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Les enfants vont bien

Cette histoire de dingue au sujet du donneur d'Amaé

Saison 4, Ep. 10

Beaucoup de questions se posent dans nos parcours qui attendent souvent des réponses rapides, et pourtant, vu les enjeux associés, elles méritent la plupart du temps réflexion.


A chaque fois que nous avons abordé la question du donneur sur le podcast, nous avons pu constaté au fil des épisodes, que chacun avait un avis et une conception du donneur et de son rôle qui lui était propre.


La question de l’anonymat agite beaucoup elle aussi, au sein meme des donneurs eux-mêmes qui parfois se positionnent contre la levée de l’anonymat, ou qui préfère parfois meme se retirer du parcours de don.


Ce qui est sur, c’est que chacun.es d’entre nous, a du choisir, si le donneur de l’enfant à venir serait anonyme, ouvert ou même totalement connu de l’enfant et de sa famille. Dans le contexte d’un parcours de PMA, nous sommes informés de la limite de don de chaque pays de provenance des paillettes. A l’époque, on nous avait annoncé que seule 4 autres familles pourraient être conçues avec les paillettes d’un meme donneur par pays d’habitation, pour éviter la consanguinité. Alors 4 familles… Ca parait tellement improbable de tomber sur ces enfants la non? 


Aurélia et Charlotte ont toujours eu conscience des enjeux qu’il y avait derrière les choix des donneurs et avaient séléctionné le leur avec beaucoup de précautions. Elles avaient dans l’idée de se servir de ses paillettes pour l’ensemble de leur fratrie. Vous avez pu et pouvez encore écouter leur parcour dans l’épisode du podcast.


Aujourd’hui, Aurélia a eu besoin et envie de parler des choix qu’elles ont fait, de les expliquer et surtout de répondre à cette fameuse question: Qu’est-ce qu’il se passe si on rencontre des enfants issus du même donneur? Comment vit-on cette découverte et comment cela engage notre famille. 


Parce que oui!


Oui c’est arrivé! Amaé partage son donneur avec une famille qui en plus est proche de celle de Charlotte et Aurélia. 


Si ce n’est pas une histoire de dingue?? 


Je vous laisse découvrir comment elles ont vécu toutes les 3 cette révélation, et comment maintenant elles dealent avec.


Je vous souhaite une bonne écoute.

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  • 49. / Rediffusion / Marion et Maeva: une conception "au naturel"

    01:27:03
    Lorsque l’on prend la décision de choisir un donneur connu, le point essentiel a ne pas sous estimer dans la relation avec lui est la confiance. La confiance doit être réciproque pour que l’association fonctionne en toute sérénité. Lors de notre recherche, souvent nous nous retrouvons devant un champ des possibles assez large pour trouver la perle rare: forum, site internet, ami, connaissance, etc. Marion et Maeva on eu une démarche très réfléchie, elles savaient ce qu’elles recherchaient et surtout elles comptaient sur la cooptation de leurs amis pour établir cette relation de confiance. Elles ont pris le temps de la réflexion, pris leur courage à deux mains et ont écrit un e-mail à leur proches pour leur expliquer leur démarches et ainsi recueillir leurs recommandations. Ce qui distingue Marion et Maeva est la sérénité avec laquelle elles ont abordé ce parcours. Incontestablement le métier de Marion qui est Doula ainsi que sa formation ont joué sur la hauteur qu’elles ont pu prendre dans leurs réflexions et dans la réalisation de cette grossesse. Nous l’avons d’ailleurs abordé ce métier encore trop peu connu en France, ce métier d’accompagnement du couple dans la maternité, ce métier qui prend soin du couple avant pendant et après l’arrivée de bébé. C’est un métier de savoir, et surtout de transmission du savoir auprès des jeunes parents. Chaque couple est unique, chaque couple a ses particularités, le vocabulaire employé dans l’accompagnement de ces moments si singuliers et si sensibles à son importance, et les Doulas sont ouvertes et même formées pour certaines a l’ouverture. Elles peuvent alors accompagner nos familles aussi respectueusement que des familles plus traditionnelles. Je vous laisse découvrir cette famille si inspirante et vous souhaite une bonne écoute 
  • 49. / Rediffusion / Maud et Clémens: vivre sa transparentalité en pleine puissance

    42:03
    Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler de genre, de celui assigné à la naissance en fonction de nos organes genitaux et dans lequel on ne se reconnaît pas forcément.Parfois c’est très tot que l’on s’en rend compte, enfant, la verbalisation est alors souvent plus évidente, moins contrainte par les injonctions que l’on reçoit tout au long de notre croissance. Parfois c’est plus tard, adulte, plus ou moins âgé, et le chemin de l’acceptation est souvent plus long, plus difficile tant on sait que l’on va transformer notre vie et celle de notre entourage.Clemens a eu ce déclic après sa grossesse. Devenir parent chamboule, transforme, amène à remettre en question beaucoup de nos certitudes et fait bouger toutes les lignes de nos personnalités. S’il a rapidement compris qu’il ne se retrouver pas dans cette case dans laquelle on l’avait mis, il a aussi pris la mesure de l’impact qu’aurait cette annonce dans son quotidien, pour sa femme et pour son fils particulièrement, au sein de son équipe de travail, auprès de sa famille et de ses amis.Avec Maud, ils se livrent a mon micro sur tous les sentiments par lesquels ils sont passés et leur discours est touchant tant il est sincère.Aujourd’hui, nous allons donc aborder la transparentalité, la transidentité, la transition de genre et le choix que Clemens a fait, et la réalité de ce que ceux là implique.Merci Clemens et Maud de votre confiance pour aborder ce sujet qui est parfois sensible, merci d’avoir accepté de vous raconter dans cette série d’épisode, merci d’y avoir mis cette légèreté qui va permettre une écoute sûrement plus large. Je vous souhaite une bonne écoute.Jusqu’en 2016, la transparentalité était limitée par la loi française qui exigeait la stérilisation des personnes trans pour acceder à une transition administrative. Dénoncée par le défenseur des droits européens depuis 2009, cette condition a été supprimé le 18 novembre 2016. (Source: Chysalide asso) Depuis, et depuis le vote de la nouvelle loi bioéthique, les accès à l’adoption et à la PMA ont été ouverts mais pas encore l’accès à la GPA, ce qui ne veut pas dire que des discriminations ne sont pas appliquées dans le choix des dossiers hélas. Évidement, devant la récence de ces mesures, aucune statistique n’est disponible sur le nombre d’enfants grandissant dans des familles transparentales. 
  • 48. / Rediffusion / Manoumi et son amoureuse

    01:08:45
    Quand j’ai eu l’idée de lancer ce podcast, j’avais bien évidement en tête les premières personnes que j’aurais aimé recevoir à mon micro, des personnalités évidentes. Man0umi fait partie de celle-ci. Engagée, inspirante, militante, défenseuse des droit des femmes et des droits des familles homoparentales, elle donne quotidiennement de la visibilité aux causes qu’elle soutient. Man0umi et son amoureuse ont une histoire digne d’un film romantique. Issues de 2 milieux et de 2 cultures très différentes, elles ont construit leur histoire dès le lycée. La vie les a séparé pour les réunir à nouveau quand Man0umi allait s’engager auprès de quelqu’un d’autre. Ensemble elles ont abordé le désir d’enfant avec évidence et on rapidement découvert comment se faire accompagner et guider sereinement. 2 enfants sont nés de leur parcours, Romy et Noa, et si aujourd’hui Man0umi se bat pour nos droits, c’est avant tout pour eux. La maternité a révélé cet engagement, ou plus exactement l’a réveillé. Nous avons échangé avec Man0umi sur le choix de leur clinique à Bruges, leur accompagnement par l’APGL, la difficulté des échecs, l’arrivée de leurs 2 rayons de soleil ainsi que la perception de cette maternité par leurs familles. Enfin elle a souhaité faire passer un message d’espoir: en donnant de la visibilité, la volonté est de rassurer et de guider avant tout, de la découverte de notre sexualité, à la réflexion de la parentalité, mais aussi de construire un monde plus inclusif pour nos enfants.  
  • 47. / Rediffusion / Stephanie et MC: La prémonition

    01:03:31
    Aujourd’hui, j’ai l’honneur de recevoir Stéphanie du blog http://www.demandesatesmeres.com à mon micro. Stéphanie est de ces personnes inspirantes et militantes qui font bouger les lignes. Nous nous sommes rencontrées par le biais d’Instagram et j’ai ensuite découvert son blog. Alors certes le cheminement est sensé être l’inverse, mais j’aime à croire que maintenant il peut se faire ainsi pour bien des futurs parents en recherche d’informations.  C’est son engagement pour nous garantir l’égalité, sa pertinence et la justesse de son discours qui m’ont guidé pour en faire une des premières invitées du podcast.  Son blog http://www.demandeatesmeres.com dont le nom est plus qu’évocateur, nous invite d’office à ne pas hésiter à lui demander ses tips et ses « bonnes adresses» . Il est une mine d’information mais aussi un témoignage écrit d’un parcours de PMA à l’étranger. Il est touchant, sensible et précis. J’avoue que J’aurais aimé bénéficier de son répertoire et de son histoire quand nous avons commencé nos recherches. Grâce à son compte Twitter @_Tes_ Meres, elle se confronte à nos politiques, toujours respectueusement, en les mettant face à leurs contradictions. Mais derrière la militante, il y a la femme de MC et il y a la mère, cette Maman qui a elle aussi dû avoir recours à un parcours à l’étranger, en Espagne plus précisément, pour avoir la chance de voir naître leur petite Alix. C’était il y a tout juste 2 ans, et le souvenir des émotions le jalonnant est encore bien présent. Nous avons évoqué ensemble, les convictions qui leur ont fait choisir Eugin à Barcelone, mais aussi la gestion de l’échec de plusieurs inséminations ratées, la naissance du blog et évidement leur mariage, la naissance et l’adoption d’Alix. Vous pourrez aussi retrouver sous un éclairage différent, son témoignage dans le dernière épisode du Podcast le tourbillon. 
  • 46. / rediffusion / Mona et Katrin: La lactation induite, de l'angoisse à l'évidence

    57:21
    Je dois vous prévenir que cette épisode est dingue! Dingue de la rencontre à leur maison d’enfants au Népal, de l’accouchement au projet de lactation induite. Et par dingue j’entends fantastique.Mona @monaetkatrin l’explique bien, la lactation induite et l’allaitement induit ne sont pas la même chose, le projet n’est pas le même. Leur projet à elles était de pouvoir nourrir toutes les 2 leur enfant, sans faire de distinction entre les laits, et en à part égale. Une production de lait, moitié-moitié, afin de pouvoir prendre le relais l’une de l’autre.Alors vu de loin, vous allez me dire que ce type de projet n’est envisageable que pour des personnes hyper informées et convaincues de l’allaitement?Si maintenant c’est le cas pour Mona et Katrin, ça ne l’était pas au début de leur réflexion. Mona était pétrie d’angoisses de ne pas trouver sa place de mère, elle a pensé que cela passerait aussi par le fait de nourrir son enfant. Le biberon était une évidence pour elle. Katrin souhaitait tenter l’allaitement et n’avait pas envie d’y renoncer.Elles ont mûri leurs convictions chacune de leur côté pour en arriver à se préparer, assez tardivement finalement, à cette lactation induite. Et avec le recul, elles remercient l’intuition qu’elles ont eu que cette solution d’alimentation ait été la leur, parce que Katrin seule n’aurait pas réussi à allaiter dans son post-partum immédiat, et Isaïe avait besoin de ce précieux lait pour guérir et reprendre de l’énergie après leur accouchement traumatique.Aucun jugement dans cet épisode, je sais que le sujet personne allaitante/personne biberonnante est clivant. Je le dis dans l’enregistrement il vaut mieux une maman et un bébé heureux au biberon qu’une maman et un bébé malheureux au sein, parce qu’on ne va pas se mentir, l’allaitement n’est pas facile pour tout le monde.Chacun fait comme il peut et comme il veut.Chaque histoire est unique. Je vous souhaite une bonne écoute.
  • 45. / Rediffusion / Jessica et Emilie: PMA sans bébé

    01:01:00
    / Rediffusion / Les enfants vont bien en vacances Saison 4Je pense que nous avons tous cette question dans un coin de notre tête quand nous débutons un parcours d’accès à la parentalité, et peut être même dès que l’idée commence à murir. Et si cela ne fonctionnez pas? Allons-nous savoir quand nous arrêter?Jessica fait partie de ces femmes qui savent qu’elles ont une limite et qu’elles ne compromettront pas leur intégrité physique et morale quelque soit la nature de leur projet. J’avoue que j’admire cela, connaitre ses limites est une vraie force. Alors quand elles se lancent dans leur parcours de PMA, avec sa femme Emilie, leurs choix étaient clairs. Au fur et à mesure de leurs essais et des résultats négatifs, leurs convictions se sont affinées mais le grand huit des émotions les a embarqué et les a emmené peut être plus loin que ce qu’elles imaginaient.Quand un corps dit stop et que l’autre n’est pas en capacité d’accueillir une grossesse, il est difficile d’acter que finalement, la suite de leur histoire se fera sans bébé, mais remplie d’autres jolis projets. Pour garder la maitrise de leur avenir, elles ont eu besoin de se sont lancés dans un projet concret, un projet dans lequel elles avait le pouvoir et le contrôle. C’est en suivant leur compte @ej.inlife76 que j’ai fait la connaissance de Mozart, leur van entièrement aménagé par elles 2 et que j’ai découvert leur histoire sous jacente. C’est tout en émotion que Jessica m’a confié son témoignage d’une grande force et je l’en remercie encore car je suis convaincue qu’elles ne sont pas les seules à avoir arrêté leur parcours, par choix ou non, et que certain.es se posent la question de leurs limites. Je vous souhaite une bonne écoute. 
  • 44. / Rediffusion / Sarah et Morgan: rebondir après l'échec

    54:24
    Vous êtes nombreux.ses à me dire combien vous vous sentez démunis face à un échec, que ce soit le 1er, que l’on arrive parfois à relativiser, ou le 2ème, 3ème, 4ème et plus.Vous êtes nombreux aussi à me dire que vous avez l’impression de n’avoir que très peu de prise sur vos parcours, vous êtes partie prenante tant que des choix sont à faire, puis vous êtes pris en charge et donc déchargés de la conception. C’est étonnant quand on y pense, c’est justement l’acte dont on devrait être le plus acteur.C’est perturbant et déstabilisant. Ce que vous ne savez peut être pas, c’est que vous pouvez garder la maîtrise, principalement celle de votre corps et de votre esprit, et c’est tellement important d’être dans ces dispositions là.Morgane et Sarah l’ont bien compris, elles le savent elles, parce qu’elles sont informées et ouvertes à nos rituels de Doula, à nos gris-gris de sorcieres, à ces petits riens qui font un grand tout. Et je vous promets que cette spiritualité a des fondements très encrés, parce que je sais que parfois, c'est difficile de rentrer dedans. On peut préparer son corps, et pas seulement de façon médicale, à la conception et durant toute la grossesse, pour vivre l’enfantement que l’on souhaite. Morgane et Sarah,  vous les connaissez sûrement, ce sont les @mrsm_mrss. J’ai suivi leur grossesse et j’étais bien curieuse de connaître les dessous de leur rencontre. Évidement on s’est trouvé, on s’est raconté, on a échangé sur nos convictions, et je peux vous dire que cette discussion va ouvrir les possibles. Après un parcours de vie chaotique pour Morgane, Paolo et Owen, ce Happy end réchauffe les coeurs!Ps: même au montage les larmes me sont montées devant l’émotion de Sarah à l’évocation de sa rencontre avec Owenn et PaoloJe vous souhaite une bonne écoute ----------------------------------Musique de cet épisode:Josh Woodward I'll be right behind you Joséphine
  • 43. / Rediffusion / Camille et Olivia: La PMA au USA

    01:26:36
    / Rediffusion / Les enfants vont bien en vacances saison 4Je ne sais pas vous, mais moi j’ai toujours eu l’impression que les États Unis avaient une longueur d’avance sur nous concernant la possibilité de concevoir pour les familles homoparentales. Des 1995 et la diffusion en France de la série Friends, le ton est donné. Le premier épisode intègre instantanément une famille homoparentale, celle de la ex-femme de Ross avec sa compagne et leur fils commun, et je crois me souvenir que cela m’avait paru hallucinant a l’époque. Inconcevable en France. La liberté des couples homosexuels, que je découvrais a ce moment là dans les Chroniques de San Francisco d’Amistad Maupin, me faisait rêver et dessinait déjà mes rêves d’expatriation. Olivia et Camille sont allées au delà de leurs rêves et ont concrétisé leurs envies de nouveaux horizons à la faveur d’un stage de fin d’études. Elles ont découvert la Floride, et l’ouverture d’esprit des Floridiens quant à l’avenir des familles homoparentales. Elles se sont projetées dans cette vie là et si finalement la loi fédérale sur la reconnaissance du 2eme parent n’est que très récente, la simplicité d’accès à la PMA pour les couples de femmes et les femmes seules n’est pas une légende. En couple, elles me racontent leurs parcours, celui qui a vu la naissance de leur fils Evan puis celui qui a vu naître leurs jumeaux Adèle et Raphaël 2 ans plus tard. On parle aussi business parce que l’Etats-Unis sont ce qu’ils sont, la liberté et le libéralisme ont un coût qui n’est pas neutre, et surtout qui nous ramène malgré tout à la réalité de nos parcours en Europe. Certes nous devons nous rendre à l’étranger et nous devons payer notre PMA, mais c’est le cas ailleurs aussi, même si la clinique est en bas de chez soi. Je vous laisse découvrir cet épisode qui va vous faire voyager et surtout découvrir une magnifique famille Franco-Américaine qui vit et profite de son rêve Américain sous toutes les coutures.
  • 42. Tiphaine: Accélerer son projet de parentalité solo à cause d'un papillomavirus récidivant

    57:35
    J’ai longtemps hésité sur le titre à donner à cet épisode tant il aborde de sujets essentiels. Je n’aime pas trop les titres à rallonge et les miens sont déjà trop souvent hors limite. Petite parenthèse, ce n’est pas l’excuse qui explique le retard de sortie de cet épisode, mais ça, je vous propose que nous en parlions en fin d’épisode. Revenons-en à l’épisode! J’aurais pu le titrer ainsi: aller au dela de ses limites pour assouvir son désir d’enfant. Oui mais j’ai trouvé que cette entête pouvait sonner comme culpabilisante et jugeante alors qu’en écoutant le témoignage de Tiphaine, nous aurions toustes eu envie de la soutenir et de la protéger. Qui n’a pas, un jour, dans son parcours, dépassé ses limites? Qui est resté sur sa ligne de conduite, alors qu’une épée de Damocles se profilait au dessus de sa tête? Cette contrainte peut être d’origine financière, humaine, ou tout autre. Dès lors qu’elle engage l’avenir du projet, son impact et sa résonance sur nos décisions sont énormes. Je pense que nous avons toustes des sujets avec lesquels nous sommes moins à l’aise dans nos parcours, qui parfois mènent à une nécessité de soin, physique ou mental. Tiphaine, que vous avez déjà entendu dans le podcast, nous raconte aujourd’hui son parcours de parentalité solo, accéléré par une santé fragile et un papillomavirus récidivant. Dans cet épisode, nous avons traité de nombreux sujets nécessitant une sensibilisation. Celui du Papillomavirus m’a semblé etre le plus indiqué à extraire et à mettre en avant, tant cette infection est méconnue et est engageante pour votre santé future et celle de vos enfants. Je vous laisse découvrir en quoi Tiphaine a dépassé ses limites, sous la pression de sa santé, et serait ravie de découvrir en quoi vous considérez avoir dépassé les votres. Pour cela, je vous proposer de me le raconter en commentaire du post Instagram sur le compte du podcast @lesenfantsvontbienpodcast. J’ajoute juste ici, que si ce podcast vous plait et que vous souhaitez le soutenir, je vous propose de nous retrouver sur ma page Steady. Vous en trouverez le lien en bio du compte Instagram du podcast: @lesenfantsvontbienpodcast et ici: https://steadyhq.com/les-enfants-vont-bienJe vous souhaite une bonne écoute.