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Les Voix de la Photo

#56 Mat Jacob & Monica Santos (Zone i)

Saison 1, Ep. 56

Zone i c’est l’histoire d’un couple qui souhaite exercer autrement leurs métiers et leurs vies de façon créatives. Monica Santos fut scénographe, graphiste et commissaire d’exposition et Mat Jacob a cofondé le collectif Tendance Flou avec 5 photographes déçus par le fonctionnement des agences traditionnelles. Le nom du lieu Zone i : provient de son statut de zone inondable qu’ils veulent transformer en zone image avec une préoccupation pour l’écologie. On a abordé leurs différents projets : expositions, résidences, un labyrinthe avec des portes et des miroirs, des appels à objets ou photos à la population dans la presse et les jeudis à zone i ; mais aussi les évolutions des métiers de la photographie. Bonne écoute !


3’ – Le parcours professionnel de Monica Santos

8’30 – Le parcours professionnel de Mat Jacob

16’55 – Un désir vif d’exercer autrement son métier et sa vie de façon plus créative. Une rencontre avec la région Centre Val de Loire et un lieu : le moulin de la Fontaine à Thoré-la-Rochette, dans le Loir-et-Cher

28’ – Zone i : zone inondable qu’on veut transformer en zone image avec une préoccupation pour l’écologie

30’ – Les différents projets : expositions, résidences, un labyrinthe avec des portes et des miroirs, des appels à objets ou photos à la population dans la presse et les jeudis à zones i.

45’ – Les évolutions des métiers de la photo

Le site de zone i : https://www.zone-i.org/


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  • 101. #101 Thierry Bigaignon (Bigaignon)

    01:04:32
    Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le début de sa carrière professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les évolutions et particularités de sa galerie qui a une librairie curatée, une veste de galeriste, une identité olfactive et des réserves ouvertes au public. On a parlé aussi des défis qu’il rencontre de renouveler sa clientèle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. Très bonne écoute !1’ – Son environnement familial, sa formation en science politique et histoire et son début de carrière professionnelle dans la communication en Angleterre et Paris.7’ – Le début de sa galerie : « J’ai arrêté mon agence en communication car j’avais l’impression d’être le seul passionné dans la salle. J’ai décidé de créer ma galerie car dans une galerie, on parle entre passionnés. »9’10 – Les débuts de la galerie à l’hôtel de Reitz et l’histoire de son exposition inaugurale avec Ralph Gibson.21’30 – Son ambition : envie de se hisser au rang d’un leader. « Le propre des galeries est d’être des petites entreprises qui agissent comme des grandes. Il existe une dichotomie entre la taille des entreprises dans le marché de l’art et le marché mondial que l’on vise. »28’- Pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain.34’ – Une des particularités de sa galerie : une librairie curatée qui se renouvelle tous les trois mois.44’ – Ses stratégies pour rester pertinent dans le marché de l’art : création d’une veste de galeriste et travail sur une identité olfactive diffusé dans la galerie/librairie et dans les foires.50’30 – Les défis auxquels il fait face en tant que galeriste :Mutation des collectionneurs : travail pour se rapprocher des collectionneurs millennials pour maintenir sa clientèle de collectionneurs.Mutation technologique qui touche le métier de galeriste et l’art lui-même car on est dans une période de changement technologique importante et le galeriste est un passeur entre le monde de la création et les acheteurs.Instabilité politique. Quand on veut promouvoir des artistes à l’étranger, on doit se poser la question, est-ce qu’on fait les bons choix ?57’40 – S’il était artiste et qu’il souhaite montrer son travail à un galeriste, il essayerait de faire une liste des galeries qui correspondent à son travail, aller à toutes les expos, comprendre comment la galerie fonctionne et rencontrer les autres artistes de la galerie. Je ferai des expos collectives en centre d’art et je ferai des livres avant même d’être en galerie. Un galeriste ne va pas montrer d’artiste qui n’a jamais montré son travail.1’00'00 – Ses conseils pour les jeunes ou futurs galeristes : C’est un métier très difficile économiquement et la passion ne suffit pas. Il faut avoir le cœur solide et le sens des responsabilités.Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 100. [BEST OF] #100 Marine Lefort interviewée par Adrien Garcia (The Bold Way)

    07:17
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 100. #100 Marine Lefort interviewée par Adrien Garcia (The Bold Way)

    38:03
    Pour ce 100ème épisode, je suis ravie d’avoir été interviewée par l’hôte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genèse, les évolutions et l’avenir de mon podcast lancé il y a quatre ans, mes coups de cœur mais aussi ce que je fais pour m’améliorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espère que cet épisode spécial vous plaira, encore merci à Adrien et bonne écoute !2’40 - La genèse et les débuts du podcast en 2020.7’ – Ce que j’ai compris de l’écosystème de la photographie après 100 épisodes.9’35 - Les principales évolutions du podcast au fil du temps et les épisodes qui m’ont marqués.14’40 – Comment est-ce que je fais pour m’améliorer.17’20 – Le futur du podcast.25’- Comment est-ce que je mesure le succès de mon podcast.30’15 – Comment est-ce que je choisis les invités du podcast au fil des années.33’09 – Qui est-ce que je souhaiterai interviewer.35’- Mes conseils pour les personnes qui souhaitent lancer un podcast.Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 99. [BEST OF] #99 David Fourré (Lamaindonne)

    09:03
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’il a compris) d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !Le site de David Fourré, édition Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 99. #99 David Fourré (Lamaindonne)

    54:49
    David Fourré, éditeur de Lamaindonne, revient sur l’équilibre entre ses activités aux éditions du Rouergue et ses projets d’éditions. Il nous explique la genèse de sa maison d’édition, son rôle de trouver la bonne forme d’une série photo puis de faire des choix de formats/papiers/mises en page/place du texte, les actions de l’association qui promeut le livre photo français France Photo Book et ses projets en cours. Avec honnêteté et transparence, il nous a donné des conseils pratiques et a levé des tabous sur le livre photo et son économie. Marché compliqué, car « Très peu de gens achètent des livres photos, mais bizarrement il y a de plus en plus de livres photos et d’éditeurs de qualité ». Bonne écoute !1’30 – Un amoureux des livres et en particulier des livres de littérature. Sa rencontre avec les éditions du Rouergue et Olivier Douzou.4’30 – Olivier Douzou lui apprend à considérer le livre comme un terrain de jeu. Pas des contraintes trop formelles. Tant qu’il y a du sens.7’ – La genèse de l’édition Lamaindonne.10’35 – Les étapes de création de ses livres.12’10 – Ce que j’aime ce sont les photos « sales ». Où l’on voit le regard. Il faut regarder au-delà de l’image.12’50 – Le rôle de l’éditeur est d’essayer de trouver la bonne forme (en tout cas ce qu’on a compris) de la série photo et de faire des choix de format/papier/mise en page/la place du texte…23’35 – « Un bon livre photo est un livre habité qui ne nous rend pas froids » On travaille avec des séries photos qui font un tout. On ne travaille pas sur une image iconique, mais sur un flux… comme dans un livre littéraire.26’40 – Très peu de gens achètent des livres photos. Mais bizarrement il y a de plus en plus de livre photos et d’éditeurs de qualité.27’40 – Les actions de l’association qui promeut le livre photo français : France Photo Book. (Travail auprès du ministère de la culture, diffusion du livre photo français à l’international….)34’15 – L’économie du livre photo : Faire des livres photo ce n’est pas rentable, car objet très cher à fabriquer (beau papier, photogravure, imprimeur cher, car cher à faire) et petit tirage, car peu d’acheteurs. Les recherches de financements sont essentielles et la plupart des régions aident les éditeurs.37’ – Un des tabous dans le livre photo : Parfois des photographes payent pour faire un livre avec un éditeur.37’50 – Une des solutions pour tirer en plus d’exemplaire : faire des livres en co-éditions avec des éditions qui ne sont pas basés en Europe.39’ – Ses projets d’éditions dans en 2024.48’48 – L’intérêt des livres photo c’est de travailler à deux : photographe et éditeur.50’ – Conseils pour des éditeurs : il ne faut pas se lancer tout de suite dans le livre photo en indépendant.Le site de Lamaindonne : https://www.lamaindonne.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 98. [BEST OF] #98 Brigitte Patient (Écoutez voir)

    05:33
    -> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 98. #98 Brigitte Patient (Écoutez voir)

    47:09
    Brigitte Patient, grande voix de la radio chez France Inter, passe de l’autre côté du micro dans cet entretien. On y a abordé son émission Regardez voir qu’elle a animé de 2012 à 2019, mais aussi son podcast Écoutez voir, podcast produit par wave.audio et ses projets actuels. Elle est revenue sur les ateliers médias qu’elle réalise à l’école des Métiers de l’Information et avec L’œil de l’esprit et de son rôle de vice-présidente du pôle photographique Stimultania à Strasbourg et Givors (réseau Diagonal). Elle nous a parlé des évolutions qu’elle aperçoit dans le photojournalisme et nous a donné des conseils lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique. Bonne écoute !2’08 – Son enfance dans le Berry, sa première carrière d’institutrice et sa rencontre avec la radio.6’52 – La genèse de son émission à France Inter Regardez voir de 2012 à 2019.18’35 – Les dessous de son podcast Écoutez voir produit par wave.audio.23’ – Ses projets actuels : les ateliers médias à l’école des Métiers de l’information et avec l’œil de l’esprit. Ses portraits sonores dans le cadre du travail de Mélanie Wenger à la prison de Fleury-Mérogis.29’30 – Son rôle de vice-présidente du pôle photographique « Stimultania » à Strasbourg et Givors.32’- Les évolutions : sujets de l’intelligence artificielle, le retour à des techniques anciennes et le travail de certaines personnes à montrer autant les femmes que les hommes photographes.33’ – Les évolutions dans le photojournalisme : « J’ai l’impression que la photo documentaire est en train de prendre le pas sur le photojournalisme. »44’ – Ses conseils pour s’adresser à un journaliste lorsque l’on souhaite recevoir un retour sur son travail photographique.Le site de Brigitte Patient : https://www.brigittepatient.com/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsiteEt vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoEt merci au Quai de la Photo (Marion Briffod x Pierre-Yves Mahé) de m'avoir prêté votre studio pour enregistrer cet épisode.
  • 97. #97 Valérie Fougeirol (Commissaire d'exposition)

    01:17:46
    Valérie Fougeirol a été directrice de Paris Photo et de la Galerie Magnum et dans cet entretien on est revenu sur ses apprentissages dans le milieu de la photographie mais aussi des anecdotes et certaines rencontres marquantes qu’elle a fait tout au long de sa carrière. Elle nous a aussi donné des pistes de réflexions sur la fin de la photographie avec le passage à l’image à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation. Nous avons aussi abordé comment aborder des commissaires ou des galeries si on veut montrer son travail. Bonne écoute !1:20 – Son enfance auprès d’un père distributeur de livres et ses études à l’école du Louvre.6:50 – Ses premières expériences à la Galerie Maeght et au Salon de l’édition d’art.18:30 – En 2001 elle rejoint les équipes de l’entreprise Reed exhibition (RX) à la Fiac pour monter un fichiers collectionneurs et leurs faire un parcours. Et en novembre 2001, RX rachète la foire Paris Photo et elle accepte d’être la directrice de cette jeune foire avec deux objectifs : développer le marché de la photographie et s’intéresser aux scènes étrangères.28:30 – Elle revient sur le processus de sélection depuis le comité la prospection des galeries au Printemps jusqu’à l’événement en revenant sur les choix décisifs de l’implantation des galeries sur le salon32:15 – Son travail de fond à Paris Photo : créer l’attention du public tout en étant proche des galeries pour en faire venir d’autres. Elle a quitté Paris Photo car elle ne souhaitait pas déménager la foire au Grand Palais pour ne pas perdre de sa qualité car le volume est très grand et qu’elle souhaitait passer la main après sept années.35:50 – Elle a proposé des développements à l’étranger : New York et Londres avec une édition Paris Photo à Londres en 2007.39:40 – En 2008, elle rejoint le collectif Magnum pour développer la galerie Magnum. Elle revient sur ses rencontres avec des photographes et son coup de foudre pour le travail de Robert Capa.54:30 – En 2012, elle rejoint le collectif Temple pendant un an et demi où elle participe à des éditions et des expositions et en novembre 2014, elle est la commissaire du mois de la photo.1:02:01 – Elle réalise des ateliers avec Eyes in progress en stratégie du développement du photographe auteur en milieu artistique pour aider les photographes à embarquer les outils à leurs dispositions. Mais aussi se poser des questions sur leurs identités, leurs cheminements, les aspects poétiques-politiques et le fond/la forme de leurs recherches.1:04:01 – Les trois grandes expositions américaines : Family of man – Mirrors et New Topographics.1:06:15 – « J’adore la matérialité de la photo mais on est à l’heure de la blockchain et de la dématérialisation on va vers une fin de la photo. On est désormais dans l’image. Le livre fait de la résistance. »1:10:10 – « Un artiste prend des risques et il se questionne sur un chemin qui lui est propre. »1:11:10 – Ses conseils pour les photographes qui veulent rencontrer des commissaires ou des galeristes.1:14:15 – Exemple de l’expo Rubis Mécénat durant Photo Saint Germain avec deux photographes sud-africain qui ont parlé de leurs traumas.Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto
  • 96. #96 Guillaume Geneste (La chambre noire)

    28:23
    Le tireur Guillaume Geneste revient dans cet entretien sur ses expériences professionnelles avant de lancer son laboratoire La chambre noire en 1996, les évolutions dans son métier, mais aussi les relations construites dans le temps avec des photographes comme Bernard Plossu et Sabine Weiss. On a parlé de couleur de tirage et de l’importance de l’arrivée du scanner, mais aussi de ses autres projets d’écriture et des projets avec son association de tireurs. Bonne écoute !2’- L’origine de sa passion pour la photographie et sa formation4’ – Ses expériences professionnelles : avec Marc Bruhat au laboratoire Sillages, au laboratoire Contrejour et le lancement de son laboratoire en 19966’ – Les évolutions de son laboratoire et l’arrivée des deux autres salariés : Guillaume Fleureau et sa fille Chloé Geneste7’50 – Comment faire un bon tirage10’15 – Les relations construites dans le temps avec les photographes (par exemple Bernard Plossu)11’02 – « On parle de couleur en noir et blanc c’est plus jolie que le mot rendu et c’est plus large que le mot contraste ou le mot douceur qui peut être utilisé pour des raisons différentes en tirage »12’28 – Un bon tirage est un tirage qui plait au photographe et au tireur13’50 – Les deux évolutions dans son métier : la vente de tirage de collection et l’arrivée du scanner18’08 – Les évolutions dans l’édition20’20 – L’écologie dans son travail22’40 – Ses autres projets : l’écriture sur la photographie et son association de tireurs (la genèse du projet et les projets en cours)26 – Ses conseils pour les tireursSite de la chambre noire : http://www.la-chambre-noire.com/Pour suivre l'actualité du podcast et vous vous inscrire à sa newsletter : https://bit.ly/lesvoixdelaphotowebsite et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto