Gaïardes

Il fait bon vivre à la ferme Gonnegirls, nous y avons organisé une guinguette paysanne pour célébrer l'été et la ferme pendant une bonne partie du mois de juillet. En vivant avec Emma Juliette Gaëlle claire Maria et Emma nous avons aussi découvert la difficulté du travail avec les poules, du métier de maraîchère, de la dimension hautement politique du simple fait de produire des légumes. Cet épisode consacré à la dernière ferme de notre voyage est une ode à la joie paysanne et au militantisme, à la force du collectif et la résilience des paysannes.

Au beau milieu de la Mayenne, Christel, nous et un troupeau d'alpaga. De cette immersion dans l'élevage et la vie de Christel est né l'épisode 7, dans lequel nous avons parlé spécisme et considération de la laine, de l'impact du textile et de nos garde-robes à l'astreinte des éleveuses, en passant par l'isolement et la solitude des agricultrices.

C'est l'été, on est montées en Champagne pour rencontrer Louison, exploitante récoltante vigneronne du champagne Rivière. Elle nous a partagé son champagne, son travail de la terre, sa peinture, son histoire et ses projets. On a ri, on a sué dans ses vignes, on a bu son champagne et on s'est bien trouvées. Dans cet épisode on vous parlera de la transmission des terres agricoles, des risques et contraintes financières et physiques du passage à l'agriculture bio mais aussi de faire sa place, notamment en temps que femme, et de vivre comme on l'entend.

Dans ce second volet chez Noémie, on discute de l'élevage des animaux destinés à la consommation de viande, de spécisme et d’anthropomorphisme. On verra ce que la consommation de viande raconte sur les systèmes de domination, notamment que le végétarisme est au cœur de la question féministe. On vous partage les luttes paysannes très concrètes et bien actuelles de Noémie, qui s’étendent bien au delà de la question de l’élevage.Note Sound Design :Dans le cadre de la conception sonore du podcast, un accent particulier a été mis sur l'épisode traitant de l'élevage de porcs noirs biologiques. Pour instaurer une ambiance sonore authentique et suggestive, seuls des échantillons sonores de porcs, capturés dans leur milieu naturel, ont été utilisés pour créer la totalité de la palette sonore de l'épisode.Ces échantillons ont subi un traitement minutieux afin de diversifier les éléments sonores produits. Les vocalises et autres émissions sonores des porcs ont été utilisées comme matière première pour élaborer des textures variées telles que des basses profondes et des percussions, symbolisant ainsi la métamorphose de l'animal au sein de l'industrie agroalimentaire.Les échantillons sonores ont été manipulés pour illustrer la transition de la rusticité initiale vers une sophistication sonore, en parallèle avec la transformation de l'animal vivant en produit fini. Cette approche sémiologique vise à stimuler une réflexion sur les intrications entre l'humain, l'animal et l'alimentation, mettant en exergue les dilemmes éthiques et environnementaux inhérents à l'élevage industriel. Chaque son, chaque composition, participe à l'élaboration du processus narratif, offrant ainsi une immersion sonore qui complète et approfondit les thèmes abordés au sein du podcast.

On a posé nos bagages chez Noémie, éleveuse de porcs noirs bio dans le Gers et on vous partage nos discussions, nos découvertes et nos réflexions sur l'élevage dans une série de deux épisodes. On s’est rendues compte que la question de l’élevage ne s’arrête pas à la question de la consommation de viande, ou à la question agronomique, mais concerne des dizaines de sujets, des plus politiques au plus philosophiques. Dans ce premier épisode on va parler de l’élevage au sens plus agronomique du terme, de la place de l’animal au sein de l’écosystème, aujourd’hui mais aussi dans le passé. Ce qui nous amènera dans  un dimension plus philosophique de notre rapport aux animaux, notre vision de la vie et notre rapport à la mort au sein de la société. Note Sound Design : Dans le cadre de la conception sonore du podcast, un accent particulier a été mis sur l'épisode traitant de l'élevage de porcs noirs biologiques. Pour instaurer une ambiance sonore authentique et suggestive, seuls des échantillons sonores de porcs, capturés dans leur milieu naturel, ont été utilisés pour créer la totalité de la palette sonore de l'épisode.Ces échantillons ont subi un traitement minutieux afin de diversifier les éléments sonores produits. Les vocalises et autres émissions sonores des porcs ont été utilisées comme matière première pour élaborer des textures variées telles que des basses profondes et des percussions, symbolisant ainsi la métamorphose de l'animal au sein de l'industrie agroalimentaire.Les échantillons sonores ont été manipulés pour illustrer la transition de la rusticité initiale vers une sophistication sonore, en parallèle avec la transformation de l'animal vivant en produit fini. Cette approche sémiologique vise à stimuler une réflexion sur les intrications entre l'humain, l'animal et l'alimentation, mettant en exergue les dilemmes éthiques et environnementaux inhérents à l'élevage industriel. Chaque son, chaque composition, participe à l'élaboration du processus narratif, offrant ainsi une immersion sonore qui complète et approfondit les thèmes abordés au sein du podcast.

En pleine saison des asperges, nous avons été accueillies à la ferme des filles par ses quatres gérantes et leurs familles. Cécile, Jeanne, Julie et Sophie sont sœurs et cousines, elles nous ont parlé syntropie et maraîchage mais aussi collectif, communauté, droit des femmes, sororité et avenir.