Partager

cover art for La force d'Olivier : innover en permanence

Les Déviations

La force d'Olivier : innover en permanence

« Quand on a de l’expérience et une intuition, il faut savoir l’écouter car ce n’est pas par hasard ».

Depuis son plus jeune âge, Olivier Reynaud a toujours été créatif, intuitif et curieux. « Cela a toujours été une de mes forces : je rêve ce que je vois, et j'essaie de le créer ! »


Alors étudiant dans une école de commerce à Montpellier, il remporte un concours de création d'entreprise innovante qui le pousse à développer sa première société dans la technologie. À seulement 22 ans, il se donne corps et âme pour la développer, tout en poursuivant ses études supérieures.

Cependant, la crise financière de 2008 éclate et affecte fortement sa start-up qui se retrouve endettée. Un premier échec qui ne l'empêche pourtant pas de se lancer dans une seconde aventure. Olivier s'accroche et fait preuve d'ingéniosité en adaptant son modèle d'entreprise. Et ça paye !

En 2010, il co-crée Teads - spécialisé dans la vidéo publicitaire en ligne - et la propulse sur le devant de la scène en devenant leader mondial dans son domaine.


Mais en 2017, son succès aura raison de lui. Au bord du burn-out, il décide de tout arrêter pour retrouver un rythme de vie plus sain.

2 ans plus tard, il revient plus fort ! La tête remplie d'idées innovantes créatives et décide de se former dans le codage informatique pour concrétiser et solidifier son projet. A la suite de plusieurs mois intensifs de formation au sein de Le Wagon, Olivier a remué ciel et terre pour atteindre ses ambitions.


C'est ainsi que née en 2019, Aive, la pépite qui automatise la création vidéo.


À noter que vous pouvez aussi retrouver le témoignage d’Olivier Reynaud dans le premier magazine Les Déviations qui est toujours en ligne via ce lien.

More episodes

View all episodes

  • 2. #2 Angela Portella : la quête de la liberté

    37:32
    De retour en banlieue, la liberté s’envole malgré le luxe et le confort apparents. Son sentiment d’enfermement, entraînera une dépression puis six mois de séparation. Angela se reconstruit, puis se libère du superflu, n'emportant avec elle qu'une petite valise. Mais n’est-ce pas dans le minimalisme que la liberté apparaît ? Et n’est-ce pas sur les planches d’un théâtre plutôt que dans les journaux qu’Angela pourra s’épanouir ? Retrouver d’autres quêtes de sens dans nos livres et magazines. Disponibles en librairie et sur notre site internet (www.lesdeviations.fr)
  • 1. #1 Angela Portella : la quête de la liberté

    38:27
    Comment se sentir libre et épanouie ? C’est la question qu’Angela s’est toujours posée. Élevée dans le carcan des traditions italiennes, Angela a toujours aspiré à une vie plus grande, plus libre. La surprotection de ses parents l'a maintenue dans une bulle, l'empêchant de vivre pleinement.Alors, lorsqu’elle tombe sur des femmes reporters de guerre en regardant la télévision, c’est une évidence. Elle doit devenir journaliste, pour faire tout ce dont elle a été privée. Dès ses premières piges, Angela trouve un espace de liberté. Mais un premier mariage va vite la faire déchanter. Elle se retrouve seule, avec un bébé et du travail à ne plus savoir quoi en faire. Si elle a toujours regardé la vie parisienne avec envie, son rêve va devenir réalité lors de sa rencontre avec son second compagnon. Angela acquiert une nouvelle liberté, une liberté urbaine, où l’effervescence ne retombe pas les dimanches. Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir la suite de son témoignage.
  • 2. #2 Bernard Garnier de Labareyre : Trouver son “et”

    34:57
    Bernard en est certain, il doit se tourner vers sa part inexplorée : l’art.Mais travailler dans ce monde n’est pas simple et cela va lui valoir plusieurs allers-retours. Du marketing à la publicité, Bernard va longtemps chercher son “et”, jusqu’à trouver son “don fondamental” : l’art du coaching.
  • 1. #1 Bernard Garnier de Labareyre : Trouver son “et”

    34:37
    Trouver son “et”, telle fût la quête de Bernard tout au long de sa vie.Né en Tunisie, sa relation fusionnelle avec sa mère façonne son univers et éveille en lui une passion pour le monde féminin. Bijoux, dessins ou encore peintures rythment ses créations et nourrissent son attrait pour l’art. Mais à l’école, il sent que ses hobbies sont en décalage avec ses camarades, plus enclin au football que lui.Les moqueries affluent et Bernard décide de se créer un personnage : “Je suis comme tout le monde”. Il se concentre sur ses études et emprunte la voie royale du garçon exemplaire : départ pour la France, classe préparatoire puis grande école de commerce.Diplôme en main, il s’envole pour la Chine et rejoint le monde de la finance. Mais le manque de technicité et d’humanité finissent par lui peser.
  • #2 Mickael Pan : Façonner son environnement avant qu’il ne nous façonne nous-mêmes

    26:31
    Le récit que Mickael Pan délivre d’une voix assurée qui a gardé l'accent du 9.3 est clair : avec lui, on ne joue pas. Alors, petite note à l'intention de ceux qui envisagent de se lancer pour des raisons « d'alignement éthique » ou par goût des caméras : la démarche entrepreneuriale de Mickael était bien plus abrupte.C'était lancer sa boîte ou passer 40 ans à trimer, coincé en bas de l'échelle sociale.Vous retrouverez son témoignage dans notre ouvrage « Changer de vie, changer le monde par l’entrepreneuriat », en vente sur notre site. Nous l’avons fait commenter par un entrepreneur chevronné habitué à accompagner des professionnels sur la voie de l’entrepreneuriat.Si vous envisagez de vous lancer vous-même, n’oubliez pas que nous pouvons vous accompagner. Plus d’informations sur notre site.*Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Origine France Garantie et la La Plage aux Entrepreneurs.
  • 1. #1 Mickael Pan : Façonner son environnement avant qu’il ne nous façonne nous-mêmes

    24:18
    « Devenir entrepreneur finalement, c'était un choix… parce que je n'avais pas le choix. » L'interview de Mickael Pan, cofondateur de la marque d'imperméables Flotte, a commencé sur cette phrase énigmatique.Une phrase qu'il a clarifiée juste après par une autre, absolument limpide, elle. « Aujourd'hui, c'est très sexy de dire : « Je suis un autodidacte, j'ai réussi tout seul, je suis parti from scratch, j'ai galéré ». Mais moi quand j'ai arrêté l'école, quand je me suis fait virer du collège, ils ont tous dit : « Ce mec-là, il ne foutra rien de sa vie ». »*Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Origine France Garantie et la La Plage aux Entrepreneurs.**Retrouvez la suite de son témoignage la semaine prochaine.
  • 2. #2 Karine Monneron : Travailler avec l'humain

    35:00
    Mais après dix belles années dans cette rédaction, les choses changent. Membre de petites équipes complémentaires qui prenaient le temps de poser les choses, de créer une relation avec les personnes dont elle racontaient les histoires, elle doit tout faire plus vite. Le monde des médias évolue. Il fallait faire plus, avec des équipes réduites.Karine Monneron doit enchaîner les sujets. Elle se déplace sans arrêt et a de plus en plus de mal à produire ce qu'elle estime être un travail bien fait.Elle éprouve moins de plaisir à travailler, mais refuse de se plaindre. Bien payée par une entreprise solide et prestigieuse, elle prend le mal-être qui s'installe dans sa vie pour une futilité. Hors de question de s'apitoyer sur son sort qui n'avait, selon elle, rien de comparable avec ce qu'avaient pu connaître ses proches.« Ça va passer », se disait-elle.Jusqu'au jour où ça n'est plus passé du tout. Découvrez d'autres histoires comme celle-ci dans nos livres et magazines. Disponibles en librairie et sur notre site internet.
  • 1. #1 Karine Monneron : Travailler avec l'humain

    36:16
    S'écouter est parfois plus difficile qu'on ne le pense.Karine, issue d'un milieu ouvrier, a grandi avec l'idée qu'il faut savoir affronter les difficultés de la vie. Passionnée par le pouvoir de l'image, elle s'est fixée très tôt l'objectif de devenir journaliste. Même si les contraintes de ce métier semblaient peu compatibles avec le schéma familial qu’elle avait en tête.École, stages, alternance, Karine Monneron a suivi le parcours qu'elle s'était tracée, jusqu'à atterrir dans une grande chaîne nationale. Caméra en main, elle aimait raconter l'actualité, la vie, le quotidien des hommes et des femmes qu'elle rencontrait via les images qu'elle tournait.*Rendez-vous la semaine pour découvrir la suite de son histoire.
  • Samuel Durand : « Il n’y a pas d’âge pour trouver sa voie »

    25:50
    Samuel Durand, auteur et conférencier sur le futur du travail, démystifie le cliché selon lequel la quête de sens serait réservée aux jeunes. Il nous plonge dans les évolutions récentes du monde du travail, débouchant sur une nouvelle forme de salariat, mêlant flexibilisation, autonomie et engagement des collaborateurs. D'autres avis d'experts vous attendent dans nos livres et magazines. À retrouver en librairie et sur notre site internet.