Les éditos de la rédaction

  • BCE : la chouette aussi a fait du bon boulot

    02:09
    Depuis le début de la pandémie, la BCE n’a pas démérité pour soutenir les économies européennes, alors même que ces dernières se chamaillent sur le plan de relance.
  • Winter is coming

    02:17
    Le troisième acte de la crise du Covid s’ouvre et les entreprises tremblent. Après le terrible confinement du printemps, l’insouciante reprise partielle de l’été, voici la deuxième vague hivernale qui s’annonce destructrice.
  • Sauver l’économie pour sauver des vies

    02:34
    Sauver des vies humaines ou épargner la vie économique. Entre deux fléaux modernes, dignes d’une tragédie classique, choisir le moindre.
  • La fuite en avant d’Erdogan

    03:08
    En se lançant dans des diatribes contre Emmanuel Macron, Recep Tayyip Erdogan tente de regagner dans l'opinion turque son éclat d'hier et de se poser comme un leader de l'islam. Une dangereuse fuite en avant.
  • Les leçons des fourmis face à l'épidémie

    03:30
    En attendant un traitement efficace, il n'y a qu'une seule façon de contenir une épidémie qui s'incruste : réduire les interactions sociales. C'est d'ailleurs ce que font les singes, les homards, les souris et les fourmis. L'édito de Jean-Marc Vittori.
  • Mieux gérer la deuxième vague

    02:22
    Le confinement du printemps s'est traduit par une facture économique colossale. Reste à espérer que les gouvernements en aient tiré les leçons.L'édito de Jean-Marc Vittori.
  • Surveiller sans bâillonner

    02:15
    Nos smartphones sont devenus une caisse de résonance sans arbitre et sans limite. Agir contre les excès n’a rien de liberticide.
  • Libérez les tests !

    02:13
    L’arrivée de nouveaux tests plus simples et plus rapides recèle un potentiel considérable pour mieux détecter et prévenir l’épidémie, mais aussi pour vivre avec le virus tout en faisant tourner l’économie.
  • Une crise bien plus inégalitaire que les précédentes

    04:41
    Avec l’épidémie, l’économie a plongé dans une récession des services. Sans précédent, cette crise est plus difficile à comprendre. Elle est aussi redoutablement inégalitaire.
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