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47. Natalie Clifford Barney (1876 – 1972) par Law, séance 47 !
40:27||Ep. 47Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses/L’association Littérature, etc, organisent des séances pour retrouver la mémoire. Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Pour cette 47e séance, l’artiste Law a choisi de nous plonger dans l’univers de Natalie Clifford Barney, femme de lettres américaine connue pour ses poésies, ses mémoires, les salons parisiens qu’elle tient et ses relations amoureuses lesbiennes.
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46. Ata Kandó (1913-2017) par Julie Crenn, séance 46 !
31:17||Ep. 46Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses/l’association Littérature, etc, organisent des séances pour retrouver la mémoire. Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Pour cette 46e séance imaginée avec l’Institut pour la photographie à Lille, la critique d’art et commissaire d’exposition Julie Crenn, accompagnée de Mathilde Recton, nous plonge dans l’univers de la photographe néerlandaise d’origine hongroise Ata Kandó.Dubravka Ugrešić (1949-2023) par Salomé Kiner, séance 45!
47:26||Saison 45Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 45e séance, l’autrice Salomé Kiner imagine une séance dédiée à Dubravka Ugrešić .44. Anjela Duval (1905-1981) par Juliette Rousseau, séance 44 !
44:18||Ep. 44Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 44e séance, l’autrice Juliette Rousseau imagine une séance dédiée à Anjela Duval.43. Yamina Mechakra (1949-2013) par Karima Ouaghenim, séance 43!
43:42||Ep. 43Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance pour retrouver la mémoire. Pour cette 43e séance, nous sommes invitées le 20 janvier 2024, Karima Ouaghenim a choisi de nous parler de Yamina Mechakra.42. May Ayim (1960 - 1996) par Diaty Diallo, séance 42!
42:54||Ep. 42Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour retrouver la mémoire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 42e séance imaginée à la maison d'arrêt de Nanterre en octobre 2023, c’est l’autrice historique May Ayim qui est mise à l’honneur par l'autrice Diaty Diallo.41. Joan Nestle par Noémie Grunenwald, séance 41 !
50:17||Ep. 41Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 41e séance imaginée à la bibliothèque de Faches-Thumesnil dans le cadre de la semaine des fiertés, c’est l’autrice historique Joan Nestle qui est mise à l’honneur par l'autrice, traductrice, éditrice Noémie Grunenwald.