compte Instagram contenant de très belles images des verrier.e.s et du Musée du textile et de la vie sociale de Fourmies. Pour découvrir les expositions en cours et la programmation des deux musées, rendez-vous sur leur site internet.Si le métier de souffleur.euse de verre vous intéresse, je vous conseille la fiche métier de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat.Écriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 5. Épisode 5 : Marine, ingénieure du son

    48:17||Saison 1, Ep. 5
    Aujourd’hui je vous invite à découvrir Marine : elle est ingénieure du son, productrice et artiste.La musique fait partie des domaines dont on n'imagine pas le nombre de personnes qui travaillent dans l'ombre. Quand on pense musique, on pense chanteur ou chanteuse, musicien ou musicienne. On pense label, agent … Mais pour que la musique parvienne jusqu’à nos oreilles, il faut passer par plusieurs étapes techniques. La mise en place des micros et de leurs câblages, l'enregistrement, le mixage, le mastering ... Et je vous le donne en mille, ces métiers techniques sont principalement occupés par des hommes. Les métiers techniques du son dans l'audiovisuel ne comptaient que 9,8% de femmes en France en 2022.De ce métier, Marine en est passionnée. Mais à mon micro, elle a raconté la difficulté d’intégrer ce milieu qui est encore plus exigeant quand on est une femme. Elle a mentionné les complexités de ce métier, celles qu'on n'apprend pas à l'école, et l’organisation qu'elle doit mettre en place pour que les choses se passent au mieux. Ensemble on a parlé de micros, de féminités et de discrétion vestimentaire.On a aussi parlé d’un autre univers masculin auquel Marine est confronté depuis près d’un an : la construction. Quand je l’ai rencontrée, elle démarrait les travaux de construction de son propre studio d’enregistrement. Mais, vous allez l’entendre, ce projet n’a pas démarré comme elle le souhaitait … Bonne écoute.L'étude dont je parle sur la place des femmes dans l'industrie musicale à retrouver ici.Pour en savoir plus sur le métier de Marine, je vous conseille la fiche métier de l'Observatoire de l'audiovisuel.Pour voir le travail de RedHouse, la société à laquelle Marine fait appelle, cliquez ici.Ecriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 4. Épisode 4 : Aurélie, opératrice en maintenance sur des pneumatiques de véhicules industriels

    28:24||Saison 1, Ep. 4
    Aurélie, est opératrice en maintenance sur des pneumatiques de véhicules industriels. Elle répare les pneus d’engins industriels et agricoles comme des tracteurs, des camions ou encore des grues.Je l'ai découverte dans la saison 1 de l'émission Les reines de la mécanique, diffusée par RMC Découverte. A ce moment-là, elle était l'une des deux seules femmes en France à faire ce métier. Depuis, ce sont quatre femmes qui l’ont contactée pour savoir comment se former. Malheureusement, ces femmes ne vivent pas dans la même région qu'Aurélie qui, même si elle a toujours évolué dans l’univers de la mécanique automobile, n'a jamais travaillé avec une femme. La mécanique reste un univers, masculin certes, qui la passionne et qu'elle ne quitterait pour rien au monde. C'est pour ça, vous l'entendrez, qu'elle prépare doucement sa transition professionnelle pour préserver son corps, à la manière d'une athlète olympique.Alors si Aurélie a accepté de me faire découvrir son vestiaire, c'est pour partager sa passion et montrer qu'il ne s'agit en rien d'un métier réservé aux hommes ! Ensemble on a parlé de féminité, au travail comme en dehors, de capacités musculaires mais surtout de la logique et de l'intelligence qu’il faut avoir pour pouvoir pratiquer ce métier physique et dangereux.Si vous voulez en savoir davantage sur son métier, je vous suggère de regarder l’émission des Reines de la mécanique où on la suit dans son quotidien mouvementé. De nombreux extraits sont disponibles sur la chaîne YouTube de RMC Découverte et les deux saisons de l'émission sont sur leur site internet.Pour voir Aurélie à l’œuvre, cliquez iciPour découvrir les autres Reines de la mécanique, cliquez iciVous pouvez aussi retrouver le podcast sur Instagram @leursvestiaires_podcastEcriture et réalisation : Coraline ChancibotMix et musique : Étienne LemiereIllustration : Julie Lagarde
  • 3. Épisode 3 : Océane, ingénieure en prévention des risques

    23:54||Saison 1, Ep. 3
    Océane est ingénieure en prévention des risques, santé et sécurité au travail.Ce métier au nom à rallonge, vous ne le connaissait peut-être pas, mais vous comprendrez très vite de quoi il s'agit. Océane fait partie de ces personnes qui veillent à ce qu’aucun incident ne se produise, que ce soit lors d'un évènement organisé par la mairie comme un concert public ou lors d'évènements plus dramatiques comme des catastrophes naturelles. Les personnes qui pratiquent ce métier sont là pour appliquer un protocole, faire exécuter des ordres à des agents de sécurité par exemple, ou encore évaluer des risques.On s'est donc donné rendez-vous en visio avec Océane, un soir après ses réunions. Elle m'a raconté en quoi consistait son métier, où l’une de ses missions est aussi de choisir des vêtements de travail ... Et parfois, elle doit elle aussi enfiler un EPI, un équipement de protection individuelle, et faire l’expérience de vêtements pas adaptés à sa morphologie féminine.Alors on a discuté ensemble de ce manque d’équipements adaptés, de la faible présence des femmes dans le domaine de la sécurité mais surtout de la manière avec laquelle elles sont considérées et sélectionnées par rapport à leurs homologues masculins.Pour soutenir le podcast, retrouvez-nous aussi sur Instagram @leursvestiaires_podcastEcriture et réalisation : Coraline ChancibotMusique et mixage : Etienne LemiereIllustration : Julie Lagarde alias @mork_pap