Les Parleuses

C'était le 8 novembre 2025 à la médiathèque de Roubaix. Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses organisent des séances pour retrouver la mémoire… Pour cette 52e séance, l’autrice Héloïse Brézillon a eu envie de nous plonger dans l’œuvre d’Ursula K Le Guin.Musique Alex·ia CharoudSaxophone Louise Frago

C'était le samedi 5 juillet 2025, à la bibliothèque Louise Michel (Paris, 20e) Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses organisent des séances pour retrouver la mémoire… Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers de lecture par arpentage et d’écriture, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Pour cette 51e séance, l’autrice metteuse en scène Rébecca Chaillon a eu envie de nous plonger dans l’œuvre d’Octavia E. Butler.

Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses organisent des séances pour retrouver la mémoire… Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers de lecture par arpentage et d’écriture, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Avec cette 50e séance, imaginée avec le festival De Guingois de la librairie Le Monte en l'air, l’autrice Carla Demierre nous plonge dans l’œuvre d'Adelheid Duvanel.

Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses organisent des séances pour retrouver la mémoire… Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers de lecture par arpentage et d’écriture, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Avec cette 49e séance, imaginée avec le festival Lire en corps à Lille, l’autrice Louise Desbrusses nous plonge dans l’œuvre de Gertrude Stein

Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses organisent des séances pour retrouver la mémoire… Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers de lecture par arpentage et d’écriture, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Pour cette 48e séance, imaginée dans le cadre de cette 13e édition du festival Littérature, etc, dédié au thème Enfances, avec la poétesse Anne Kawala, nous avons eu envie de revenir sur l’œuvre de Christiane Rochefort, autrice qui luttait, entre autres, contre la domination des adultes sur les enfants.

Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses/L’association Littérature, etc, organisent des séances pour retrouver la mémoire. Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Pour cette 47e séance, l’artiste Law a choisi de nous plonger dans l’univers de Natalie Clifford Barney, femme de lettres américaine connue pour ses poésies, ses mémoires, les salons parisiens qu’elle tient et ses relations amoureuses lesbiennes.

Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses/l’association Littérature, etc, organisent des séances pour retrouver la mémoire. Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Pour cette 46e séance imaginée avec l’Institut pour la photographie à Lille, la critique d’art et commissaire d’exposition Julie Crenn, accompagnée de Mathilde Recton, nous plonge dans l’univers de la photographe néerlandaise d’origine hongroise Ata Kandó.

Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 45e séance, l’autrice Salomé Kiner imagine une séance dédiée à Dubravka Ugrešić .

Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 44e séance, l’autrice Juliette Rousseau imagine une séance dédiée à Anjela Duval.