La coop'action par Grand Bergeracois Audacieux

Pour le 13e numéro, nous partons à l’abordage de la politique alimentaire du Grand Bergeracois. Pour ce faire, nous allons croiser les regards entre producteur, vendeur et transformateur culinaire.L’objectif ? Comprendre comment la filière alimentaire peut tendre vers plus d’échange avec les consommateurs en restant dans le respect de la nature.Entre la Légumerie de la CAB, l'AMAP de Bergerac et la ferme en autocueillette de Serres-et-Montguyard, les initiatives pullulent sur le territoire.Avec : Valérie Groleaud Verdier et Sylvain Grenier - Co-présidents de l’AMAP Paniers bio des deux rives à BergeracMyriam Bourgy - Agricultrice à Serres-et-Montguyard et fondatrice de la ferme en autocueillette Corne d’abondanceChristophe Dagens - Technicien responsable de la Légumerie de BergeracBonne écoute !

En juin, la Coop'Actions du mois vous emmène à la découverte de l’ouvrage "Habiter - Ce qui demeure". Un livre illustré qui raconte les histoires de 15 femmes par les logements et lieux de vie qu’elles ont habités au fil de leur parcours.Comment s’est construit ce projet ? Quel a été le rôle des acteurs du Bergeracois impliqués ? Et comment a-t-on libéré les paroles de ces femmes accompagnées par le CIDFF et La Gare Mondiale ?Pour discuter du projet de livre collaboratif, j’ai le plaisir d’échanger avec : Marine Chaugier - Directrice du Melkior Théâtre La Gare Mondiale Bénédicte de Taffin - Animatrice au Centre D’informations sur les Droits des Femmes et des Familles à BergeracFrançois Penaud Desmoulins - Dessinateur de l’ouvrage "Habiter - Ce qui demeure"Et deux lectrices du CIDFF que sont Danièle et Françoise.Bonne écoute !

En mai, nous donnons la parole aux jeunes du Grand Bergeracois. Notre équipe a rencontré la classe de 1ère de Gilles Chaveroux, professeur de Sciences économiques et sociales au lycée Maine de Biran de Bergerac. L’occasion de les questionner sur leur vision du territoire.Quels avantages lui trouvent-ils ? Que manque-t-il à Bergerac pour leur offrir un meilleur cadre de vie ? Que feraient-ils pour y changer les choses ? Quel est leur sentiment d’appartenance au territoire ? Se voient-ils y rester après le lycée ?Les 14 élèves interviewés, tous âgés de 16 ou 17 ans, nous l’ont dit eux-mêmes : c’est important d’écouter la jeunesse et de lui donner voix au chapitre.Bonne écoute !

En avril, la Coop'actions du mois s'intéresse au parc solaire citoyen de Faurilles. Financé, développé et exploité par la coopérative EnerCoop Nouvelle-Aquitaine, ce parc photovoltaïque prend ses racines sur un ancien terrain de moto-cross à Faurilles. Il produira l’équivalent de 150% des besoins en énergie de la commune et de ses habitants.Comment s’est monté ce projet ? Quels ont été les liens de coopération entre la commune et EnerCoop Nouvelle-Aquitaine ? À quoi ressemble le modèle énergétique idéal pour allier résilience et utilité sociale ?Nous en avons discuté avec Clémence Gauthier, chargée de projet photovoltaïque chez Enercoop Nouvelle-Aquitaine et Gérard Martin, maire de la commune de Faurilles.Bonne écoute !

En mars 2024, focus sur un tout nouvel événement lié à l’économie circulaire en Dordogne : la Brocante aux Matériaux, organisée par la Fab’Coop. Le constat de base est simple : le secteur du BTP produit environ 70% des déchets nationaux (selon l’ADEME). Or aujourd’hui, seulement 1% est réemployé.En Dordogne, les 5 et 6 avril 2024, une vingtaine d’entreprises du bâtiment et d’acteurs du réemploi ouvrent leurs entrepôts et vendent leurs surplus. L’objectif ? Proposer des bonnes affaires aux particuliers et artisans, tout en donnant une seconde vie à des matériaux qui se dirigeaient vers la déchetterie.Les organisateurs s'appuient sur l'expérience de ValOrizon, dans le Lot-et-Garonne, qui en est à sa 3ème édition du format.Comment s’est monté cet événement ? Quels acteurs du territoire sont impliqués ? En quoi la démarche est-elle vertueuse pour les entreprises, le territoire et ses habitants ?Avec :Krystal BOTTON - animatrice économie circulaire au Pôle de Coopération La Fab’coop; Pauline FIANDRINO - Directrice générale de La Maison Périgord; Eric DELMAS - Directeur général adjoint au développement économique pour la Communauté d’agglomération du Grand Périgueux.

"Aujourd'hui, on doit draguer les médecins pour qu'ils viennent sur notre territoire" : le constat de Laetitia Carlier, infirmière libérale et coordinatrice de la CPTS du Bergeracois est clair. Les professionnels de santé doivent faire corps pour améliorer l'offre de soins d'un territoire.Car le Bergeracois fait face à des problèmes de déserts médicaux qui touchent aussi bien les patients que les professionnels de santé. Ces derniers se sont donc unis dès 2012 pour construire un projet commun de santé et rendre leurs actions plus efficaces et leur quotidien plus doux.Focus sur le dispositif de Communauté Professionnelle Territoriale de Santé du Bergeracois qui réunit plus de 140 professionnels de santé sur les 38 communes de la Communauté d’agglomération bergeracoise.Comment s’est montée la CPTS du Bergeracois ? Qu’est-ce qu’elle change dans la vie des professionnels de santé ? Est-ce qu’elle améliore vraiment l’offre de santé du territoire ? Et comment aller plus loin pour avoir un meilleur accès aux soins ? Quels sont les plus grandes difficultés actuelles ? Et les solutions à privilégier ?Pour en discuter, nous avons reçu : Véronique ROUSSEL, référente des organisations coordonnées à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Dordogne, Olivier DUPUY, vice-président de la Communauté d’agglomération bergeracoise chargé de la santé et Laëtitia CARLIER, infirmière libérale et coordinatrice de la CPTS du Bergeracois.Bonne écoute !