Exposé·es

  • 2. Ce que le sida a fait aux corps gays

    29:59||Ep. 2
    Comment l’arrivée de l’épidémie de VIH/sida a-t-elle bouleversé le rapport au corps dans la communauté gay ? Quels liens peut-on tisser entre corps, sexualité, identité et contre-culture communautaire ?En interrogeant l’idéal athlétique présent depuis longtemps dans la culture homosexuelle, on a voulu comprendre comment le VIH/sida a impacté ce culte du corps. Quand prendre soin de son corps devient une stratégie de survie, que racontent ces corps virils et musclés ? Des corps politiques, outils de résistance à la masculinité normative, des corps qu’on expérimente pour se les réapproprier.Intervenants(par ordre d’intervention) Georges Tony Stoll – artisteTim Madesclaire – médiateur en santé sexuelle au SPOT (Aides) et ancien journalisteArthur Gillet – artisteRalf Marsault – anthropologue et plasticien, ami et collectionneur de Bastille CréditsÉcriture et conception : Anne-Charlotte Michaut et Soizic Pineau, avec l’aide de Hélène CarrierRéalisation et montage : Soizic PineauHabillage musical : Talita OtovićRemerciementsMerci à nos collègues Apolline, Léane, Sarah, Benjamin ainsi qu’à Pierre Laporte et toustes celleux qui ont rendu le projet possible.
  • 1. Ce que le sida a fait aux lesbiennes

    28:29||Ep. 1
    Comment certaines lesbiennes ont-elles marqué la lutte contre le VIH/sida en France ? Quels en sont les héritages dans le militantisme lesbien aujourd’hui ? Durant les années 1980-1990, l’épidémie de VIH/sida, d’abord qualifiée de “cancer gay” puis de “maladie des 4H” (Haïtien, Homosexuel, Héroïnomane et Hémophile), touche principalement les HSH (“hommes ayant des rapport sexuels avec des hommes”) et les usager·ères de drogue. Les lesbiennes, quant à elles, ne sont pas, ou très peu, exposées au virus. Pourtant, certaines s'engagent dans la lutte contre l’épidémie.Nous avons tendu le micro à des personnes concernées, afin de comprendre le rôle que les lesbiennes ont joué dans la lutte contre le VIH/sida et, surtout, ce qu’il en reste dans le militantisme actuel.Intervenant·esClémence Allezard – documentariste radio et journalisteIsabelle Sentis – activiste, Sœur de la Perpétuelle Indulgence, art thérapeute, fondatrice de Fabric’Art Thérapie et de Queer codeCécile Chartrain – militante lesbienne et féministe, fondatrice des Dégommeuses, salariée à SidactionVeronica Noseda – militante lesbienne et féministe, membre des DégommeusesMimosa – militante gouine, membre des Inverti·esCréditsÉcriture et conception : Anne-Charlotte Michaut et Soizic Pineau, avec l’aide de Hélène CarrierRéalisation et montage : Soizic PineauHabillage musical et mixage : Talita OtovićRemerciementsMerci aux Inverti·es, aux Dégommeuses et à la Rainbow Cup. Merci à Sarah, Théo, Coco et Collin ainsi qu’à toustes celleux qui ont rendu le projet possible.
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