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Les Sons de l'actu
Thierry Debès: « Chilavert avait une aura »
Saison 7, Ep. 22
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Remplacé par Jose Luis Chilavert durant la saison 2000-2001, Thierry Debès s’est bien entendu avec le gardien paraguayen. Plus que le jeu au pied du Sud-Américain, c’est son aura qui a impressionné sa doublure.
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Ces grandes enseignes qui "vampirisent" le centre-ville de Strasbourg
03:57|De grandes enseignes de fast-food américaines qui se multiplient ces dernières années. Des chaînes de magasins de chaussures et de vêtements, françaises ou européennes, devenues omniprésentes sur les grands axes de circulation du centre-ville. Strasbourg court-elle le risque de l'uniformisation, jusqu'à ressembler bientôt à toutes les autres villes touristiques du monde ? Laurent Maennel, manager de centre-ville, explique pourquoi les grandes chaînes commerciales ont peu à peu "vampirisé" les principaux axes piétons de la capitale alsacienne, tout en soulignant la grande "diversité" par ailleurs de l'offre commerciale actuelle.Un pompier témoigne : "Je voulais porter secours aux autres, aujourd'hui c'est moi qui me fais agresser"
03:44|Ils se sont engagés au service de la population, pour aider les gens. Les voilà maintenant eux-mêmes victimes d'agressions dans l'exercice de leur profession. Depuis quelques années, les "agressions du quotidien", comme les appellent les pompiers eux-mêmes, sont en forte augmentation : seulement dans le Bas-Rhin, on estime qu'elles touchent deux pompiers par semaine. Parce qu'outre les scènes de violences urbaines comme au Nouvel an à Strasbourg, se développe de plus en plus, "sur de petites interventions", un phénomène de "gens violents qui s'en prennent à nous". Adrien Sabos, pompier et président du syndicat Avenir Secours 67, porte la parole de collègues "bouleversés", dont certains vont jusqu'à remettre en cause leur vocation.3. Face aux grandes enseignes, les commerces indépendants font de la résistance
03:58||Saison 1, Ep. 3Les grandes enseignes nationales et internationales se multiplient au centre-ville de Strasbourg. Face à elles, de petits commerçants indépendants font de la résistance. Depuis 1868, la Droguerie du Cygne résiste à toutes les modes, à tous les changements. La clef ? Savoir s'adapter. Diane Meyer-Stub, qui a pris la suite de sa mère il y a deux ans, explique comment son commerce est "en perpétuel renouvellement". Et pourquoi il est important de préserver l'authenticité des commerces indépendants de Strasbourg, pour ne pas que son centre-ville ressemble à tous les autres.4. "Il aimait les gens" : un hommage à Émile Jung par ceux qui l'ont connu
05:24||Saison 1, Ep. 4Une semaine après la disparition du chef triplement étoilé du Crocodile, à l'âge de 79 ans, il y avait beaucoup de monde à la cathédrale de Strasbourg pour lui rendre un dernier hommage. On y a croisé des chefs, des amis, des gens venant de son village d'origine, Masevaux. On leur a demandé qui était Émile Jung pour eux.5. Coronavirus : faut-il (déjà) paniquer ?
04:17||Saison 1, Ep. 5Les annulations en série de carnavals et d'événements sportifs ce week-end, pour cause de protection contre le coronavirus, ont fait augmenter d'un cran l'angoisse dans une partie de la population alsacienne. Alexandre Feltz, médecin généraliste et adjoint au maire de Strasbourg chargé de la santé (*), appelle les autorités à la cohérence, pour éviter la psychose. Il considère que la France est bien préparée à l'arrivée de l'épidémie et explique pourquoi le coronavirus effraie plus que la grippe saisonnière, qui fait pourtant chaque année en France plusieurs milliers de victimes.6. Déraillement d'un TGV : "On a senti un choc très violent, les vitres ont éclaté"
03:27||Saison 1, Ep. 6Geneviève Fischer a pris ce jeudi matin le train de 7h19 à Strasbourg en direction de Paris. Quelques minutes après, un choc violent. Elle était dans le premier wagon après la locomotive du TGV qui a déraillé, à Ingenheim. Elle n'a pas été gravement blessée. Elle raconte l'angoisse, et aussi l'étonnement quand elle a appris qu'elle se trouvait en ce moment juste en face de son village d'origine, Littenheim, d'où sont immédiatement venus son père et sa sœur pour la soutenir.7. "On est passé à côté d'une catastrophe"
06:46||Saison 1, Ep. 7Extraits de la conférence de presse qui s'est tenue à la mairie d'Ingenheim, à la suite du déraillement d'un TGV jeudi 5 mars. Jean-Pierre Farandou, directeur de la SNCF, s'exprime, suivi du président de la Région Grand Est Jean Rottner.7. Coronavirus : pas d'école pour les enfants, comment font les parents ?
03:28||Saison 1, Ep. 7Télétravail, arrêt, organisation entre parents ou avec les voisins. Dans le Haut-Rhin, les parents trouvent des solutions pour assurer la garde de leurs enfants, alors que les établissements scolaires sont fermés depuis ce lundi matin, pendant deux semaines, pour cause de coronavirus. Par exemple Véronique Daub, de Saint-Hippolyte, explique comment elle et son époux ont dû chambouler l'organisation familiale quotidienne pour s'occuper de leurs deux filles de 9 et 15 ans. Elle dénonce au passage le manque de cohérence de l’État.Quand un drame frappe la commune, le maire en première ligne
08:12|Dans les petites communes, presque tous les maires l’ont vécu. Un accident, un incendie, un suicide ou encore une noyade, et voilà les élus en première ligne pour annoncer aux familles la mauvaise nouvelle : celle de la disparition tragique d’un proche. Cette tâche, pas vraiment officielle, est pourtant largement méconnue du grand public. Pourtant, elle marque profondément les édiles. Huit ans à la tête de la commune de Masevaux-Niederbruck dans le Haut-Rhin, Laurent Lerch a dû annoncer plusieurs fois la mauvaise nouvelle. Il se rappelle de ce jour d’août 2005, lorsqu’une habitante, très connue dans la commune, a perdu la vie dans un incendie.