Les Déviations

Après l'obtention de son diplôme, Lucero fait sa première expérience professionnelle dans le marketing, lors d'un stage. Celle-ci la conforte dans son choix de carrière.Mais quand elle intègre, deux ans après, une autre entreprise elle déchante. Harcelée par sa supérieure hiérarchique, Lucero s'accroche. En vain...C'est parce qu'elle tombe enceinte et qu'elle réalise le risque qu'elle fait courir à son bébé en laissant son moral et sa santé se dégrader qu'elle décide de partir. Lucero fait un travail sur elle-même et découvre l’univers du développement personnel, ce qui l’aide à envisager sa vie professionnelle autrement.Ce nouvel épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoute (Apple podcasts, Spotify, Deezer, etc.)

Lucero Martinez est née à Mexico, élevée par une mère célibataire. Stricte mais aimante, elle lui inculque les valeurs de travail et de mérite. Son objectif : faire de sa fille la numéro 1. « Tu es la meilleure et s’il n’y a qu’une place, elle est pour toi ». L'école devient alors son terrain de jeu : Lucero excelle. Si bien qu’elle finit par obtenir l’une des meilleures moyennes de Mexico. Cette réussite se concrétise lorsqu’elle obtient une bourse du mérite. Ce sésame lui ouvre les portes du très convoité lycée français de Mexico. À son arrivée, c’est un choc culturel. Elle découvre la notation française, un meilleur cadre de travail et l’apprentissage de nouvelles langues. À 18 ans, elle quitte son pays, direction la France. Grâce à une  bourse d'excellence attribuée par l’AEFE, elle intègre l’INSA de Lyon, prestigieuse école d'ingénieurs. Mais les choses se compliquent. Loin de sa famille, loin de son environnement et loin de ses repères, elle déprime. Lucero doit s'intégrer et faire face au niveau d'études des classes préparatoires. Première interro, elle obtient la pire note. Lucero pense alors à abandonner … Mais s’accroche et valide son diplôme. Peu passionnée par ses études, elle change de secteur et se réoriente vers le marketing. Elle se convainc que c’est le bon choix. Son master spécialisé à l’Essec lui coûte 17 000 euros. Pour le financer, elle devient conductrice de métro. Ses journées sont longues mais la détermination est au rendez-vous. Ce nouvel épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoute (Apple podcasts, Spotify, Deezer, etc.)*Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir la suite de cet épisode.

 Blessée, Sandy arrête le basketball de haut niveau.Après une période difficile, elle enchaîne plusieurs emplois dans des entreprises de technologie, mais ne voyant pas de perspectives d’évolution satisfaisantes, elle décide alors de lâcher prise pour se concentrer sur elle et sa famille. C’est alors qu’elle découvre Chance, une plateforme en ligne dédiée au  bilan de compétences. Séduite par leur programme, elle s’y inscrit et entame un véritable travail d’introspection. Ce nouvel épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoute (Apple podcasts, Spotify, Deezer, etc.)*Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Chance.

Sandy grandit entourée par l’amour des siens. Elle vit une enfance heureuse, sans aucune ombre au tableau. Petite, elle n’a aucun mal à s'affirmer et à exprimer ses désirs. Très vite, elle devient autonome et porte en elle, une envie d’indépendance. « Je n’aimais pas qu’on m’aide à faire les choses, j’aimais faire mes devoirs toute seule. Je n’aimais pas trop qu’on me conseille. » En classe de CM1, elle fait la rencontre du basket, une passion qui ne la quittera plus… jamais. Encouragée par sa famille, elle se rêve sportive de haut niveau. Toute sa vie en est régie. Des cours aux entraînements, de son cercle d’amis à ses sujets de conversation. Mais si le niveau d’exigence augmente en centre de formation, Sandy reste persuadée qu’un jour, elle y arrivera, elle deviendra professionnelle. En attendant, elle encaisse, qu’importe si sa santé en est le prix. Or, ses blessures augmentent, en même temps que le rythme de ses entraînements. Sandy s'entête, jusqu’au jour où… « Je me retrouve à jouer avec des doubles entorses aux deux chevilles. » Petit à petit, son rêve s'étiole. Et la conviction laisse place au doute…*Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Chance.**Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir le deuxième épisode.

“Après ma blessure, j’ai réalisé que mon rêve s’envolait.”Oumar Wassa a grandi en banlieue parisienne dans un quartier sensible. Il se passionne dès son plus jeune âge pour l'aéronautique et entame une formation d'agent de piste à Roissy.Son rêve allait se concrétiser, quand une blessure sportive l'empêche de décrocher l’emploi qu'il convoitait. Après un passage à la RATP, Oumar se forme grâce à Transitions Pro Île-de-France, et rejoint le secteur de l'aéronautique.Ce nouvel épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoute (Apple podcasts, Spotify, Deezer, etc.)*Ce podcast a été réalisé en partenariat avec Transitions Pro Île-de-France.

Jonathan grandit en Île de France entouré de sa maman et ses demi-frères et sœurs.  Son père, parti très tôt du domicile, ne refera surface que 20 ans après. Jonathan se construit donc sans figure paternelle. Mais les récits familiaux lui permettent d’en apprendre un peu plus. Son père était doué de ses mains, comme Jonathan. Tel père, tel fils. Outre l’aspect manuel, Jonathan aime transmettre, et surtout aux plus jeunes. Après l’obtention de son Bac, il commence alors une formation pour devenir professeur des écoles. En parallèle, Jonathan décroche un poste de surveillant des collèges, ce qui lui permet de financer ses études. Il découvre alors les coulisses du métier de professeur et n’est finalement plus trop sûr de son choix. Il préfère s’orienter vers autre chose et devient Médiateur des collèges, un poste clé pour gérer les conflits au sein de l’établissement. Il est « le roi du collège ». Au bout de 10 ans, Jonathan commence à sentir l’usure du terrain et préfère se réorienter vers un poste administratif. C’est le début de la descente aux enfers. Il est parachuté dans un bureau, seul, avec son ordinateur comme unique interlocuteur. Métier ennuyeux, sans aucune marge de manœuvre, Jonathan dépérit. Lui qui avait la responsabilité de tous les élèves auparavant, il estime ne plus servir à rien. Pendant le Covid, Jonathan, en télétravail, a le temps de refaire sa maison. C’est un déclic : il se reconvertira dans un métier manuel, la plomberie. Comme son père. Grâce à l'atelier des Chefs, il commence alors une formation à distance pour se perfectionner. Actuellement en plein passage d’examen pour valider son CAP, Jonathan espère continuer dans cette voie, et peut être devenir formateur pour les plus jeunes… La boucle serait bouclée.Si vous aussi, vous avez envie de prendre un nouveau départ, toutes les infos sur Nouvelle Vie Professionnelle.

[EPISODE 2]"Dans un monde idéal, je ne ferai que des Beaux-Arts."Clara Schmit a bien réalisé que le théâtre prenait le pas sur sa carrière d'avocate.Malgré cela, elle garde son emploi et travaille dans un cabinet.Sous la pression, elle se demande si sa situation professionnelle lui convient véritablement. Elle décide alors d'entreprendre un bilan de compétences avec Chance afin de concilier ses passions et sa vie professionnelle.👉 Pour découvrir la suite et écouter l’intégralité de cet épisode : lien dans notre bio.Cet podcast a été réalisé en partenariat avec Chance.

[EPISODE 1]Clara a longtemps suivi un parcours de vie dicté par les autres, avant de suivre le sien. Enfant, Clara n’a jamais trouvé la force intérieure de s’opposer à sa famille. École, loisirs, passions, Clara suivait les envies de ses parents pour ne pas les décevoir, alors même que son coeur l'appelait ailleurs.La pratique du théâtre, rêve enfoui depuis petite, n’était pas une option pour ses parents. Après son Bac, le père de Clara lui propose de s’orienter vers des études de Droit, domaine sérieux et plein d’avenir. Comme à son habitude, Clara n'ose pas dire non, et y va, alors qu'elle sait, au fond d'elle, que ce n'est pas pour elle. Dès les premiers cours, Clara a la confirmation que le Droit ne l’intéresse pas, mais elle continue, malgré tout, à travailler avec acharnement. Barreau, école d’avocat, 1ère expérience en Cabinet, tout s'enchaîne rapidement sans que Clara ne parvienne à dire Non.Mais un jour, le mal-être est trop grand. Elle commence à glisser doucement, et perd pied. Boule au ventre le dimanche soir, et angoisse à l'idée de retourner au travail, ses proches ne la reconnaissent plus. C’en était trop.Clara décide de reprendre son destin en main et commence le parcours Chance. De son bilan de compétences ressort un nouvel horizon professionnel. Clara, qui voulait tout plaquer et "faire un changement à 180 degrés" prend conscience avec l'aide de sa coach Chance qu'un pas de côté est possible, sans forcément tout mettre à la poubelle. Clara nous raconte : on vous laisse découvrir en vidéo.

Florence Chicoix venait de se lancer dans l'entrepreneuriat après avoir quitté un poste bien rémunéré dans une société américaine prestigieuse. Elle parlait alors de son projet, de ce qu'elle voulait que son entreprise raconte d'elle, de l'évolution sociétale qu'elle voulait accompagner et de pourquoi elle s'était lancée. La recherche d'un sens, de cohérence, d'alignement était partout. Florence avait des rêves plein la tête.À l'occasion de la sortie de notre nouveau magazine (actuellement en kiosque et sur notre site), nous sommes retournés la voir. 3 ans après, comme nous l'avions fait avec d'autres, histoire de voir si son rêve était devenu réalité. Et, comme à chaque fois, elle nous a raconté les joies, les peines, les surprises et les imprévus de la vie d'une cheffe d'entreprise débutante. Elle en a pris de l'expérience pendant ces années marquées par la traversée des confinements.Florence se raconte à nouveau. Avec moins de naïveté, probablement, mais avec plus de sagesse.Comme nous l'avions fait pour la quête de sens en général, Les Déviations sont partis en exploration du phénomène entrepreneurial. Changer de vie par l'entrepreneuriat intéresse beaucoup d'entre nous. Nous nous sommes dit qu'il était bon, avant de se lancer, d'apprendre des expériences des autres.Nous espérons que cette démarche vous plaira.